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Moratoire sur le Grand Paris ?

© architecture Groupe-6 image AsymmetricA

Il n’y a pas que les constructeurs automobiles pour prévoir des véhicules merveilleux et coûteux. On peut aussi concevoir des systèmes de transport public flambant neufs qui ne servent pas à grand-chose et qui coûtent très cher. Et qui sont portés par une structure dont le premier objet est de se perpétuer.

C’est, pour Jean Vivier, ancien chef des services d’études à la RATP, le cas du Grand Paris Express, mal né, mal pensé (on parle du projet), et c’est en même temps le cas de la SGP (on parle de la structure). Il a appelé dans Le Monde à un grand moratoire, fondé sur le diagnostic très sévère de la Cour des comptes. Proposition : on sursoit pendant 18 mois aux travaux des lignes 16, 17 et 18. On en confie l’expertise après appel d’offres international à un bureau d’études indépendant. Et on organise des grandes consultations locales, en comparant le projet à un programme d’amélioration du réseau existant. Jean Vivier rappelle la Lettre ouverte aux autorités de 70 professionnels de l’urbanisme et de transports, demandant en avril dernier la suppression de la ligne 17 nord et de la ligne 18. Sans succès : « rien ne semble remettre en cause ce projet, en partie inutile, projet qui semble soutenu par presque tous les partis politiques », regrette l’expert. Pas facile en effet de se retirer d’un grand projet, au risque de se faire accuser de manquer d’ambition pour sa région. Reste que cette petite musique insistante va peut-être finir par toucher des responsables politiques qui seront attentifs aussi aux dérapages des coûts.

...

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Retrouvez l’article Moratoire sur le Grand Paris ? dans le magazine VR&T n°649-650

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