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Transition énergétique des bus, état des lieux

Les autorités organisatrices de la mobilité ont établi les feuilles de route pour la transition énergétique de leurs réseaux de bus, avec des choix bien arrêtés en matière de mix énergétique. Pour les aider à atteindre leurs objectifs, les opérateurs, constructeurs et équipementiers poursuivent leurs efforts de recherche et développement afin d’améliorer les performances, de réduire les coûts et l’empreinte carbone des véhicules.

Les bus électriques font la course en tête sur le marché de la transition écologique. Selon les données compilées par le consultant néerlandais Wim Chatrou, les bus à batteries dominent le marché européen avec 40,8 % des nouvelles immatriculations en 2023, suivis des bus hybrides (19,5 %) et au gaz (11,2 %). L’hydrogène reste marginal avec 1,4 %.

Sur les dix dernières années, 19 009 bus électriques à batteries ont été mis en service en Europe. La France occupe la troisième place avec 10,4 % des immatriculations, derrière le Royaume-Uni et l’Allemagne.

Le plan bus 2025 mené par la RATP à Paris a fortement contribué à cette dynamique puisque le groupe s’est engagé à convertir la totalité de sa flotte à l’électrique ou au gaz. Olivier Vitkine, directeur du développement à RATP Cap Île-de-France, rappelle que la décision prise, il y a tout juste dix ans, par Île-de-France Mobilités (IDFM, ex-STIF) de convertir le parc avec des motorisations plus durables a permis à la RATP de devenir le premier opérateur au monde à mener une transition d’une telle ampleur, avec près de 5 000 véhicules concernés. Une première étape est ...

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Retrouvez l’article Transition énergétique des bus, état des lieux dans le magazine VR&T n°687

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