Après la décision de Ségolène Royal, le 8 octobre, de reporter une nouvelle fois « sine die »…
le péage de transit poids lourd, l’Agence de financement des infrastructures de transport de France a fait ses comptes.
Exit donc ce péage qui devait rapporter quelque 500 millions d’euros à l’Aftif. Cette dernière ne touchera donc que les recettes issues de la taxe de 2 centimes sur le litre de gazole, dont le principe devrait être adopté par la prochaine loi de finances. Cette taxe devrait représenter entre 800 et 860 millions d’euros de ressources pour l’Afitf en fonction de la consommation des ménages.
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