En France, ils ont été accusés et condamnés pour entente illicite il y a presque dix ans. A l’étranger, on leur reproche class= »rtejustify »>
de donner une image déplorable de la « maison France ». Quel serait le juste milieu permettant de garantir la concurrence, tout en respectant un code de bonne conduite, sans pour autant signer de pacte de non-agression ? Et qui serait susceptible de se transformer en arbitre pour décider de la stratégie française lors des gros appels d’offres internationaux ? Autant de questions qui risquent d’agiter les groupes français qui sortent d’une bataille peu glorieuse outre-Atlantique.
L’appel d’offres – un marathon de deux ans – pour l’exploitation des trains de la banlieue de Boston aux Etats-Unis remporté par Keolis allié à la SNCF au détriment de Transdev, le sortant, laissera sans nul doute des traces.
« La maison France, c’est nous qui la portons, la presse américaine a titré “Les Français ont gagné “ ! », fait-on remarquer côté Keolis, étant donné que le sortant, Massachusetts Bay Commuter Railroad company (MBCR), réunissait Veolia Transportation (la filiale am&eac
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