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Ewa

Le prix du billet à l’unité plafonné à 5 euros au maximum dans les trains et les RER en Ile-de-France

RER A MI09 Val Europe

Depuis le mois de mars, le prix à payer a changé pour les usagers occasionnels qui embarquent à bord des trains et des RER en Ile-de-France (hors aéroports) : le prix à l’unité est plafonné à 5 euros, avec la garantie que le prix maximum par ticket dans un carnet de dix ne pourra pas dépasser 4 euros. « L’objectif de cette mesure est d’encourager les Franciliens de grande couronne qui se déplacent occasionnellement à utiliser davantage les transports en commun en leur proposant un tarif simple et plus abordable », explique IDFM, l’autorité organisatrice des transports. Jusqu’alors près de 21 millions de trajets étaient réalisés en achetant des tickets à plus de 5 euros par environ deux millions de personnes.

Cette décision va à l’encontre des préconisations de la Cour des comptes qui, dans son dernier rapport, suggérait plutôt d’augmenter le prix payé par l’utilisateur pour remettre à flot les finances dégradées d’IDFM. Mais pour l’autorité organisatrice dirigée par Valérie Pécresse, il faut d’abord reconquérir les usagers qui se sont détournés des transports publics. A ce jour entre 20 et 25 % d’entre eux n’ont toujours pas remis les pieds dans les enceintes des transports publics franciliens.

Ewa

L’association CARE noue un partenariat avec Bpifrance

Paris Normandie-Saint Lazare

CARE et Bpifrance ont annoncé le 7 mars avoir noué un partenariat pour lancer le nouveau programme d’accompagnement de l’association en faveur de 54 PME du secteur ferroviaire sélectionnées. Ces PME seront accompagnées chacune pendant 22 jours (sur une durée 12 mois) pour accélérer leur transformation. « Cette amélioration de la performance collective doit permettre de disposer d’une chaîne d’approvisionnement française plus robuste, capable de proposer des produits et des services en adéquation avec la demande du marché, et d’être plus présente sur les marchés export », indiquent les deux partenaires dans un communiqué. « Neuf « grappes » de six PME-PMI seront constituées autour d’un grand donneur d’ordre afin d’améliorer la maturité, la performance et la relation industrielle ». Ce programme bénéficie du soutien financier de l’Etat dans le cadre de France 2030.

Ewa

Avec l’arrivée de Bernhard Hoffmann, Ermewa veut développer le segment intermodal

Bernhard Hoffmann

Depuis le 1er mars, Bernhard Hoffmann est responsable du Segment intermodal d’Ermewa, un poste nouvellement créé par la société de location de wagons dont le siège est à Paris. Cet ancien de Hamburg Port and Logistics (HPL), qui a notamment aussi travaillé pour DB Cargo et VTG Rail Logistics, est également chargé de la coordination des ventes des wagons intermodaux. « A 49 ans, il est un expert des marchés du transport multimodal ainsi que des opérateurs et des entreprises de transport ferroviaire en Europe », explique Ermewa qui veut faire de cette activité l’une des priorités pour les années à venir.

L’ancienne filiale de la SNCF, qui l’a cédée en fin d’année dernière à la Caisse de dépôt et placement de Québec (CDPQ) et à la société allemande de gestion d’actifs DWS, dispose de 44 000 wagons (120 types de wagons différents). Ermewa a récemment décidé d’enrichir sa flotte intermodale de 4 000 nouveaux wagons qui seront livrés progressivement au cours des quatre prochaines années.

Ewa

Smoove-Zoov prend le nom de Fifteen et lève 40 millions d’euros

VLS Smoove Smovengo

Presque un an après l’annonce de leur rapprochement, les entreprises Smoove et Zoov dévoilent aujourd’hui leur nouveau nom : Fifteen. « Cela veut bien sûr dire quinze en anglais, et cela fait aussi référence au concept de la ville du quart d’heure, où tous les services essentiels, habitat, travail, commerces et loisirs sont à un quart d’heure. Notre ambition est de participer à un projet de déplacements plus vertueux, dans une ville plus apaisée », explique Benoît Yameundjeu, le PDG de Fifteen.

Fournisseur de vélos électriques en libre-service, Fifteen veut désormais proposer aux collectivités des « Réseaux vélos augmentés », un concept qui rassemble les différents services liés aux vélos (vélos en libre-service, vélos en location longue durée, vélos en gare, vélos touristiques…) dans le cadre d’un réseau cohérent et interconnecté avec les transports publics. La technologie embarquée, qui analyse les données d’utilisation, permet de transformer n’importe quel vélo en libre-service en vélo « personnel » de location longue durée afin de s’adapter aux besoins et aux préférences des utilisateurs. Les données récoltées lors des déplacements aident aussi les autorités organisatrices de transports à comprendre les flux de trafic sur le territoire. « On peut ainsi modifier l’affectation d’une partie de la flotte de vélos vers le libre-service en période estivale pour une utilisation touristique, et le reste de l’année vers la location longue durée pour les étudiants ou les salariés », poursuit Benoît Yameundjeu. L’analyse des usages permet aussi d’adapter le réseau, et d’engager des projets d’infrastructure en fonction des comportements. « L’important c’est de convaincre de pratiquer le vélo. Après, peu importe qu’il se décline en vélos en libre-service, en free floating (plus adaptés aux centres-villes) ou en location longue durée (plus pertinent dans un habitat plus dispersé) ».

Présent dans des villes moyennes comme Epinal, Landerneau, Saint-Brieuc et Carcassonne, et de plus grande tailles comme Nice, Strasbourg, Montpellier et même Paris – notamment via les Vélib’ fournis à Smovengo – Fifteen s’est également implanté à l’étranger (Helsinki, Lima, Vancouver et Moscou). Au total, l’entreprise exploite 50 000 vélos dans 30 villes.

Pour continuer à se développer, Fifteen vient de lever 40 millions d’euros, auprès d’Eiffel Essentiel, un fonds de capital-investissement spécialisé dans la transition énergétique, et auprès d’Evergreen 2050, un fonds d’investissement créé par Marie Ekeland et tourné vers les investissements autour de l’environnement avec trois critères : le report modal, la santé en luttant contre sédentarité, et l’inclusivité des zones périurbaines. Trois objectifs partagés par Fifteen, selon son PDG.

Yann Goubin

Ewa

Damien Pallant devient directeur général adjoint Sécurité de SNCF Réseau

Damien_Pallant

Jusqu’alors directeur Sécurité de SNCF Voyageurs, Damien Pallant est devenu le 3 mars directeur général adjoint Sécurité de SNCF Réseau. Il succède à Jean-Claude Larrieu, qui a pris au début de l’année la direction des Risques et de la Sûreté du groupe SNCF.

Diplômé de l’Ecole nationale de l’aviation civile et d’un master exécutif de Sciences Po et de l’Université de St Andrews, Damien Pallant a effectué l’essentiel de sa carrière au sein d’Air France, passant en 22 ans de copilote à directeur en charge de la Performance opérationnelle, et par différents postes de management opérationnel et de transformation, rappelle un communiqué de SNCF Réseau.

 

Ewa

Le réseau de transport poitevin Vitalis renforce la sécurité pour ses agents

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Bien que le nombre annuel d’incidents soit en baisse, le réseau poitevin Vitalis connaît une forte hausse des agressions ; 11 ont été totalisées en 2021 dont sept entre septembre et décembre. La direction de l’entreprise vient d’annoncer la mise en place d’un plan visant à renforcer la sécurité de ses agents.

Doté d’un budget global de 334 000 euros, il liste 18 actions parmi lesquelles l’installation de vitres anti-agressions dans les postes de conduite des bus. Parallèlement, la collaboration entre les forces de l’ordre et l’entreprise a été renforcée via un protocole sur l’échange d’information et le suivi des procédures judiciaires.

J.-S. T.

Ewa

La RATP revient dans le vert

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Avec un chiffre d’affaires en hausse de 6 % (plus de 5,8 milliards d’euros), l’année 2021 a plutôt été satisfaisante pour le groupe RATP malgré la crise sanitaire qui a entraîné une baisse de la fréquentation des transports (- 29 % par rapport au niveau d’avant-crise).

Avec l’amélioration de la situation sanitaire, la RATP a déjà constaté une reprise progressive du trafic voyageurs en Ile-de-France de + 24 % par rapport à 2020. Cette reprise est de + 12 % dans les bus, le mode qui a le mieux résisté pendant la crise, de + 18 % dans les trams, et de + 35 % pour le réseau ferré. « C’est logique, puisque c’est le mode qui avait le plus baissé pendant la crise sanitaire », explique Catherine Guillouard, la PDG du groupe RATP.

Le groupe affiche un résultat net de 207 millions en 2021, en hausse de +341 millions par rapport à 2020 (année marquée par un résultat négatif de 134 millions).

Le chiffre d’affaires du groupe en 2021 est porté par ses filiales. Ensemble, elles représentent 23,5 % du total (contre 21,9 % en 2020). Parmi elles, RATP Dev affiche une hausse de son chiffre d’affaires de + 12,9 %, à plus d’1,3 milliard d’euros, principalement grâce au démarrage de l’exploitation du réseau de Toscane, en novembre 2021. « Un contrat à 400 millions par an sur onze ans », précise Catherine Guillouard. « L’Italie va passer devant le Royaume-Uni parmi les marchés étrangers de RATP Dev. » S’y ajoutent la montée en puissance des opérations sur les métros de Riyad (ligne 1 et 2), du Caire (reprise de l’exploitation de la ligne 3 du métro en juin 2021) et le développement aux Etats-Unis (Indianapolis).

En France, RATP Dev a remporté des victoires dans les Alpes, notamment en Haute-Savoie avec un contrat à Thonon, et dans la Somme avec du transport à la demande. Ses contrats ont aussi été renouvelés à Boulogne et dans la Vienne.

En Ile-de-France, une autre filiale du groupe, RATP Cap Ile-de-France répond aux appels d’offres lancés par IDFM et porte les nouveaux contrats remportés en 2021. Ce qui représente pour le moment un volume d’affaires total de 90 millions par an avec l’exploitation des réseaux du Mantois, du plateau de Saclay et le tram T10 ainsi que les lignes de bus qui y sont attachées. C’est aussi cette société.

Une nouvelle filiale, créée en 2021, RATP Solutions Ville réunit plusieurs filiales existantes : RATP Connect (service 3G/4G), RATP Real Estate, RATP Habitat et RATP Capital innovation. Elle a remporté la concession du réseau de fibre du Grand Paris Express (500 millions sur 25 ans, avec participation de la CDC à 25 % ) et la gestion du réseau frigorifique de la Ville de Paris, contrat de 2,4 milliards sur 20 ans, dans un partenariat à hauteur de 15 % avec Engie/Climespace).

Malgré la crise, le groupe n’a pas réduit ses efforts d’investissement. En 2021, les investissements ont fait un bond de 18 % par rapport à 2020, à 2 708 millions d’investissements bruts consolidés. Parmi eux figurent 618 millions destinés au prolongement des lignes de métro et de tramway, dont 575 millions aux seules lignes 14 Nord, 11, 12, et 4.

Les investissements sont restés soutenus : plus de 2,3 milliards, soit + 8 % par rapport à 2020. Près de la moitié de cette somme a servi à moderniser le réseau et entretenir les infrastructures (projet MF19, automatisation L4 et modernisation L6, rénovation des rames MI2N et MI84, finalisation du RVB du RER A, conversion des centres bus à l’électrique et au biogaz et achat de bus électriques) et au prolongement de la ligne 14 au sud vers Orly, réalisés en tant que maître d’ouvrage délégué pour le compte de la SGP (409 millions).

Y. G.

Ewa

Bientôt deux nouveaux opérateurs de scooters électriques en libre-service à Toulouse

Loi mobilités

Alors qu’Indigo Weel a quitté Toulouse après trois ans de présence et l’incendie de son entrepôt logistique mi-décembre, deux autres acteurs du scooter électrique en libre-service devraient prendre le relais, a annoncé la mairie : Yego, déjà implanté à Bordeaux et à Paris, et Felyx, présent en Allemagne, Belgique et Hollande. Le choix de ces opérateurs, qui fait suite à l’appel à manifestation d’intérêt de juin 2021, leur permettra de proposer au public 300 scooters chacun, moyennant une redevance annuelle de 50 € par véhicule et pour une durée de cinq ans. L’arrivée est annoncée pour fin avril-début mai.

C. S.

Ewa

Le financement de la ligne nouvelle Provence Côte d’Azur est signé

Vue de la façade de la gare de Toulon dans le Var.
Date 	17 juillet 2009
(c) Florian Pépellin
Le ministre délégué chargé des Transports, Jean-Baptiste Djebbari a signé, le 28 février, le protocole de financement des phases 1 et 2 de la ligne nouvelle Provence Côte d’Azur, avec la SNCF et les collectivités territoriales concernées.
D’un montant de 3,5 milliards d’euros, dont 560 millions venant de la région Sud d’ici 2035, les phases 1 et 2 consisteront notamment à créer une gare TER/TGV à Nice-Aéroport, un réseau express métropolitain autour de Toulon, une gare souterraine traversante à Marseille-Saint-Charles (pour faire gagner près de 15 minutes aux trajets vers Toulon et Nice). Elles permettront aussi de réaménager les voies de surface de cette gare.
Le projet de ligne nouvelle inclut des dessertes cadencées dans le cadre de la création d’une navette azuréenne entre Cannes, Nice et Menton. Les premiers travaux sont programmés dès 2024.

Ewa

Florence Aretz prend la direction générale France de TIER Mobility

Florence Aretz

Agée de 34 ans et diplômée de l’EDHEC, Florence Aretz a été nommée directrice générale France de TIER Mobility. Elle avait rejoint l’opérateur de mobilité partagée l’année dernière, en tant que directrice financière pour la région Europe du Sud-Ouest et Moyen-Orient, après douze ans d’expérience internationale en finance d’entreprise, stratégie et développement.

Elle mettra en oeuvre la stratégie de TIER Mobilty qui cherche à élargir son domaine d’action en France « au-delà de la trottinette, notamment via l’intégration de Nextbike« . Rappelons que la société allemande TIER, l’un des trois opérateurs de trottinettes électriques en libre service à Paris et qui se présente comme le leader européen de la micro-mobilité,  a racheté en fin d’année dernière l’opérateur de vélo partage Nextbike, également allemand.

« Avec l’acquisition de Nextbike, TIER Mobility est désormais présent sur toute la chaîne de valeur des micro-mobilités urbaines: vélos, trottinettes électriques et scooters électriques. Notre objectif en 2022 va être de continuer ce développement multimodal pour donner corps aux ambitions des collectivités sur les mobilités douces », souligne Florence Aretz, qui est également impliquée dans les sujets de diversité et d’égalité professionnelle, via son engagement au sein de Female Founders, un accélérateur européen dédié aux entrepreneures, et via son soutien au développement de CodeOp, une école de code  fournissant aux femmes les bases nécessaires pour lancer leurs carrières dans le secteur de la tech.