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Ewa

Lancement du nouveau SRU Bretagne Mobilités

Michael Quernez

Un nouveau syndicat mixte SRU Bretagne Mobilités a été créé le 4 septembre. Michaël Quernez, premier vice-président de la Bretagne, a été élu à sa tête.  Nicolas Paranthoën, qui avait été nommé en avril dernier pour préfigurer l’instance, est nommé directeur général.

« Bretagne Mobilités est le nouvel outil de coopération et de coordination en matière de transports du quotidien des 55 autorités organisatrices de la mobilité (AOM) qui le composent« , indiquent ses promoteurs dans un communiqué. Ses domaines d’intervention vont porter sur la coopération en matière de services de transport, l’interopérabilité billettique et le système d’information multimodale KorriGo, la mise en place de tarifications multimodales ainsi que des titres de transports uniques ou unifiés.

Ewa

Marco Caposciutti prend la présidence de l’Afra

Trenitalia France Marco Caposciutti

Le symbole est fort : l’italien Marco Caposciutti est devenu le 4 septembre président de l’Association française du rail, la structure qui fédère les opérateurs ferroviaires autres que la SNCF. Le président de Trenitalia France succède à Alexandre Gallo, le directeur général de DB Cargo France, qui était président de l’Afra depuis 2022 et en devient vice-président, chargé notamment du social.

Le secteur est en pleine transformation avec le développement de la concurrence. L’Afra rappelle ainsi que, en plus de la SNCF, sept compagnies de transport de voyageurs et dix entreprises spécialisées dans le fret ferroviaire et le transport combiné opèrent désormais sur le réseau ferroviaire français.

Ewa

L’Europe confirme son soutien à la ligne Pau-Canfranc

Somport ligne

La Commission européenne vient à nouveau de retenir la ligne ferroviaire Pau-Canfranc dans sa liste indicative 2028-2034 des projets d’intérêt commun à dimension transfrontalière. Au sein des projets pour un « réseau global », la ligne Pau-Canfranc-Saragosse côtoie les opérations menées, par exemple, pour le tunnel de base du Brenner entre l’Autriche et l’Italie, Rail Baltica entre la Pologne et les pays baltes ou encore le lien entre Valenciennes et Mons en Belgique.

Arrêtée côté français en 1970, la ligne a été ré-ouverte entre Pau et Bedous en juin 2016. Reste les 33 km entre cette localité et le tunnel du Somport qui débouche sur la gare internationale de Canfranc. Ce chantier a été évalué à 500 millions d’euros. Au titre des « mécanismes pour l’interconnexion en Europe » (MIE), l’Union européenne assurerait donc 50 % des études et des aménagements, le reste étant espéré de l’État français et de la région Nouvelle-Aquitaine. Commentaire de son président, Alain Rousset : « Pensée selon un axe qui est celui de Pau-Saragosse et comme un lien stratégique pour la mobilité entre Béarn et Aragon, cette ligne voit ici sa dimension structurante une nouvelle fois confirmée et renforcée au niveau européen.»

Cet automne doit démarrer l’enquête publique pour Bedous-Canfranc qui pourrait aboutir à une déclaration d’utilité publique (DUP). Dans ce cas le chantier sur cette section démarrerait en 2027-2028. Sur l’autre versant, les autorités espagnoles ont mis les bouchées doubles : rénovation de la voie (adaptable à l’écartement européen), relèvement de la vitesse entre Huesca et Canfranc, réhabilitation budgétée du tunnel du Somport (17,8km) en particulier pour le fret.

 

Ewa

MAN va verdir la flotte des bus de Valence en Espagne avec 84 bus électriques et hybrides

1920 p bus ebuses valencia 03
La société municipale de transport de Valence (EMT) en Espagne a commandé 84 bus auprès du constructeur MAN : 57 Lion’s City électriques de 12 m et 27 Lion’s City EfficientHybrid de 18 m. Il s’agit, selon MAN, de la commande de bus électriques la plus importante jamais enregistrée par le constructeur en Espagne.
Le montant du contrat s’élève à environ 50 millions d’euros, comprenant la livraison et la maintenance. La livraison commencera à partir de la fin 2026.
La conversion de la flotte de véhicules de Valence s’inscrit dans un programme d’investissement global d’environ 170 millions d’euros, qui prévoit l’introduction de 218 nouveaux bus électriques et hybrides d’ici 2028. L’objectif est de réduire considérablement l’âge moyen de la flotte et de ramener la part des bus diesel à moins de 7 % d’ici 2027.

Ewa

Les chemins de fer suisses affichent un trafic record mais un résultat en baisse au premier semestre

chemins de fer suisses
Fidèles à leur réputation, les trains suisses ont battu un record de ponctualité. Au cours du premier semestre 2025, le taux de régularité a atteint 94,5 %, soit + 0,7 point de plus par rapport à la même période en 2024.
Le trafic a aussi atteint des sommets  : 1,41 million de personnes ont emprunté chaque jour les trains des CFF (+ 4,8% par rapport au premier semestre 2024). La fréquentation est notamment portée par un trafic international qui a augmenté de 3,5 %  (+ 6 millions de voyageurs environ) au premier semestre.
En revanche, la situation financière reste « tendue » selon les CFF : « les coûts d’entretien élevés et la baisse des recettes du trafic marchandises grèvent le résultat semestriel, qui s’élève à 48 millions de francs suisses« . souligne le groupe. Et « l’endettement demeure élevé« .
La situation CFF Cargo est plus particulièrement préoccupante. Le déficit d’environ 76 millions de francs suisses enregistré l’an dernier nécessite une réorganisation, expliquent les CFF. Les difficultés du transport combiné et des wagons isolés vont ainsi conduire à la suppression de 65 postes, dont une quarantaine dans le Tessin.

Ewa

Chat miauleur dans un TGV : le contrôleur qui a verbalisé avait raison

contrôleur

Face à un chat, la SNCF a toujours tort. Et parfois c’est particulièrement injuste. Les amoureux des félins, largement suivis par les médias, ont ainsi pris pour argent comptant la version d’une voyageuse verbalisée le 21 août dans un TGV Vannes-Paris parce que son chat miaulait. Contestant son PV de 110 euros, elle a gagné l’appui des réseaux sociaux en critiquant les contrôleurs et la méchante SNCF.

Sauf que c’est une toute autre histoire que rapporte quelques jours après le Télégramme, qui a été contacté par deux personnes ayant assisté à la scène. Choquées par l’attitude de la voyageuse décrite comme « absolument odieuse », elles évoquent « des faits bien différents de ceux qui ont été décrits ».

Ainsi, raconte l’une d’elles au journal breton, cette voyageuse «est montée à Vannes et les contrôleurs sont intervenus aux environs de Rennes, soit une heure après. Le chat n’a pas arrêté de miauler plus ou moins fort toutes les cinq secondes environ sans qu’elle essaye de faire quoique ce soit pour l’en dissuader. Comme couvrir son panier avec un tissu par exemple (…) Un jeune homme et son amie sont allés lui parler calmement pour essayer de désamorcer la situation. Ils se sont fait rembarrer par cette personne sous prétexte qu’elle était en règle et qu’ils n’avaient qu’à mettre des écouteurs si le bruit les dérangeait. Quel culot ! », racontent les témoins

L’autre voyageur témoin poursuit : « les agents de la SNCF ont été poussés à cette verbalisation par son attitude insultante et grossière, refusant toutes les propositions faites et refusant de présenter ses papiers (…). Les contrôleurs ont été très professionnels et très calmes ». Et elle ajoute : « C’est trop facile de se faire passer pour une victime! ».

La SNCF a aussi recueilli des témoignages similaires, dont l’un se dit «scandalisé par la couverture médiatique de faits non vérifiés » et fait part de « demandes très polies (et après une heure à supporter les miaulements incessants) d’un passager de faire quelque chose contre les miaulements intempestifs ». La propriétaire du chat lui a alors répondu : « mettez des écouteurs » et « ferme ta gueule », ce qui a conduit plusieurs passagers à aller voir le contrôleur.

Ces témoignages confirment la version de SNCF Voyageurs qui expliquait que, si la propriétaire du chat avait en effet payé la place de son animal et le transportait conformément aux règles dans une caisse, elle avait refusé de changer de place comme les contrôleurs le lui proposaient, suite aux plaintes de plusieurs voyageurs qui étaient assis à côté d’elle.  « Il ne s’agit de toute évidence pas d’une verbalisation parce que le chat miaulait (ce qui n’est pas un motif de régularisation). C’est en réalité parce qu’à la suite de plaintes de nombreux voyageurs auprès des chefs de bord ainsi que de vives tensions entre cette voyageuse et d’autres clients, nos chefs de bord lui ont proposé d’être replacée dans la voiture d’à côté où il y avait de nombreuses places vides, une solution de savoir-vivre qu’elle a malheureusement refusé. Cette solution simple aurait pourtant permis d’apaiser les tensions entre elle et les autres clients, d’assurer le confort de tous les voyageurs, d’elle-même et de son chat », souligne la compagnie. Une amende a donc finalement été dressée pour trouble à l’ordre public, comme le prévoit le règlement.

SNCF Voyageurs a toutefois indiqué avoir pris contact avec la voyageuse pour s’entendre avec elle et éteindre la polémique. Certains témoins visiblement très remontés ont fait part de leur souhait que « l’amende ne soit pas annulée« .

Ewa

L’opérateur de transport de Wallonie commande 127 Crossway à Iveco

IVECO BUS 01

Iveco a annoncé le 17 juillet avoir été retenu par l’Opérateur de Transport de Wallonie (OTW) pour la fourniture de 127 Crossway à plancher bas. Ces véhicules seront déployés dans les régions de Liège et Namur en deux phases : un premier lot de 83 unités sera livré à partir du premier trimestre 2026, puis un second de 44 unités le sera à partir du premier trimestre 2027.

C’est le troisième contrat en deux ans qu’Iveco signe avec l’opérateur wallon, après les accords-cadres signés en 2023, portant sur la livraison de 22 minibus Daily et de 42 Crossway hybrides à plancher bas.

D’une longueur de 12 mètres, les Crossway à plancher bas peuvent accueillir jusqu’à 99 passagers dont 37 assis en plus du conducteur.

 

Ewa

Blocage du 10 septembre : les syndicats cheminots restent prudents (sauf Sud Rail)

SUD Rail grève

Seul Sud Rail a, pour le moment, clairement appelé les cheminots à participer au blocage du 10 septembre, le mouvement qui s’oppose au plan budgétaire de François Bayrou. Le 26 août, la CGT-Cheminots – premier syndicat représentatif de la profession – ne s’était pas encore positionnée sur un éventuel appel à la grève le 10 septembre. Un débat intersyndical (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa et Solidaires) devait avoir lieu à ce sujet le 29 août.

Même son de cloche du côté de l’UNSA-Ferroviaire qui, selon son secrétaire général Fabrice Charrière, devrait prendre une décision le 1er septembre prochain après les concertations en intersyndicale. « De plus, selon le résultat du vote de confiance [engagé par le Premier ministre], il faudra attendre avant d’avoir un projet de loi de Finances, et savoir si les annonces faites par François Bayrou sont confirmées », commente-t-il.  La CFDT Cheminots est sur la même ligne : « Le contexte évolue de jour en jour, les incertitudes sont grandes, on attend de voir ce qu’il sortira de la démarche intersyndicale et nous nous positionnerons ensuite », indique son secrétaire général, Thomas Cavel.

D’ici au 8 septembre, les partenaires sociaux restent donc prudents, et semblent tentés de miser sur d’autres mobilisations, à eux.

 

 

 

 

Ewa

Alstom fournira les rames et la signalisation de la ligne 4 du métro de Mumbaï

Métro de Mumbaï
Alstom a été chargé par Larsen & Toubro Limited Inde de fournir 39 rames destinées au métro de Mumbaï en Inde. Ces rames Metropolis sans conducteur comprendront six voitures chacune, soit 234 voitures. Elles seront conçues par le centre d’ingénierie d’Alstom à Bangalore (Karnataka) et fabriquées sur son site de Sri City, dans l’Andra Pradesh, précise le constructeur. La propulsion sera fabriquée à Coimbatore (Tamil Nadu) et les bogies à Savli (Gujarat), ajoute-t-il.
L’industriel français fournira également le système de signalisation CBTC (Communications Based Train Control), pour la future ligne 4 du métro de Mumbaï. Le contrat s’accompagne d’un service de maintenance d’une durée de cinq ans. Le tout s’élève à « quelques centaines de millions d’euros », indique Alstom dans un communiqué.

Ewa

Siemens Mobility remporte le contrat pour automatiser la ligne 13

métro à Paris la nuit

L’automatisation de la ligne 13 avance. Siemens Mobility a été choisi par la RATP pour fournir le système d’automatisation de l’exploitation des trains avec un CBTC GoA4 de dernière génération déjà mis en place sur les lignes 1, 4 et 14. Ce qui permettra de se passer de conducteur sur la ligne 13 pour laquelle Ile-de-France Mobilités a voté l’automatisation en décembre 2022.

Renouvellement du PCC et formation des agents d’exploitation

Le contrat comprend le renouvellement du poste de commandes et de contrôle centralisé (PCC) de la ligne 13 et la formation des agents chargés de son exploitation, ainsi que l’équipement de 66 trains MF19, indique Siemens Mobility. Il s’accompagne d’une option, pouvant aller jusqu’à 30 ans, pour des prestations de maintenance sur la durée de vie du système, précise le groupe.

Premières navettes fin 2032

La modernisation de cette ligne débutera avec l’arrivée des nouvelles rames MF 19 attendues en 2027, les premières navettes sans conducteurs étant prévues fin 2032. L’automatisation permettra de réduire l’intervalle entre les trains et donc d’augmenter la fréquence sur l’une des lignes les plus fréquentées du réseau avec 550 000 voyageurs quotidiens,