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Le premier train à hydrogène britannique est sur les rails

Avec HydroFlex, la Grande-Bretagne monte dans le train à hydrogène.

© University of Birmingham

Sur les trois projets britanniques de trains à hydrogène (Breeze, d’Alstom et Everholt, HydroFlex, de l’Université de Birmingham et Porterbrook, et l’hybride de Vivarail) lancés début 2019, la première manche a été remportée par HydroFlex, qui a effectué le 30 septembre ses premiers tours de roue sur le réseau ferré national. A l’occasion, Grant Shapps, secrétaire d’Etat britannique aux Transports, a annoncé l’intention de faire de la vallée de la Tees, dans le nord de l’Angleterre, un « hub » pour le train à hydrogène, presque 200 ans après avoir assuré le même rôle pour la locomotive à vapeur (sur la ligne de Stockton à Darlington, en 1825).
Alimenté par pile à combustible, mais aussi par caténaire ou troisième rail lorsqu’ils sont présents, HydroFlex a été conçu par le Centre de recherche ferroviaire de l’Université de Birmingham (Birmingham Centre for Railway Research and Education, BCRRE) et a représenté un investissement de plus d’un million de livres de la part de l’Université et de la ROSCO Porterbrook, complété par 750 000 livres du ministère britannique des Transports (DfT), soit un total approchant les deux millions d’euros. Un prix relativement modique, vu que le matériel roulant a été réalisé en partant d’un ancien train de banlieue Class 319.
P. L.

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