Juste avant le lancement des Jeux paralympiques, le 26 août, et dans un exercice de communication bien huilé, Valérie Pécresse avait lancé un appel pour « rendre le métro accessible à tous ». Dans la foulée, un pacte avait été signé par la présidente de l’Ile-de-France et de son autorité des transports IDFM, la maire de Paris Anne Hidalgo, et l’association APF-France Handicap.
Valérie Pécresse veut prouver sa détermination pour enclencher un « grand plan » qui mettrait à l’étude ce projet très coûteux, évalué entre 16 et 20 milliards d’euros, et qui prendrait une vingtaine d’années pour être réalisé. Un budget très conséquent qu’elle propose de voir cofinancé pour un tiers par la région, l’État et à la Ville de Paris pour les deux autres tiers.
Premières assises
Pour maintenir la pression médiatique, la patronne des transports franciliens a organisé le 10 octobre dernier les premières « Assises du métro pour tous » dans l’hémicycle du Conseil régional, à Saint-Ouen : des tables ron
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Publié le 05/04/2024