Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Ewa

Entretien avec Daniel Cukierman : « Pour les Chinois, le tramway, c’est un peu la France »

DanielCukierman2

Le marché des transports urbains chinois est devenu incontournable pour les groupes de transport. L’ancien CEO de Veolia Transport RATP Asia, Daniel Cukierman nous en souligne les caractéristiques. Lire aussi notre dossier Chine

Ville, Rail & Transports. Faut-il s’intéresser à la Chine quand on est un grand transporteur ?

Daniel Cukierman. La Chine est aujourd’hui le plus grand marché mondial de transport. En volume. Pas en valeur, mais elle le sera un jour. Le premier marché en valeur est le Japon, mais il est fermé. Les Japonais disent le contraire. En tout cas, les groupes français n’y sont pas. 

La Chine construit aujourd’hui autant de lignes de métro que l’Europe dans la première moitié du XXe siècle. Avec 550 km, Shanghai a le plus long réseau de métro au monde (et prévoit de construire 800 km de tramway, soit presque autant que l’ensemble des lignes existant en France).

Des groupes de transport qui se veulent internationaux doivent se poser la question du marché chinois. Les groupes français ont plusieurs atouts. Ils sont internationalisés, et ils ont un savoir-faire dont la Chine a besoin. 

 

VR&T. Quelles sont les caractéristiques de ce marché ?

D. C. Travailler en Chine, cela prend du temps. Il faut être connu. La conception du business n’est pas la même qu’en France. Il faut prendre des risques ensemble, et cela veut dire investir ensemble. La relation de confiance met du temps à s’établir. Et il y a un côté méditerranéen. Il faut être copain. Il faut se connaître. Et puis, tant qu’on n’a pas eu de crise, on n’est pas implanté. La crise permet de remettre à plat les relations. Il faut donc oublier les habitudes de l’expatriation : on vient pour trois ans, et on change de poste…

Jean-Pascal Tricoire, président de Schneider Electric et président du Comité France Chine, est le seul président d’une entreprise du Cac 40 qui vive en Chine, à Hong Kong. Lui aussi le dit : il faut du temps. Il a commencé à gagner de l’argent au bout de quinze ans. 

C’est un vrai sujet. Il n’est pas si simple d’être présent quelques années et de dépenser quelques millions avant d’être vraiment dans le business.

De plus, le cadre contractuel n’est pas clair. Un exemple. Le marché des bus est aux risques et périls. Il faut vivre des recettes… sans être maître du prix du billet, qui est déterminé par les autorités locales.

En 1998, le prix du billet a été fixé à 1 RMB [la monnaie chinoise appelée yuan RenMinBi, ndlr]. À l’époque, c’était un bon prix. Les entreprises de bus de Hong Kong sont alors entrées dans ce marché, mais les prix ont ensuite été bloqués pendant quinze ans. 

Vers 2005-2006, les entreprises de transport ont commencé à avoir du mal à équilibrer leurs comptes. On est alors entré dans un système de subventions : une subvention nationale, liée au prix du fuel, et d’autres, locales, qui compensent les tarifs sociaux, et parfois aussi l’achat de véhicules neufs, ou d’autres postes, selon la qualité de la relation. Rien de tout cela n’est contractuel. Le transporteur sait que le billet augmentera un jour, mais il ne sait pas quand. La subvention nationale sur le prix du fuel est en fait une subvention au transport public mais son montant n’est pas connu d’avance. Cela dit, le gouvernement l’a plutôt bien versée. 

Il est difficile dans ces conditions de faire un business plan et de convaincre ses actionnaires.

De plus, le transport est considéré comme stratégique, ce qui interdit d’avoir une participation supérieure à 49 % dans une JV [joint-venture, coentreprise, ndlr]. Or, selon les normes IFRS [normes comptables internationales, ndlr], une participation à 49 % ne peut pas être consolidée.

De ce fait, la décision d’aller ou pas sur ce marché va dépendre dans chaque entreprise de la confiance qu’on a dans les managers locaux.

Finalement, en décembre 2014, le prix du billet a augmenté. À Pékin, le bus vient de passer de 1 à 2 RMB, et le ticket de métro de 2 à 3 RMB, à quoi s’ajoute un prix au kilomètre au-delà de 6 km. Depuis, les villes chinoises adoptent ce système.

Le gouvernement a pris le risque de cette forte augmentation. Mais, comme le prix était vraiment bas, on n’entend pas parler de mouvements de protestation. Pendant quelques années les entreprises vont gagner de l’argent.

 

VR&T. Comment les entreprises étrangères sont-elles arrivées en Chine ?

D. C. Veolia Transport est arrivé début 2006, profitant du fait que Veolia Eau était connu, avait investi et bien géré son secteur. En Chine, big is beautiful. Et nous avions de bonnes références. 

À l’époque, dans le transport, le sujet, c’était le métro. La Chine cherchait un opérateur international de référence pour faire du benchmark [de l’évaluation d’entreprises, ndlr]. MTR (Mass Transit Railway), le métro de Hong Kong, est arrivé avant nous. Le modèle économique était compliqué, les villes finançant l’infrastructure, l’opérateur finançant le matériel roulant et les systèmes. Sur une ligne moyenne, à Pékin, la part de l’opérateur revenait à environ 700 millions d’euros sur un total d’un peu plus de 2 milliards. En joint-venture il fallait donc investir 350 millions d’euros, somme que les Français n’avaient pas. 

MTR a ainsi remporté la ligne 4 du métro de Pékin. Cela a été une opération très bénéfique. En effet, l’investissement a coûté moins cher que les 700 millions prévus. De plus, les prix du billet avaient été fixés sur la base de 500 000 voyages par jour. L’opérateur avait dit : le prix du billet devra être de 5 RMB pour amortir l’investissement, couvrir les coûts d’exploitation et assurer une marge. C’était un tarif virtuel, le tarif public du métro était de 2 RMB, et les autorités payaient à MTR la différence. Il y a eu en fait beaucoup plus de voyages que prévu, plus d’un million par jour !

Le gouvernement a trouvé que ce modèle était intéressant et ce type de partenariat public-privé a intéressé les municipalités. Il a donc été décliné dans d’autres villes. Veolia a travaillé pour se présenter sur la ligne 1 du métro de Hangzhou, mais là aussi il fallait investir, alors que Veolia s’était positionné comme opérateur… à côté de la plaque. MTR l’a emporté. Peut-être aurions-nous dû bluffer, dire qu’on était investisseur, et trouver après coup un financeur !

Une ligne à Shenzhen a été faite aussi sur ce modèle et MTR a encore gagné.

Maintenant, MTR gère trois lignes de métro à Pékin, va en gérer probablement une deuxième à Hangzhou et en a déjà gagné une deuxième à Shenzhen. Je pense que les Chinois ne cherchent pas aujourd’hui d’autre opérateur étranger.

Mais le marché n’est peut-être pas définitivement fermé. Comme les salaires augmentent vite, les municipalités vont peut-être rouvrir le dossier en s’intéressant aux coûts d’exploitation. Mais, pour quelques années encore, je pense que le marché des métros ne sera pas ouvert. Si jamais les villes veulent l’ouvrir, il sera alors plus simple de faire appel au métro de Shanghai qu’à des étrangers. 

 

VR&T. Quel marché, si le métro reste pour quelque temps fermé ?

D. C. La niche potentielle, c’est le tramway. Les Français en font la promotion. VTRC [ancienne dénomination de la JV RATP Dev Transdev Asia, ndlr] et Alstom pour commencer. Et la joint-venture Ratp Dev Transdev Asia exploite celui de Shenyang.

Les Chinois aiment bien venir en France. Alors, on leur montre le tramway de Paris, Keolis montre le tramway de Bordeaux, Veolia-Transdev montrait le tramway de Nice et maintenant celui de Reims. À Nice, le vice-maire de Shenyang, découvrant le tramway, a téléphoné chez lui de la place Masséna et a dit : « je veux ça chez moi ! » C’était en décembre 2011. Il voulait son tramway pour les Jeux nationaux, qui se tenaient à Shenyang, en septembre 2013. Et il l’a eu (4 lignes, 50 km). C’est vrai, il l’a fait construire dans des zones peu peuplées, avant l’urbanisation… Mais tout de même ! Soit dit en passant, le maire de Nice, Christian Estrosi, n’a pas rendu service aux entreprises françaises en mettant son réseau en régie. 

Aujourd’hui, une vague de tramways se développe en Chine, soit dans des quartiers périphériques soit dans des zones urbaines où il n’y a pas assez de monde pour faire un métro. Et une ville qui a un réflexe d’urbanisme, comme Shanghai, va faire un tramway en centre-ville.

Le programme de construction de tramways est énorme. En effet, les villes doivent être au-dessus de certains seuils pour avoir le droit de faire un métro. Il faut avoir plus de 3 millions d’habitants, et tant de millions de recettes fiscales. Près de 40 villes ont ce droit et bien sûr aussi celui de faire un tramway. Pour faire quand même partie des grandes qui ont « du transport par rail », les autres vont faire un tramway. Plusieurs milliers de kilomètres sont prévus et une bonne partie est déjà en construction. C’est une niche pour les Français. Pour les Chinois, le tramway, c’est un peu la France. Pour l’instant, les Chinois ne savent pas exploiter un tram. Ce n’est ni du bus ni du métro. Mais ils apprendront vite.

Mais c’est aussi un marché plus ouvert car, comme il est apparemment moins stratégique qu’un métro, c’est moins grave de le donner à un étranger. 

Chacun des trois grands groupes français est un expert en tramway. C’est un créneau qui devrait permettre à ces entreprises de se développer. La JV RATP Dev Transdev Asia a un avantage : elle exploite déjà un tramway avec Shenyang. Keolis en a un autre : son partenariat avec Shentong. 

Et puis, la hausse dernièrement intervenue du prix du billet va améliorer pour quelques années l’économie de l’exploitation du transport public en général et donc du tramway.

Propos recueillis par François DUMONT

Ewa

ABB et Stadler Rail confirment leur partenariat

abbstadlersmall

Le 16 janvier, ABB a annoncé avoir reçu une commande de 35 millions d'euros de la part du constructeur ferroviaire suisse Stadler Rail dans le cadre de plusieurs projets ferroviaires en Europe et aux Etats-Unis. La nouvelle collaboration entre les 2 groupes fait suite à l'accord conclu fin 2014… ABB fournira ses tout derniers convertisseurs de traction avec alimentations embarquées intégrées, ainsi que des transformateurs de traction montés en toiture.

En Suisse, tout d'abord, la commande portera sur 4 nouveaux trains pour la ligne Jungfraubahn. ABB fournira également des convertisseurs de traction pour les trains Stadler électriques et électriques-diesel destinés au réseau Bay Area Rapid Transit (BART) en Californie. Enfin, d'autres compagnies de transport ferroviaire recevront des équipements dans le cadre de cette commande : Ferrocarrils de la Generalitat Catalunya (FGC) en Espagne ; l'opérateur de la ligne reliant les villes de Alphen et Gouda aux Pays-Bas ; et la ville de Aarhus au Danemark (qui recevra 24 trains légers).

Depuis le début de leur collaboration, en 2002, Stadler Rail a commandé auprès d'ABB des équipements de traction pour 1500 trains régionaux et plus de 300 véhicules légers sur rail.

Ewa

Japon : Le premier train grandes lignes Hitachi pour la Grande-Bretagne prend la mer

class800hitachi

C’est au port de Kobe que la première rame Class 800 de présérie, construite au Japon par Hitachi, a été chargée pour être expédiée par la mer à la mi-janvier vers la Grande-Bretagne…  class= »x_MsoNormal » style= »margin: 0cm 0cm 0.0001pt; padding: 0px; font-family: arial; line-height: 20px; font-size: 12pt; background-color: rgb(255, 255, 255); »>
Présentée en novembre dernier par son constructeur, cette rame destinée aux grandes lignes britanniques (programme IEP) doit être instrumentée en mars, une fois arrivée à bon port, puis entamer une série d’essais en avril.

Les rames de série devraient, quant à elles, être assemblées dans l’usine Hitachi Rail Europe, qui doit ouvrir l’été prochain à Newton Aycliffe, dans le nord de l’Angleterre, où environ 730 personnes pourraient être embauchées.

Ewa

Luxembourg. Appel d’offres pour le tramway

tramway du luxembourg 4

LuxTram, la société qui exploitera le futur tramway de Luxembourg vient de lancer l'appel d'offres pour l'acquisition des rames de son futur réseau… style= »margin-top: 15px; margin-bottom: 15px; padding: 0px; font-family: arial; font-size: 15px; line-height: 20px; background-color: rgb(255, 255, 255); »>
L'avis de marché prévoit la fourniture et la maintenance de 21 tramways  à plancher bas intégral avec une option de 12 rames supplémentaires. D'une longueur de 45 mètres environ et d'une largeur de 2,65 mètres, les véhicules pourront accueillir jusqu'à 300 personnes en charge normale, et allongeables jusqu'à 56 mètres pour permettre le flux aux heures de pointe. 

 En plus de la fourniture du matériel roulant, les candidats devront prendre en compte les études et la conception d'un système d'effacement de ligne aérienne (LAC)  sur 3,6 kilomètres, entre la Cloche d'Or et l'Aéroport Luxembourg-Findel. André von der Marck, directeur général de LuxTram explique que sur ce tronçon, «il n'y aura pas de caténaire, mais un système de "biberonnage" grâce à une alimentation par le sol aux arrêts pour refaire le plein».

Les industriels auront jusqu'au 25 novembre pour répondre à l'appel d'offres. Les résultats seront connus l'année prochaine pour une mise en service début 2017.

Ewa

Chine : CNR et CSR vont fusionner

512 CRH380A 6068L

Selon l’agence Xinhua, les 2 grands constructeurs chinois de trains, China CNR Corp. Limited et CSR Corp.Limited ont confirmé leur fusion pour…  style= »margin-top: 15px; margin-bottom: 15px; padding: 0px; font-family: arial; font-size: 15px; line-height: 20px; background-color: rgb(255, 255, 255); »>
faire face à la concurrence mondiale. Ils mettront fin ainsi à une compétition effrénée et assureront la promotion de la technologie chinoise à l'étranger.

Les détails de la fusion seront connus en fin de semaine.

Ewa

Ecosse : Hitachi fournira et entretiendra les trains, Abellio les exploitera

Glasgow Hitachi AT200 EMU small

Les journées du 8 et 9 octobre changeront pour longtemps le paysage ferroviaire écossais. Le 8, l’exploitation des trains de voyageurs a été attribuée par l’agence Transport Scotland pour sept ans (voire dix en cas d’accord) à Abellio, filiale des chemins de fer néerlandais… style= »margin-top: 15px; margin-bottom: 15px; padding: 0px; font-family: arial; font-size: 15px; line-height: 20px; background-color: rgb(255, 255, 255); »>
Les autres pré-qualifiés étaient Arriva, MTR, National Express et FirstGroup. Ce dernier, qui exploitait la franchise ScotRail depuis 2004, devra céder sa place le 1er avril prochain. Deuxième coup de tonnerre le 9 octobre, lorsque Hitachi Rail Europe a confirmé être le « preferred bidder » pour la fourniture et la maintenance des futures automotrices destinées aux trains de banlieue de Glasgow et Edimbourg, ainsi qu’aux nouvelles relations entre les deux villes via Falkirk, sur un itinéraire en cours d’électrification. Les rames Hitachi (46 tricaisses et 24 quadricaisses) seront les premières de la nouvelle gamme AT200 présentée cet été. Leurs caisses en aluminium seront soudées au Japon, mais le constructeur n’exclut pas de délocaliser cette opération dans sa future usine du nord de l’Angleterre si « deux ou trois » commandes étaient passées dans la foulée…

Ewa

Citadis X05 : La nouvelle génération du tram Alstom

ciatdisXO5smallsite

C’est à l’occasion d’InnoTrans, où était exposé un tram compact destiné à Aubagne, qu’Alstom a annoncé l’arrivée de la génération suivante de sa gamme Citadis, dite Citadis X05…  style= »margin-top: 15px; margin-bottom: 15px; padding: 0px; font-family: arial; font-size: 15px; line-height: 20px; background-color: rgb(255, 255, 255); »>
Si le tramway d’Aubagne présent à Berlin n’était pas à proprement parler un X05, il le préfigurait par plusieurs innovations, parmi lesquelles les moteurs à aimant permanent, les bogies Ixège, la longueur réduite de 24 m ou les portes doubles aux extrémités. Mais la démarche a été poussée plus loin pour le Citadis X05, avec une allée centrale plus large « tout en préservant la capacité totale », en particulier au niveau des intercirculations, et des surfaces vitrées augmentées de 12 % (« concept de balcon » avec des baies vitrées descendant presque jusqu’au plancher) à l’intérieur des modules suspendus. Plus économe en énergie, le Citadis X05 sera aussi plus rapide (80 km/h environ), ce qui devrait présenter un intérêt en périurbain. Mais si son plancher est bas, il n’est pas totalement plat du fait de l’adoption des bogies Ixège à « vrais » essieux, qui permettent de rouler sur toutes les qualités de voie. Toutefois, les « bosses » des modules sur bogie seront moins prononcées sur le futur tram d’Alstom que sur le compact d’Aubagne.

Pour ce qui est du Citadis X05, le choix des longueurs, de 23,9 m à 44,6 m, est plus large que par le passé : outre le format compact, plusieurs combinaisons seront offertes en jouant sur les portes d’extrémité (simples ou doubles) et les modules suspendus (courts ou longs). Dans la lignée du Citadis, deux solutions sans ligne aérienne de contact (APS et « systèmes complets d’autonomie embarquée ») sont proposées aux réseaux clients, qui pourront continuer de choisir leur nez ou leur livrée. Mais désormais, les éclairages LED (intérieurs et extérieurs) pourront également être choisis.

Si le compact d’Aubagne est destiné à rester un cas unique, il a tracé une nouvelle voie pour le Citadis. Et si le tram format compact d’Avignon finit par se faire, ce sera un Citadis X05, sans doute le premier.

Ewa

Stadler Rail : nouvelle commande de la Finlande

FLIRTJunakalustoOyFinnlandsmall

Stadler Rail va livrer 34 trains Flirt supplémentaires à l'entreprise finlandaise Jnakalusto Oy, qui regroupe les villes d'Helsinki, Espoo, Vantaa et Kauniainen (65%) et le VR-Group, les chemins de fer finlandais (35%) pour une valeur de… 200 millions d'euros.

La livraison des rames s'effectuera entre le début 2016 et le printemps 2017.

Selon le constructeur, le 1000 ème Flirt entrera en service sur le réseau ferroviaire de banlieue d'Helsinki, un modèle particulièrement adapté aux conditions hivernales.

Ewa

Bombardier fournira 16 véhicules légers au réseau de Manchester

Bombardier Transport, en consortium avec Vossloh Kiepe, va livrer 16 autres véhicules légers sur rail, de type Flexity Swift, au réseau Metrolink de Manchester dans le cadre d’une option de contrat conclu en 2007… style= »margin-top: 15px; margin-bottom: 15px; padding: 0px; font-family: arial; font-size: 15px; line-height: 20px; background-color: rgb(255, 255, 255); »>
Dans un communiqué du 22 septembre, Andrew Fender, président du conseil de TfGM, se dit « très heureux de cette commande qui portera notre parc à 120 véhicules. Elle est une preuve des grands progrès réalisés par notre réseau, qui comptait seulement 26 tramways à sa création en 1992. »

Depuis leur entrée en service, il y a près de cinq ans, les Flexity Swift, qui peuvent accueillir plus de 200 passagers, ont permis de soulager la congestion routière dans la région métropolitaine de Manchester.

Ewa

Siemens décroche un important contrat aux Etats-Unis

SanFranciscosmall

Le 19 septembre, Siemens a annoncé avoir remporté un contrat portant sur la construction de 175 voitures de métro léger pour l’Office des transports municipaux de San Francisco (SFMTA) pour un montant de 505 millions d’euros… Les tramways, de type S 200,  seront réalisés à l’usine Siemens de Sacramento, en Californie. Avec une option pour 85 voitures supplémentaires, c’est l’une des plus importantes commandes pour le constructeur aux Etats-Unis.

Les premiers véhicules seront livrés d’ici la fin de l’année 2016.