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L?Inrets et Urba 2000 rendent interopérables les systèmes d?information de transports

27 Jan 2010

industrie

Mis à jour le 23 mai 2017

le projet Bateri a permis de tester les données d?un réseau selon un référentiel, diagnostiquant ainsi les erreurs rendant un système d?information non interopérable Dans certains pays européens, il est possible de proposer au niveau national un calcul d’itinéraires global par les transports publics. Mais pas en France, où tous les systèmes d’information de transports n’étant pas interopérables, un calcul de point à point n’est possible que si ces deux points appartiennent à des sources de données de même structure. Une solution, coûteuse pour les exploitants, est de réaliser de nouvelles interfaces entre systèmes d’information. Une autre a été mise au point par le laboratoire Gretia de l’Inrets avec la Predim (Plateforme de recherche et d’expérimentation pour le développement de l’information multimodale) : des tests d’interopérabilité vérifiant la conformité des données de réseaux de transport suivant le profil d’échange défini dans l’application « Chouette ». Cet acronyme signifie « création d’horaires avec un outil d’échange de données transports en commun au format Trident européen », ce format étant à son tour l’acronyme de « Transport Intermodality Data Sharing and Exchange Networks » (réseaux de partage et d’échange de données de transports intermodaux). Le projet a été conduit par Urba 2000 et a associé les experts et sociétés spécialistes du domaine de l’interopérabilité et de la normalisation dans le domaine des transports. Concrètement, le projet Bateri (banc de test pour réalisation de l’interopérabilité) a permis de tester les données d’un réseau (horaires théoriques, typologie, lignes, arrêts, itinéraires) selon un référentiel, diagnostiquant ainsi les erreurs rendant un système d’information non interopérable. A titre de démonstration, sur les bases des spécifications du référentiel, Bateri a permis à la Région Alsace de vérifier que les fichiers SNCF étaient bien au format « Chouette ». Une autre autorité organisatrice ayant testé Bateri est celle des transports de l’agglomération de Toulouse. La prochaine étape consiste à porter le référentiel de l’application à l’Afnor, avant une éventuelle évolution du périmètre fonctionnel des applications tant du côté modal (information routière, en temps réel ou événementielle, modes doux…) que du côté géographique. En effet, une interopérabilité transfrontalière devrait être rendue possible grâce à des « briques » communes entre les systèmes normatifs britanniques, allemands ou français (Transmodel pour les données des transports publics européens, TransXChange pour les calculs d’horaires et localisation de bus britanniques…) Enfin, précise l’Inrets, ce système sera coiffé par l’Afimb (Agence française de l’information multimodale et de la billettique).

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