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Nice . Concertation publique pour le design du tramway de la ligne 2

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A partir du 30 novembre et jusqu'au 31 janvier, la métropole Nice Côte d'Azur invite les habitants à se prononcer sur le design du futur tramway de la nouvelle ligne Ouest-Est… La ville de Nice lance une concertation publique afin de permettre aux niçois de voter pour le design des futures rames de tramway de la ligne 2.

Le designer français Ora-Ïto, en collaboration avec Alstom, a imaginé 3 livrées pour les 19 Citadis X05 que la ville vient de commander à l'industriel et qui entreront en service en 2018.

Une première proposition appelée "La ville en bleu" est un hommage à Yves Klein, plasticien emblématique et natif de Nice, célébre pour son bleu lumineux outremer baptisé International Klein Blue (IKB) et qui arbore les deux couleurs représentatives de son œuvre, l’or et le bleu. La deuxième proposition "Le Ruban" a pour objectif de faire la jonction entre l'aéroport et le port et reprend la couleur bleue du ciel et de la mer commune à ces deux lieux. La troisième livrée "Ocre", est quant à elle inspirée directement du patrimoine architectural local et plus particulièrement du Musée Matisse, bâtisse emblématique de la ville.

 

site de la consultation : nice-tram-design.fr

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Export : ça roule pour les tramways français

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La french touch fait vendre. Les tramways français s’exportent, boostés par leurs succès hexagonaux, qui leur servent de showroom pour convaincre les décideurs dans le monde. Toute une filière en profite : constructeurs, exploitants, designers et architectes. Revue de détails avec ceux qui contribuent à son succès et sont intervenus en marge des rencontres Transrail. La table ronde « Le tramway à la conquête de monde », qui s’est tenue lors des rencontres internationales du ferroviaire et de la mobilité durable, Transrail connection 2015, fut l’occasion de mettre en lumière le renouveau des tramways en France. Alors que ce mode de transport avait quasiment disparu, il renoue avec le succès depuis une trentaine d’années. Après un retour à Nantes puis Grenoble en version TFS dans les années 80, c’est avec la commande de tramways du maire de Montpellier, que démarre la success story de Citadis. Un tramway à plancher bas conçu fin 1990 par Alstom pour répondre aux exigences du cahier des charges du maire, Georges Frêche. Ce même matériel équipera ensuite les réseaux d’Orléans puis de Dublin. En 1998, un autre maire, Bernard Rivalta à Lyon, pousse Alstom à lui proposer un nouveau Citadis XO2 à plancher bas intégral. Véhicule qui sera repris à Valenciennes, à la RATP pour le T2 et sera exporté en Afrique du Nord, d’abord à Tunis, puis à Casablanca, avant d’être destiné à équiper les villes d’Algérie, dont Oran et Alger… Et c’est encore un maire, Alain Juppé à Bordeaux, qui fera évoluer le Citadis en exigeant pour sa ville un véhicule sans fils. Alstom répondra à cette demande en développant l’alimentation par le sol qui séduira aussi les villes d’Orléans, Angers et Tours et sera exporté à Dubaï aux Emirats Arabes Unis, à Cuenca en Equateur et à Rio au Brésil. Plus récemment, la ville de Nice s’est équipée d’un Citadis XO5. Un modèle de tram sans ligne aérienne disposant d’une autonomie sans fil avec alimentation ponctuelle en station. Une première et un nouvel emblème de savoir-faire qu’Alstom entend bien utiliser pour continuer à exporter. Depuis son lancement en 1997 le Citadis a été vendu à plus de 1 800 exemplaires dans le monde. « Le marché du tram est un véritable catalyseur d’innovations », commente Bernard Dailly, vice-président Light rail vehicule platform chez Alstom Transport. Et quand Alstom gagne un marché, l’entreprise sécurise 1 000 emplois en France dans ses différentes filières et procure du travail à 3 000 personnes chez ses partenaires et ses sous-traitants.

Le succès français, une vitrine pour l’export
Le succès d’Alstom bénéficie à toute une filière, elle aussi française. A commencer par les exploitants. « Il y a dix ans nous avions trois métros et deux trams en exploitation. Aujourd’hui nous avons toujours trois métros, mais nous avons 11 tramways en exploitation en France », se félicite Régis Hennion, Metro and light rail director chez Keolis. Et le succès du tramway contribue au développement de la filiale de la SNCF, parce que cette activité est rentable. « Il y a les trams qui gagnent de l’argent et ceux qui gagnent beaucoup d’argent », affirme M. Hennion. Dopé par son succès français, le tramway s’exporte. Keolis a ouvert des lignes dans cinq pays en dix ans. « Nos 11 tramways français nous permettent de capitaliser un savoir-faire pour le reproduire au bénéfice des appels d’offres », explique Régis Hennion. Le succès des tramways français est une force à l’export dont les designers hexagonaux bénéficient également. Véronique Flament, directrice du Développement de l’agence de design industriel MBD, qui a travaillé pour le tram de Strasbourg, Marseille, Reims ou pour les lignes T7 et T8 à Paris, le confirme. Son agence tire 70 % de son chiffre d’affaires à l’international. « Pour le projet de tram dans la banlieue de Shanghai, si nous avons été consulté, c’est parce que nous connaissions très bien le tramway et que nous étions dans le sillage d’Alstom. Nous avons un savoir-faire, une approche mûrie des expériences françaises que l’on est capable d’amener à l’étranger. Quand on arrive, nous sommes capables de montrer de beaux exemples. Il existe peu de pays au monde qui puissent dire la même chose. » Si l’agence de Véronique Flament bénéficie du succès d’Alstom, elle accompagne aussi des constructeurs étrangers. Ce fut le cas sur le projet de rénovation du tramway de Hongkong. L’agence de design a apporté sa french touch à un constructeur chinois pour moderniser le tram hongkongais datant de l’époque coloniale, afin de le doter des technologies et du confort modernes sans lui faire perdre son âme. La flotte, qui présente la spécificité d’être à deux niveaux, sera alors remplacée à raison de deux nouveaux tramways tous les mois jusqu’en 2010. Pour le tram d’Izmir en Turquie, MDB a travaillé avec le constructeur coréen Rotem pour proposer un tramway capable de vaincre les réticences des ouvriers de cette cité turque. « Il a fallu démontrer ce que le tramway pouvait apporter à leur ville, faire des propositions d’apparence, d’aménagement ». Pari gagné, les deux lignes de tramways turques seront mises en circulation dans quelques semaines.

Un tram acheté, une ville repensée
Une ville qui s’équipe en tram en profite généralement pour revoir son urbanisme. Si cela n’a pas été le cas lors de l’implantation du tram à Nantes, à Grenoble en revanche, deuxième ville française à s’être équipée, l’urbanisation a été repensée sous l’impulsion du maire. Alain Carignon avait souhaité doubler l’aménagement en tram d’un acte d’urbanisme fort avec une intégration urbaine soignée et coûteuse. Coûteuse mais utile, puisque cela a permis de faire accepter de revoir la politique de circulation et de stationnement. Depuis, tous les tramways français ont permis de repenser les centres-villes. « Ils ont joué un rôle de requalification urbaine », confirme l’architecte Thomas Richez qui assure que le réaménagement urbain qui accompagne la création d’une ligne de tramway permet « Si les tramways ne sont utilisés que par 20 % des citadins, les 80 % qui ne l’empruntent pas bénéficient du réaménagement urbain qui offre notamment un centre-ville apaisé. »une satisfaction politique générale.  Bien traités les dossiers tram remportent désormais tous les suffrages en France. Thomas Richez en veut pour preuve l’exemple de la deuxième ligne du tramway à Strasbourg. « Si la première ligne avait suscité réticences et inquiétudes, lors des réunions publiques sur l’aménagement de la deuxième ligne, les Alsaciens poussaient pour réduire encore plus la place des voitures en centre-ville. »
On l’aurait presque oublié aujourd’hui tant ce mode de transport fait partie du paysage, mais le tram a dû se battre et convaincre pour trouver sa place. « Dans certaines villes, il a fallu batailler pour l’imposer. Ce fut le cas à Strasbourg ou Bordeaux », se souvient Didier Fremeaux, directeur Grand Paris de Transdev. Depuis ce mode de transport a gagné sa légitimité. « Il est désormais acquis que pour les villes de 100 000 à 10 millions d’habitants le tramway a sa place. C’est même devenu un symbole de la ville. » Ce mode de transport a conquis une trentaine de villes françaises et débuté une carrière internationale prometteuse qui a bénéficié à l’exploitant. Transdev exploite des tramways à Dublin, Shenyang, Cincinnati, Barcelone, Porto, à la Nouvelle-Orléans et à Hongkong. Pour Didier Fremeaux, « il y a dans l’histoire des tramways français des expériences qui peuvent intéresser d’autres villes dans le monde et les inciter à passer à ce mode de transport capable de transporter 20 millions de voyageurs par an. »

Un succès qui s’exporte
A l’étranger le tram connaît encore les problèmes d’acceptabilité qu’il a pu rencontrer par le passé en France. Ce fut le cas à Sydney où l’architecte Thomas Richez a dû travailler pour préparer son arrivée sur George Street, l’une des principales artères de la ville australienne. L’architecte a été confronté à l’absence d’un maître d’ouvrage unique. « Le dialogue avec les génicivilistes a été compliqué », témoigne-t-il. Jean-Luc Chapoton Business development director Middle-East à RATP Dev confirme rencontrer lui aussi des difficultés lors de la mise en place de projets de lignes de tram. « En France on est face à des maires, élus et responsables de leurs projets. Au Moyen-Orient, l’exploitant se retrouve parfois face à 50 personnes qui doivent se mettre d’accord pour pouvoir avancer. Il manque une organisation institutionnelle. » Mais heureusement les choses évoluent. Autre différence constatée par M. Chapoton : « Dans notre pays les contraintes sont liées à la satisfaction des citoyens électeurs. Au Moyen-Orient les seules contraintes sont le timing événementiel. » Le Qatar avait ainsi pour seule contrainte d’avoir terminé son tramway à temps pour la Coupe du monde de football. Les pays du Moyen-Orient ont davantage de moyens qu’en Europe, mais pas la même organisation et pas les mêmes contraintes. « Les Qataris qui créent la ville de Lusail à partir d’une page blanche ont d’abord pensé à dessiner les lignes de métro/tram. La ville sera construite autour », rapporte M. Chapoton. Le développement du tramway a changé le regard que la RATP avait sur ce mode de transport au fur et à mesure de son expansion. RATP Dev est passé en quelques années de 35 km de lignes en exploitation en Ile-de-France à 143. A l’international, l’entreprise qui n’avait d’une seule ligne située à Florence en Italie en 2010, en exploite désormais 320 km dans le monde. A travers ce développement, Jean-Luc Chapoton a lui aussi constaté que le tramway à la française était un vrai vecteur de transformation de la ville et de la société.

La force française : son savoir-faire
Pour aborder les appels d’offres à l’étranger la France bénéficie d’une belle vitrine : « trois exploitants, 100 lignes de tram dans quinze pays, il n’y a pas d’autre pays qui dispose de ce potentiel », assure Jean-Luc Chapoton. Le savoir-faire français devrait donc offrir au tramway hexagonal un bel avenir à l’export. Surtout si les différents partenaires parviennent à davantage encore de synergie. Tous les acteurs de la filière en ont conscience. « Pouvoir allier performance technique et design est une force, reconnaît Régis Hennion. Quand on veut monter un projet à l’étranger, le design est un plus car il apporte une identité à la ville. Les étrangers ouvrent les yeux sur ce que le tram peut apporter à leur agglomération. » Car le tramway n’est pas un mode de transport comme les autres. Il devient souvent un élément identitaire fort de la ville. « Quand on a gagné des marchés avec Alstom, on avait une équipe française. Il faut mettre la french touch au bénéfice des entreprises hexagonales. Plus on gagnera de marchés, plus on en bénéficiera tous parce que cela augmente notre image », poursuit M. Hennion. Thomas Richez, qui se félicite de la réussite du tram à la française à l’international, regrette que « l’architecte ne soit attendu que si on fait passer le message que construire seulement un tramway sans penser urbanisation est limité, qu’il faut travailler la ville. Les exemples français sont là pour le démontrer ». D’où sa demande à ses partenaires : « Pensez à placer des compatriotes. »

Quelques freins à surmonter
Reste que même très performants les tramways français doivent se battre pour percer à l’export. « Nous avons des concurrents et il faut savoir s’imposer pour vendre nos innovations », constate Bernard Dailly qui est confronté au protectionnisme de certains marchés, comme aux Etats-Unis avec le Buy American Act, au Canada ou encore en Chine. Pire, Alstom regrette que certains marchés lui soient interdits. « On ne peut pas aller en Corée ou au Japon, affirme M. Dailly. Pour pouvoir emmener notre savoir-faire à l’export, nous sommes parfois amenés à nous localiser sur ces marchés pour pouvoir les aborder », ajoute-t-il. RATP Dev confirme les difficultés rencontrées à l’international : « Dans certains pays il existe des barrières à l’entrée. En Arabie saoudite par exemple, il faut s’associer avec un local. » Ce qui fait la force du tram français à l’export, c’est non seulement son image très forte, assure Didier Fremeaux, mais aussi « le fait qu’en France on ait la capacité d’être là sur tous les modes et pas de proposer seulement du tram. Dans le reste du monde il y a pléthore de réflexions mais aucune structurée comme le sont les transports en commun en France. » Il conclut : « Dans le monde quand on pense France on pense Dior ou Airbus, mais les transports en commun sont une flèche pour les métiers que nous faisons. » Un peu d’esprit de corps ne nuit pas.
Valérie CHRZAVZEZ-FLUNKERT

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Colombie : le tram Translohr en service à Medellín

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Le tramway NTL (New Translohr, détenue à 51 % par Alstom) est entré en service le 15 octobre sur la ligne d’Ayacucho à Medellín, en Colombie. Les tramways sont exploités par… style= »margin-top: 15px; margin-bottom: 15px; padding: 0px; font-family: arial; font-size: 15px; line-height: 20px; background-color: rgb(255, 255, 255); »>
… Metro de Medellín sur la ligne de 4,3 km de long qui relie les métros A et B de la ville et deux nouvelles lignes de métrocâble. Une première section de la ligne de tramway, qui dessert neuf stations, a été ouverte le 15 octobre 2015 et devrait transporter près de 85 000 voyageurs par jour.

En avril 2012, la ville de Medellín a commandé, pour 42,3 millions d’euros, 12 tramways sur pneus Translohr STE 5 (39 m de long) à NTL. Un matériel maniable, pouvant gravir de fortes rampes, bien adapté aux caractéristiques de la ligne. Alstom, en tant que leader du consortium UT Alstom-Sytecsa, fournit également l’alimentation électrique pour l’ensemble du projet.

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Maroc Casablanca commande 50 tramways supplémentaires à Alstom

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Le 13 octobre, la ville de Casablanca a passé commande de 50 rames de tramway supplémentaires auprès d'Alstom. Les Citadis, identiques à ceux déjà en circulation, seront mis en service sur le nouveau tronçon dès 2018 trois ans après sa mise en service, le tramway de Casablanca connaît un réel succès et son trafic a augmenté de 30 %. Pour faire face au besoin croissant de mobilité, la ville a décidé de créer une seconde ligne de 22 km. A terme, le réseau s'étendra sur 53 km, contre 31 km aujourd'hui. Le parc de véhicules quant à lui comptera 124 unités contre les 74 actuels.
Le montant de la commande s'élève à 100 million d'euros.

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Mise en service de l’extension du tram de Nottingham

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Le 25 août, Alstom et son partenaire anglais Taylor Woodrow ont annoncé avoir achevé les travaux d'extension du réseau de tramway de Nottingham… Nottingham Express Transit, le réseau de tramway de Nottingham a doublé sa capacité d'accueil. Il compte désormais 32 km de long , contre 17, 5 km avant travaux. Les 2 entreprises partenaires ont conçu toute l'infrastructure en fournissant les câbles aériens, les voies et la signalisation. Par ailleurs,  Alstom a livré 22 tramways supplémentaires, qui viennent s'ajouter aux 15 rames Incentro de Bombardier, déjà en service . L'industriel aura en charge la maintenance de l'intégralité du parc.

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Alstom livre le premier Citadis à Rio de Janeiro

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Parti depuis 20 jours de La Rochelle, le premier Citadis à destination de la ville de Rio de Janeiro vient d'arriver dans le port brésilien Selon le contrat signé en 2013, Alstom fournira 32 rames à Rio de Janeiro. Les cinq premiers tramways seront construits en France et assemblés sur le site de La Rochelle et les 27 autres seront produits au Brésil, dans la nouvelle usine du groupe à Taubaté.

Le tramway de Rio combinera la technologie APS à des supercondensateurs installés sur le toit du tramway qui stockent l’énergie et la régénèrent au moment du freinage.

A terme, la ligne du tramway comptera 28 km et 32 stations. Un tronçon sera partiellement opérationnel à la mi-2016 pour les jeux Olympiques.

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Avant Première signe le design du tramway de Luxembourg

Tram Design

Le 18 mai dernier, le conseil d'administration de Luxtram a désigné CAF, comme fournisseur du tramway pour la ville de Luxembourg, pour un montant d'environ 83 millions d'euros L'industriel espagnol livrera 21 rames pouvant accueillir 450 personnes. La livraison est prévue début 2017, pour une mise en l'exploitation commerciale entre Luxexpo et le Pont rouge au second semestre de la même année.
Le 1er juillet, le design du tramway de Luxembourg a été dévoilé. Il est le fruit d'une coopération étroite entre CAF, le design Eric Rhinn de l'Agence Avant Première et de deux artistes, Michel Léonardi, plasticien et Isabelle Corten, designer lumière.

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40 tramways supplémentaires pour Gand et Anvers

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En accord avec la commande initiale signée en septembre 2012, la société De Lijn, en Belgique va commander 40 tramways supplémentaires de type … Flexity 2 à l'industriel Bombardier pour les villes de Gand et Anvers.

Le parc de tramways augmentera de 48 à 88 unités.

Le contrat est estimé à 97 millions d'euros.

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Marseille. Une troisième ligne de tram en service le 30 mai

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La troisième ligne de tramway de Marseille entre en service le samedi 30 mai. Sur 1,2 km seulement, entre la Canebière et la place Castellane, le nouveau tronçon … emprunte la très commerçante rue de Rome et est jalonnée de cinq stations. Ce prolongement a coûté 57,4 millions* et nécessité deux ans et demi de travaux en raison de la complexité du site. C’est donc « la fin d’une galère », comme l’a relevé le président de la communauté urbaine Guy Teissier, lors du voyage inaugural du 28 mai. Connectée vers le nord au tracé de la ligne T2, entre la Canebière et le terminus d’Arenc, aux portes du port de Marseille, la ligne T3 comporte au total 11 stations sur 3,6 km. Elle a nécessité l’acquisition de six nouvelles rames de tramway. La Régie des transports de Marseille (RTM) a par ailleurs engagé une trentaine d’agents supplémentaires et formé d’autres personnels à la conduite des tramways. Elle compte désormais 130 wattmen au lieu de 90, tous n’étant pas affectés à la conduite.
Ce prolongement sur la rue de Rome, un « doublon » avec le métro pour nombre de Marseillais, constitue surtout « une étape, une porte vers le sud », comme l’a rappelé Maxime Tommasini, président de la RTM. Il préfigure en effet l’extension du réseau de tramway vers le sud de la ville, maillon du futur axe de TCSP nord – sud.
Après avoir démarré lentement, le réseau de tramway marseillais enregistre 18 millions de voyageurs par an, dont 65 % sur la ligne 1. Avec le prolongement lancé le 30 mai, Maxime Tommasini table sur une augmentation « de 20 % de l’utilisation des transports en commun ».
José SOTO
*63,1 % par la communauté urbaine, le reste par le département des Bouches-du-Rhône (22,3 %), l’Etat (7,9 %), la région Paca (3 %), la ville de Marseille (2 %), et les concessionnaires et opérateurs pour les déviations de réseaux (1,7 %).
 

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Equateur. Livraison du premier Citadis de Cuenca

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Le premier tramway Citadis d'Alstom pour la ville de Cuenca en Equateur a quitté le site de construction de La Rochelle. Arrivée le 17 mai dans le port d'Anvers, la rame … devrait atteindre sa destination finale fin juin.
En 2013, la ville de Cuenca avait choisi le consortium Cita Cuenca (CIM, Ineo, TSO et Alstom) pour la fourniture d’un système intégré de tramway. Le contrat prévoit la construction de 14 rames Citadis en France, la dernière sera expédiée en octobre 2015.
Le premier réseau en Equateur qui comptera 10 km de ligne et 20 stations, devrait entrer en service en 2016.