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Plus des trois quarts des Franciliens trouvent l’air de mauvaise qualité

Mis à jour le 23 mai 2017

Quelque 83% des habitants d'Ile-de-France y trouvent l'air de mauvaise qualité, un chiffre en augmentation de 18 points en six ans, et ils sont plus d'un quart à avoir été amenés à consulter un médecin, révèle une sondage Ifop publié le 30 octobre… …L'inquiétude porte d'abord sur les gaz d'échappement, jugés "préoccupants" pour 91% des personnes interrogées, suivis des rejets gazeux des usines (88%), ou encore l'utilisation des pesticides (87%). 

L'enquête a été commandée par Airparif, l'agence régionale de surveillance de qualité de l'air, qui établit ainsi tous les cinq ou six ans une photographie de la perception des Franciliens sur les questions de pollution de l'air.

« Cette nouvelle enquête met l'accent sur la santé », souligne Airparif, avec 29% des Franciliens qui déclarent avoir consulté un médecin, pour eux ou pour des proches, suite à des troubles liés à la pollution de l'air. 

« Soit, si on se livre à une extrapolation des données, 2,8 millions de personnes de 15 ans et plus », précise Airparif.

Pour autant, assure l'agence régionale, « ce sondage reflète des perceptions qui ne sont pas toujours en adéquation avec la réalité ».

« Bien que toujours préoccupante, avec environ 3 millions de Franciliens toujours exposés à un air qui ne respecte pas la règlementation », niveaux annuels autorisés de dioxyde d'azote et de particules régulièrement dépassés, « en 10 ans, la situation s'est néanmoins nettement améliorée », assure Airparif.

Pour autant, les habitants d'Ile-de-France sont 64% à penser que la situation s'est dégradée. Et les plus sévères vivent dans les Hauts-de-Seine où ils sont 94% à trouver mauvais l'air qu'ils respirent, contre 74% dans le Val-d'Oise.

Et quand on leur demande où ils pensent être le plus exposé aux polluants, ils répondent en premier "dans la rue" à 60%, suivi de la voiture pour 11% d'entre eux. 

Pourtant, ce sont les automobilistes les plus exposés à la pollution, car loin de protéger les passagers de la pollution, l'habitacle à plutôt tendance à la concentrer.

En mars 2014, l'Ile-de-France a connu un pic de pollution qui a entraîné la mise en place de la circulation alternée pendant une journée à Paris et dans la petite couronne. 

Partagés sur la mesure, ils sont 46% à l'avoir trouvée "plutôt efficace" contre 46% "plutôt pas efficace".

« Les actions jugées les plus efficaces sont également celles qui impactent le moins la mobilité », relève Airparif. 

Aussi, la gratuité des transports en commun est jugée plutôt efficace par 75% des personnes interrogées, suivie du contournement routier de l'agglomération par les poids lourds (68%), ou encore la gratuité du stationnement (60%).

Ce sondage a été réalisé sur un échantillon de 501 personnes, représentatif de la population francilienne âgée de 15 ans et plus, interrogées par questionnaire auto-administré en ligne du 9 au 14 octobre 2014.

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