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Les usagers pas convaincus par la future gare du Nord

Le nouveau bâtiment conçu pour les départs grandes lignes.

Mis à jour le 06 mai 2019

La concertation publique sur le projet Gare du Nord 2024 s’achève. Une réunion bilan aura lieu le 14 mai. La contribution de l’association des usagers des transports, l’AUT Ile-de-France, est très réservée sur cette refonte de la gare qui doit coûter 600 millions d’euros. Rappelons que c’est le projet présenté par Ceetrus (Immochan) qui a été retenu en juillet 2018 et qui doit être mis en œuvre et exploité par la Semop, société d’économie mixte créée en 2019 (Ceetrus, 66 % et SNCF, 34 %).

La gare, qui accueille aujourd’hui 700 000 voyageurs par jour, s’attend à en recevoir 900 000 en 2030. Le pari de la nouvelle gare consiste, sur le modèle aérien, en une dissociation des flux arrivée – départ. L’accès aux grandes lignes se faisant désormais par un nouveau bâtiment de cinq niveaux établi à la place de l’accès actuel à la gare routière et du bâtiment de métal et de verre construit par Arep dans les années 90, contre la façade historique, au sud-est de la gare. Pour l’association, la gare serait plus que jamais tournée vers le sud, où se fait déjà l’accès aux trains de banlieue et aux RER (80 % des flux). Or, « le prolongement, dans les prochaines années, du RER E (Eole) vers l’ouest va encore accroître les flux de voyageurs du quotidien. Dans ces conditions, concentrer davantage tous les flux voyageurs dans cet angle sud-est de la gare, en y faisant venir les départs grandes lignes, nous semble une mauvaise idée. »

Lieu de vie ouvert sur la ville

De plus, « les quartiers nord de la gare demeureraient totalement ignorés », déplorent-ils. La promesse d’une gare « lieu de vie ouvert sur la ville » ou d’une ville entrant dans la gare ne se concrétisera donc pas. À moins, demande l’AUT, que l’on ne crée de nouveaux accès vers les quartiers nord. L’AUT IdF regrette de plus que le projet SNCF ne soit pas accompagné par un projet de la Ville d’aménagement des abords.

Les usagers soulignent enfin la nécessité de limiter les impacts travaux. Et se montrent dubitatifs sur l’annonce d’aucun impact sur les circulations ferroviaires… malgré la condamnation d’une voie banlieue.

F. D.

ENTREPRISES, PROJETS ET RéGIONS COncernés

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