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En bateau sur toute la ligne à Calais

Mis à jour le 15 juin 2017

Calais et sa région devraient se doter d’un transport fluvial dans un peu plus d’un an. Le conseil du Syndicat intercommunal des transports urbains de l’agglomération du Calaisis (Sitac) a dévoilé début février les conclusions d’une première étude de faisabilité d’un tel transport. Calais et sa région devraient se doter d’un transport fluvial dans un peu plus d’un an. Le conseil du Syndicat intercommunal des transports urbains de l’agglomération du Calaisis (Sitac) a dévoilé début février les conclusions d’une première étude de faisabilité d’un tel transport. L’idée de cette navette fluviale a été lancée en 2009, lors du renouvellement de la DSP. « Le canal qui traverse la ville de Calais est une colonne vertébrale d’eau. À nous de le valoriser et d’innover », assure Philippe Blet, président de la communauté d’agglomération Cap Calaisis.

Jugé réalisable par la première étude, ce projet de navette fait actuellement l’objet d’une seconde étude, plus poussée, pour définir par exemple les horaires, le nombre de passagers, le type de bateau et son mode de propulsion. Ses conclusions pourraient être rendues mi-avril.
Malgré tout, les grandes lignes du projet sont connues. La navette partira de la citadelle de Calais pour rejoindre le pont de Coulogne, une commune voisine de Calais. Le tout en 30 à 35 minutes. En plus de ces deux terminus, deux autres arrêts sont prévus, quai de la Batellerie et devant la Cité internationale de la dentelle et de la mode.

Les incidences de la navette sur la circulation routière sont également à l’étude. Car pour tenir son temps de trajet, la navette pourrait déclencher l’ouverture les deux ponts mobiles sous lesquels elle passe. « Nous avons lancé une étude globale de circulation à Calais », dit Natacha Bouchart, maire de la ville et partenaire de Cap Calaisis dans ce projet. « Les ponts ne créeront pas de bouchons, c’est une chose à voir dans son ensemble, mais qui ne se réalise pas en un mois », assure la maire.

Côté budget, l’investissement s’élève à 2 millions d’euros, dont 500 000 environ pour la construction du bateau-bus. Le coût de fonctionnement tournerait autour de 300 000 euros annuels, avec deux employés de Calais Opale bus à bord.
 

Deux clientèles visées

En imaginant la future navette fluviale, ses concepteurs ont poursuivi deux objectifs. D’abord, proposer un service aux habitants de l’agglomération, notamment ceux de Coulogne. Ils pourraient bénéficier de deux allers-retours quotidiens, un le matin et un autre le soir.

Mais les élus visent aussi une clientèle touristique, via des tour-opérateurs. « L’idée est de faire venir les touristes en autocar à la citadelle puis de les emmener, en bateau, jusqu’à la Cité de la dentelle », explique Philippe Blet, président de la communauté d’agglomération Cap Calaisis.
 

Les transports peu communs du Calaisis

Le Syndicat intercommunal des transports urbains de l’agglomération du Calaisis (Sitac) est l’autorité organisatrice des transports de la communauté d’agglomération du Calaisis et de la commune voisine de Guînes. Les deux entités réunissent une population de 103 720 habitants répartis sur six communes, représentant un périmètre de transport urbain de 12 368 ha.

La délégation de service public a été confiée à Calais Opale Bus, une filiale de Veolia, en 2009. La même année, le Sitac et l’opérateur avaient lancé un service de location de vélos en libre-service, le Vel’in, basé sur le concept Veloway développé par une filiale de Veolia spécialisée dans ce type de service.

Mais le syndicat et l’opérateur ont aussi mis en place une navette gratuite en centre-ville, la Balad’in, et un bus à impérial, la Div’in, fonctionnant seulement l’été, pour conduire les touristes au cap Blanc-Nez.

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