La grève des trains en Allemagne, qui devait durer six jours, a finalement été un peu écourtée (de 16 heures) : la Deutsche Bahn, qui refusait initialement de discuter de la baisse de la durée hebdomadaire de travail réclamée par GDL, a finalement accepté de reprendre les négociations. Et de discuter notamment « de modèles de réduction du temps de travail« . Un sujet jugé crucial par le syndicat des conducteurs de locomotives.
Mais à peine ce conflit s’éteignait-il que le secteur des transports en commun municipaux était appelé à débrayer le 2 février pour des conditions de travail plus « attrayantes« . Selon le syndicat Verdi, les salariés de 132 entreprises locales gérant des bus, des métros et des tramways étaient appelés à faire grève « dans 81 villes et 42 cantons ». Parmi les revendications, la réduction du temps de travail.
Publié le 12/09/2024