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Ewa

Médiatransports continuera à gérer la publicité dans les gares et le métro

Gare de Nantes

C’est un beau doublé que Médiatransports vient de réaliser. La régie publicitaire du groupe Publicis a annoncé hier avoir remporté coup sur coup le contrat d’exploitation de la publicité de la RATP et celui de Gares & Connexions.

Coté RATP, Métrobus poursuit une collaboration engagée depuis… 1949. La RATP ayant décidé de changer les règles du jeu depuis 2010 (auparavant le contrat était renégocié de gré à gré), Métrobus a remporté pour la deuxième fois l’appel d’offres pour l’exploitation des panneaux publicitaires de l’ensemble du réseau (métro, RER, trams, bus). Le nouveau contrat, qui doit démarrer le 1er janvier, durera cinq ans. Il prévoit de supprimer des supports papiers pour mieux les espacer. Certains seront remplacés par des panneaux numériques. Avec à la clé, estime-t-il, une diminution de 17 % de l’empreinte carbone de la publicité de la RATP. Aujourd’hui, on compte près de 38 000 faces publicitaires dans les stations, dont 1 000 écrans numériques, et 20 000 petits supports dans les véhicules.

Coté gares SNCF, Médiatransports a également remporté, via sa société Médiagare, un contrat qui débutera en janvier pour dix ans. Celui-ci prévoit une forte numérisation des panneaux publicitaires « afin d’accompagner la modernisation des gares et la stratégie portée par SNCF Gares & Connexions », indique Alexandra Lafay, directrice déléguée à la Communication de Médiatransports. Le groupe, qui exploite la publicité en gare depuis 2008, estime que son offre permettra de faire diminuer de 45 % les émissions de ce parc publicitaire sur les dix prochaines années. Actuellement, Médiagare gère environ 10 000 mobiliers papiers et près de 1 500 mobiliers numériques dans 800 gares.

M.-H. P.

Ewa

La SNCF lance une campagne publicitaire de reconquête

campagne publicitaire SNCF

Juste avant de fêter les 40 ans du TGV, la SNCF lance, à partir du 29 août, une grande campagne publicitaire afin de redorer son image, souvent malmenée, et reconquérir ses clients. Cette publicité baptisée « Hexagonal » marque aussi le lancement de la nouvelle signature du groupe « Pour nous tous ».

Elle cherche à « témoigner de ce lien unique qui unit les Français à la SNCF », explique l’entreprise qui a choisi l’artiste Gaël Faye pour commenter en voix off, à travers le slam, des scènes bien ancrées dans l’imaginaire collectif : quotidien des voyages, regards perdus sur les paysages qui défilent, contrôleurs, supporters revenant de matchs, mais aussi transport amoureux et événements exceptionnels, avec des défilés de mode ou des TGV médicaux. Un condensé d’histoires, rythmé, d’une durée d’une minute trente, qui raconte la SNCF et sa relation avec les Français.

Organisée par Zenith France (Publicis Media) la première vague de cette campagne sera déployée jusqu’au 12 septembre en TV, accompagnée d’un volet affichage dans les gares et d’un dispositif social media. Dès hier, le film était posté sur les réseaux sociaux, un petit groupe de cheminots ayant eu la primeur de la vidéo, nous a expliqué BB27000 un des tweetos ferroviaires les plus lus de la Toile.

Ewa

Campagne de pub SNCF. Émilie, la cheminote star de TF1

emilesmall

C’est déjà une star. Mais c’est une star accessible. Il suffit de demander à parler à « Émilie », à l’un de ses collègues de l’Escale de Saint-Lazare, pour qu’il vous guide aussitôt. La veille au soir, juste avant … … le journal de 20h de TF1, elle a décrit son métier d’agent d’Escale dans un clip, premier d’une série qui vise à montrer le travail des agents. Mais des « vrais » agents : Émilie s’appelle bien Émilie. Elle exerce vraiment le métier d’agent d’Escale et elle travaille sans conteste à Saint-Lazare. Les agents qui racontent leur métier sont, et seront, filmés sur le vif, au travail, quelques heures avant la diffusion. Une gageure lorsqu’on connaît les délais de « production » de l’audiovisuel. Mais l’équipe est très légère. « Ils étaient trois », raconte l’agent d’Escale : un caméraman, un preneur de son et le réalisateur. « Ça a pris trois heures », ajoute-t-elle. « Mais c’était plutôt court, parce qu’ils avaient prévu quatre heures ». C’est toujours ça de gagné pour le montage.

Dans la salle de repos, Émilie raconte l’aventure. « Le réalisateur est venu en février pour les repérages ». Pourquoi elle ? « J’étais la seule femme ce jour-là », dit modestement Émilie, que tous ses collègues ne cessent de taquiner depuis le matin. « On a tous fait un selfie avec elle ! », rit l’un d’eux. Aucune jalousie de ne pas avoir été choisi. « De toute façon, ils cherchaient une fille ! », ajoute un autre, sans regret.

Émilie, la trentaine, est en poste à Saint-Lazare depuis août 2014. « En février, au moment des repérages, je n’étais même pas encore commissionnée ». Après deux années de chômage, elle postule pour un poste à la SNCF. « Je visais plutôt la Suge », explique celle qui avait passé quelques années dans la police. « Mais c’est l’Escale qui a répondu la première ».

Et c’est l’Escale qui la met en avant aujourd’hui.

 

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