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Ewa

RATP Dev et ComfortDelGro répondront ensemble à l’appel d’offres du métro de Copenhague

metro Copenhague

Après s’être associés pour la ligne 15 Sud du métro automatique Grand Paris Express, et pour la Jurong Region line de Singapour, la filiale de la RATP et le groupe singapourien ComfortDelGro montent un consortium pour répondre au futur appel d’offres du métro de Copenhague que doit lancer cette année l’autorité organisatrice de mobilité de la capitale danoise, Metroselskabet.

Le métro « devrait connaître plusieurs projets de modernisation et de prolongement majeurs durant la période couverte par le nouveau contrat, tout en continuant à accroître sa fréquentation et à réduire son empreinte climatique », lit-on dans le communiqué des deux opérateurs de transport.

ComfortDelGro exploite deux lignes de métro à Singapour, la franchise Auckland Rail en Nouvelle-Zélande, et a récemment raflé au Hongkongais MTR le contrat d’exploitation du métro de Stockholm, dans le cadre d’une coentreprise avec le Britannique Go-Ahead. RATP Dev a récemment pris les commandes des deux lignes du métro de Riyad en Arabie-Saoudite, devenu le plus grand réseau de métro automatique au monde actuellement en opération.

Ewa

Trains de nuit : l’Etat commence par renouveler le matériel sur les lignes existantes

thumbnail paris nice train de nuit 5

« Une commande minimaliste, insuffisante pour relancer de nouvelles lignes qui nécessiterait 300 nouvelles voitures au total, et serait de nature à intéresser les constructeurs ferroviaires pour ces trains tractés », c’est en ces termes que Nicolas Forien, porte-parole du collectif  « Oui aux trains de nuit » réagit à l’annonce de Philippe Tabarot mi-janvier devant le Sénat, d’une commande de l’Etat de 180 voitures-couchettes, voitures-lits et voitures classiques, et près de 30 locomotives pour les lignes de nuit existantes.

Une commande, « la première depuis plus de 40 ans, et repoussée d’années en années », reprend un autre défenseur des services ferroviaires nocturnes, Stéphane Coppey, président de l’association « Destination trains de nuit ». Si tous deux se félicitent du redémarrage du projet, ils ne cachent pas leurs attentes de nouvelles lignes de nuit (y compris vers la Bretagne, la côte atlantique, méditerranéenne, la Suisse, le Benelux, Bourg-Saint-Maurice en hiver), alors qu’en 2024, selon les chiffres de SNCF Voyageurs, les trains de nuit ont attiré près d’un million de passagers, trois fois plus qu’en 2019. A bord de vieux Corail rénovés en 2023 pour un montant de 152 millions d’euros financés par l’Etat.

Pas de nouvelles lignes de nuit à ce stade

Car l’enjeu des trains de nuit, c’est aussi et surtout le matériel roulant. Pour les exploiter, encore faut-il que la SNCF ait le parc nécessaire. Et pour en lancer de nouveaux, il faudra du matériel supplémentaire, en particulier des voitures-lits (qui ne figurent plus au parc SNCF depuis plus de 15 ans) et des voitures-couchettes (qui sont en France des Corail produits il y a une quarantaine d’années), mais aussi de voitures classiques équipées de places assises.

Le 14 juillet 2020, Emmanuel Macron s’était engagé à lancer « une dizaine » de lignes de nuit transversales d’ici à 2030, parmi lesquelles Nice-Bordeaux, Nice -Strasbourg-Metz, mais également des lignes internationales vers l’Espagne. En mai 2021, son Premier ministre Jean Castex avait participé au redémarrage très médiatisé du Paris-Nice (relire son interview). Dans la foulée, un rapport du ministère des Transports sur le développement de nouvelles lignes de trains d’équilibre du territoire (TET, exploités par la SNCF sous la marque  Intercités), proposait de créer un réseau de trains de nuit constitué de vingt lignes nationales autour de quatre corridors (Dijon-Marseille, Paris-Toulouse, Tours-Lyon et Bordeaux-Marseille), complété par cinq lignes à destination de l’Europe (notamment Madrid, Florence, Rome, Hambourg ou Copenhague). Quatre ans et demi plus tard, que reste-t-il de cet élan ferroviaire ?

Reporté régulièrement, la commande de trains de nuit neufs est donc enfin sur les rails, « malgré la contrainte budgétaire actuelle », a voulu souligner Philippe Tabarot devant les sénateurs. Pour la première fois depuis près d’un demi-siècle, l’Etat, autorité organisatrice des TET, va donc autoriser des engagements de crédits pour remplacer les trains de nuit de la génération Corail. Dans six ans au mieux, « plus probablement dans une dizaine d’années, même si le gouvernement opte pour la solution de Rosco [rolling stock company] qui consiste à louer le matériel roulant », calcule Stéphane Coppey. Un bureau d’études chargé d’épauler le ministère pour l’assistance à maîtrise d’ouvrage doit rédiger le cahier des charges, et définir les modalités d’achat ou de location

Ouverture à la concurrence à partir de 2027

A ce stade, les engagements de crédit annoncés par Philippe Tabarot permettraient seulement de remplacer les rames sur les lignes existantes : Nice, Briançon, Latour-de-Carol (Pyrénées-Orientales), Tarbes, Rodez, Aurillac et Cerbère, toutes au départ de Paris. Certaines opèrent quotidiennement, non sans aléas et retards, d’autres uniquement les week-ends et en vacances scolaires. « Aucune nouvelle liaison ne pourra donc être ouverte avec ce parc neuf, contrairement aux prévisions du gouvernement de 2022 », déplore Nicolas Forien. « Dans le cadre de la desserte des futurs sites de la compétition des jeux olympiques d’hiver 2030, Paris-Briançon et Paris-Nice feront l’objet d’une attention toute particulière », a indiqué le ministère des Transports. Qui dit souhaiter engager une réflexion sur « la poursuite du développement du réseau des trains de nuit ». Une extension ultérieure à d’autres lignes pourra être étudiée », s’est-il aventuré devant les sénateurs.

Subventionnées au titre de l’aménagement du territoire, les services ferroviaires Intercités, de jour et de nuit, sont exploités par SNCF Voyageurs dans le cadre d’une convention avec l’Etat jusqu’en 2031 pour un montant global de 1,73 milliard d’euros. Ce total ne comprenait pas les trains créés depuis, qui font l’objet d’avenants, dont le Paris-Aurillac de nuit. L’ouverture à la concurrence des lots de trains de nuit est envisageable fin 2027. Et pour attirer des challengers de la SNCF, l’âge du parc de matériel, le confort et par voie de conséquence le volume de trafic passagers, sont des facteurs essentiels.

Ewa

Carrefour arrive en gare

La gare Paris-Nord a subi une cure de jouvence en prévision des JO.

En octobre 2024, Gares & Connexions avait annoncé vouloir faciliter l’implantation d’activités et de services dans les gares à plus faible trafic. C’est avec la signature d’un contrat avec Carrefour et Lagardère Retail que le gestionnaire des 3 000 gares et haltes ferroviaires du réseau français démarre l’année. Le groupe de grande distribution alimentaire et le spécialiste du commerce de détail en zones de transport « ambitionnent d’ouvrir une trentaine de points de vente par an pendant 5 ans sur tout le territoire (…) dans les petites, moyennes et grandes gares dans lesquelles des espaces sont disponibles et où aucun supermarché ne se situe à proximité immédiate« , lit-on dans un communiqué du 23 janvier.

Les premières supérettes de 80 et 400 mètres carrées, sous enseigne Carrefour, devraient ouvrir leurs rayons d’ici à la fin de l’année. Ainsi que des points de retrait des courses alimentaires faites sur Internet. Gares & Connexions va aussi tester le service de paniers de fruits et légumes en direct des producteurs « Potager city » (rachetée par Carrefour), dans les gares ou sur leur parvis : de la vente de fruits et légumes et produits frais de proximité, ainsi que de des supérettes en libre-service « Api ».

Ewa

Trenitalia lance un Paris-Marseille à grande vitesse le 15 juin

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Trois ans après son arrivée sur le marché français de la grande vitesse ferroviaire, avec deux allers-retours quotidiens entre Paris et Milan, via Lyon, Trenitalia annonce l’ouverture d’une nouvelle liaison sur l’axe sud-est, entre Paris et Marseille via Lyon Saint-Exupéry, Avignon et Aix-en-Provence TGV. A partir du 15 juin, à raison de quatre allers-retours quotidiens, avec un temps de parcours de 3h20. Ouverture des ventes mi-mars, « les tarifs seront toujours simples et flexibles, tous les billets remboursables et échangeables« , promet Marco Caposciutti, président de Trenitalia France. Sans indiquer de prix moyens.

Et le 1er avril, après 19 mois d’interruption suite à l’éboulement en vallée de Maurienne en août 2023, la filiale des chemins de fer italiens va remettre sur les rails ses Frecciarossa rouge vermillon entre la France et l’Italie. « Enfin ! », s’est exclamé ce matin son dirigeant devant la presse. La réouverture complète de la ligne Paris-Milan, via Lyon et Turin, se fera avec deux arrêts supplémentaires à Saint-Jean-de-Maurienne et Oulx, portes d’entrées des stations alpines. « On chiffre à 850 000 le nombre de clients perdus entre la France et l’Italie mais le trafic passagers entre Paris et Lyon a augmenté de 40% en moyenne chaque année », calcule Fabrice Toledano, directeur commercial et marketing de Trenitalia France.

La compagnie italienne qui a négocié avec SNCF Réseau une réduction sur les péages en tant que nouvel entrant (- 37 % en 2022, -16 % en 2023, source ART), a transporté trois millions de passagers depuis son arrivée en France fin 2021. Elle ambitionne de doubler le nombre de voyageurs en 2025 avec la réouverture de son Paris-Milan, et sa nouvelle liaison Paris-Marseille pour laquelle le gestionnaire d’infrastructure lui accordera une ristourne de 10% sur deux ans. Le transporteur va injecter quatre rames Frecciarossa supplémentaires sur le réseau français, embaucher 50 nouveaux salariés (agents de bord, de quai, d’accueil) et pousser son budget marketing de 70% pour mieux se faire connaître auprès du public français. »Nous n’avons pas encore atteint le seuil de rentabilité, convient Marco Caposciutti. Nous avons consenti de lourds investissements pour le lancement des services en France, maintenant, nous augmentons l’offre avec des rames doubles [957 places] en fonction de la demande, et les fréquences pour atteindre la rentabilité le plus tôt possible », commente le dirigeant de la filiale France.

L’aménagement du territoire en question

Au total, une fois la nouvelle liaison Paris-Marseille lancée mi-juin, Trenitalia assurera neuf allers-retours quotidiens entre Paris et Lyon, l’axe à grande vitesse le plus fréquenté et sur lequel le premier challenger de la SNCF en France a concentré ses efforts. Avant l’éboulement en Maurienne, le taux de remplissage de ses trains atteignait 80 à 85%. Soixante pour cent depuis. Clientèle loisirs et affaires à égalité, selon Fabrice Toledano. « Nous sommes sur un marché libre, non subventionné où l’opérateur prend des risques. Si les règles du jeu de l’open access changent, avec des incitations ou des contraintes à faire des dessertes d’aménagement du territoire, nous les étudierons« , commente le directeur commercial de Trenitalia France. Assez logiquement, le nouvel entrant s’est positionné sur les dessertes les plus rentables. Ce qui peut déséquilibrer le modèle économique de la SNCF qui utilisait jusqu’à présent les lignes rentables pour financer celles d’aménagement du territoire, déficitaires. L’ancien ministre des Transports François Durovray avait mis les pieds dans le plat: « Je ne vois pas au nom de quoi  les nouveaux entrants récupèreraient uniquement les dessertes les plus rentables et ne concourraient pas aux logiques d’aménagement du territoire que nous avons tous en partage », avait-il lancé en octobre dernier devant les députés lors d’une audition. Son successeur, Philippe Tabarot, va t-il poursuivre ce chantier ?

En attendant, Trenitalia teste une ligne touristique entre Nice et Milan mais réfute toute velléité sur l’axe Paris-Bruxelles-Amsterdam évoqué un temps par le Financial Times, ou sur un Paris-Barcelone. « Ce n’est pas d’actualité« , a écarté Marco Caposciutti.

Ewa

Keolis rachète le transporteur danois Anchersen

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Keolis annonce mi-janvier la signature d’un accord pour l’acquisition des activités de transport urbain et périurbain de l’entreprise Anchersen, créée en 1997 et basée à Copenhague. Ce qui permet à la filiale de la SNCF de renforcer sa présence à Copenhague et sur le Seeland, la plus grande île du Danemark où se concentre la majorité de la population.

Keolis va reprendre l’exploitation des contrats en cours, intégrer 600 salariés et sa flotte 130 véhicules, dont plus de 50 % fonctionnent à l’électricité. La transaction inclut aussi l’acquisition d’un dépôt de bus de plus de 30 000 m² en périphérie de Copenhague « conférant à Keolis une position de choix pour l’exploitation et la maintenance de sa flotte dans la région », lit-on dans son communiqué.

Ewa

Contrôler le billet et l’identité des voyageurs du TGV sur la même appli

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Bientôt plus besoin de présenter son billet de train et sa pièce d’identité aux contrôleurs. Après la carte d’identité, le permis de conduire et la carte Vitale, l’application France Identité gagne une nouvelle fonction : les titres de transport dans les TGV. Depuis le 20 janvier, SNCF Voyageurs teste la présentation par des bêta-testeurs de l’application France Identité qui permet aux contrôleurs de vérifier à la fois le billet et l’identité du voyageur. La fonctionnalité sera testée plusieurs semaines avant d’être disponible pour l’ensemble des passagers qui auront téléchargé l’application France Identité sur leur smartphone.

 

 

 

Ewa

Inciter les personnes âgées à prendre les transports en commun

transports seniors

Marie-Ange Debon pour l’Union des transports publics et ferroviaires (UTPF) et Luc Broussy, spécialiste des questions liées au vieillissement pour France Silver Economie, ont signé début janvier un partenariat de coopération visant à « encourager la mobilité des seniors et améliorer leur autonomie ». Parmi les objectifs, mieux connaître les attentes et les usages des personnes âgées dans les transports publics, développer les bonnes pratiques dans les territoires, sécuriser les déplacements.

Questions-clés pour inciter les seniors à monter dans le bus, le tram ou le métro plutôt que s’installer au volant de leur voiture pour les trajets du quotidien.

Ewa

Jusqu’à 30% de fraude dans les bus de nuit de la RATP, selon Grégoire de Lasteyrie

Club VRT janvier 2025 - Grégoire de Lasteyrie

Invité le 16 janvier du Club Ville, Rail & Transports, Grégoire de Lasteyrie, vice-président de la région Ile-de-France chargé des transports, a détaillé les taux de fraude sur le réseau francilien, en fonction des modes : 5% sur les lignes de métro et de trains Transilien, 5% dans les bus parisiens et… 30% dans les bus de nuit de la RATP, les Noctilien. « Le passage au ticket unique depuis le 1er janvier à 2,50 euros pour un ticket à l’unité dans toute l’Ile-de-France, efface les fraudeurs involontaires [les détenteurs de billet qui ne savaient pas qu’il existait un tarif spécial hors de la zone 3], s’est félicité l’élu, également vice-président d’Ile-de-France Mobilités et maire de Palaiseau (Essonne).

Rappelant le nouveau dispositif « Stop Fraude » qui permet aux opérateurs d’obtenir l’adresse des contrevenants en croisant des fichiers administratifs  (en attendant l’examen de loi sur le renforcement des agents de contrôle et de surveillance, proposée par l’ex-sénateur Philippe Tabarot, devenu ministre des Transports], Grégoire de Lasteyrie a annoncé un « grand plan de lutte contre la fraude » en 2025.

Quant à l’application Hakha, qui permettait de géolocaliser en temps réel les contrôleurs sur le réseau de transport francilien, elle a disparu de GooglePlay puis de l’Appel Store le 18 janvier, suite à la plainte déposée par la présidente de région Valérie Pécresse, début janvier,

 

Ewa

Le téléphérique urbain de Créteil espéré pour novembre 2025

Téléphérique urbain Créteil-Villeneuve saint-Georges

Invité ce matin du Club Ville, Rail & Transports, Grégoire de Lasteyrie, vice-président de la région Ile-de-France et d’Ile-de-France Mobilités, en charge des transports, a indiqué espérer une mise en service du Câble 1 en novembre 2025. Le premier téléphérique francilien, construit par l’Autrichien Dopplemayr, doit relier la station de métro Créteil Pointe du lac à Villeneuve-Saint-Georges, via Limeil-Brévannes et Valenton, dans le Val-de-Marne. En moins de 20 minutes.

La ligne de 4,5 km sera exploitée par Transdev, avec un contrat de délégation de service public de quatre ans, renouvelables deux ans.

tracé Câble 1 Créteil
source : IDFM

 

 

Ewa

Flowbird racheté par le suédois Easypark

Flowbird

C’est l’histoire du plus petit qui rachète le plus gros. Après le feu vert successif des autorités européenne, américaine puis française fin novembre 2024, EasyPark annonce aujourd’hui la finalisation du rachat de Flowbird, le géant français des solutions de paiement de stationnement et de transport public (380 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2024), pour devenir le « premier fournisseur mondial de plateformes de mobilité ».

Easypark est un éditeur suédois d’applications de stationnement (ParkMobile, RingGo, Park-line) déployées dans 4 000 villes réparties dans une vingtaine de pays, dont la France. Il a réalisé l’an passé 252 millions de chiffre d’affaires. Le montant du rachat n’est pas divulgué.

Pour l’heure, les activités de Flowbird, originaire de Besançon où 600 des 2 000 salariés de l’entreprise travaillent, « se poursuivent sans changement », indique le communiqué d’Esaypark qui emploie 1 800 salariés. « Dans les mois à venir, des informations supplémentaires seront partagées sur l’organisation de cette nouvelle entité, qui aspire à devenir une référence mondiale en matière de mobilité », lit-on aussi.

Trois sociétés d’investissement, Vitruvian Partners, Verdane et Searchlight Capital Partners, sont copropriétaires de la nouvelle entité.