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Les cartes sont rebattues avant l’attribution des trains de la HS2 britannique

© DR

Mis à jour le 10 juillet 2018

L’industrie ferroviaire change décidément trop vite ! En novembre dernier, cinq candidatures avaient été présélectionnées par le ministère des Transports britannique (DfT) pour la fourniture de 54 trains à grande vitesse destinés à la phase 1 de la ligne à grande vitesse HS2 entre Londres, Birmingham et le nord de la Grande-Bretagne.

Alstom, Bombardier Transport, Hitachi Rail Europe, Siemens et Talgo faisaient alors partie de la short-list. Mais depuis, le rapprochement entre Alstom et Siemens s’est précisé et, le 4 juillet, Bombardier et Hitachi ont annoncé leur intention de déposer une offre commune. Une décision pas si surprenante, dans la mesure où les deux groupes travaillent déjà ensemble sur le train à grande vitesse italien Frecciarossa 1000, Hitachi ayant racheté AnsaldoBreda, partenaire de Bombardier sur ce projet de la famille Zefiro. Et outre-Manche, Hitachi a comme atout d’avoir produit les rames Javelin pour les dessertes régionales à grande vitesse au sud-est de Londres.

Risquant de se retrouver avec trois candidats seulement au lieu des cinq prévus, HS2 Ltd, l’entreprise responsable du projet de LGV, a donc décidé de « repêcher » la candidature de CAF. Ce dernier pourra présenter sa gamme Oaris, dont le représentant le plus récent est la prochaine génération de navettes aéroportuaires d’Oslo.

En dépit de la révision de la short-list, le calendrier est inchangé. L’industriel qui remportera fin 2019 ce contrat évalué à 2,75 milliards de livres sterling (3,1 milliards d’euros) devra concevoir, construire et assurer la maintenance à Washwood Heath (Birmingham) des trains à grande vitesse (360 km/h), qui doivent entrer en service en décembre 2026.

Pour y parvenir, Bombardier et Hitachi font savoir qu’ils disposent déjà d’usines en Grande-Bretagne. De son côté, Talgo ne cache pas son intention d’y ouvrir un site industriel, alors qu’Alstom (ancien propriétaire du site de Washwood Heath) et Siemens sont présents outre-Manche sur le marché de la maintenance. Enfin, Richard Garner, directeur de CAF pour le Royaume-Uni, a déclaré que si son entreprise l’emportait, les trains seraient produits par l’usine en construction près de Newport, dans le sud du pays de Galles. Un « plus » pour le nouveau candidat…

P. L.

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