Dans le feuilleton de la consolidation ferroviaire européenne, on en était resté, au début du mois d’août, aux réunions de conseils d’administration de Bombardier et de Siemens que l’on annonçait décisives… et qui ne l’ont pas été. L’hypothèse d’un rapprochement n’est pas enterrée, mais celle d’un accord Alstom – Siemens refait parler d’elle. D’autant qu’à la fin octobre l’actionnariat d’Alstom va évoluer. L’Etat a, rappelons-le, conditionné en 2014 son approbation de l’alliance entre General Electric et Alstom à un accord lui garantissant les « droits de gouvernance » nécessaires pour « garantir l’intérêt de long terme d’Alstom ». L’accord a consisté à d
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