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Eckwersheim : le BEATT s’interroge sur la conception de l’essai

08 Fév 2016

Accidents

Mis à jour le 15 juin 2017

Dans un rapport d’étape mis en ligne ce 8 février, le Bureau d’enquêtes sur les accidents de transport terrestre (BEATT) estime que la survitesse est la seule responsable du déraillement survenu le 14 novembre sur le deuxième tronçon de la LGV Est et qui a causé la mort de 10 personnes. Selon le BEATT, les éléments recueillis « à ce stade de l’enquête ne permettent pas a priori de remettre en cause le sérieux des personnes en charge de l’exécution des essais, ni de mettre en évidence que la présence d’invités à bord de la rame dont deux en cabine, ait pu jouer un rôle significatif dans la survenue de l’événement. […] En revanche, le BEATT s’interroge sur les conditions de réalisation de ce type d’essais en survitesse notamment quant au niveau de performance à atteindre, la conception du programme qui en découle et les modalités de sa mise en œuvre. » Le BEATT juge qu’il y a eu une interprétation littérale des principes d’homologation, et particulièrement du « souci de balayer à V+10 %, aussi exhaustivement que possible, chaque tronçon de la ligne et notamment la petite zone de 5 km de longueur à V300 située entre le PK 398,770, et le PK 403,809. De ce fait, le PK 400,700 prévu pour déclencher le dernier freinage présentait une marge de sécurité bien trop réduite au regard du risque constitué par la courbe située immédiatement après cette transition de vitesse ».

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