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De la ville des terres vierges à la capitale de l’Eurasie

03 Oct 2017

Dossiers > Alstom parie sur l’Asie centrale > De la ville des terres vierges à la capitale de l’Eurasie

Article présent dans le dossier : Alstom parie sur l’Asie centrale

Etrange territoire que celui d’Astana : ni tout à fait une ville au sens commun du terme avec centre-ville et des quartiers s’agrégeant autour, mais résolument une capitale portée par de grandes ambitions, elles-mêmes soutenues par une puissance financière longtemps sans faille. L’Exposition universelle qui s’est tenu du 10 juin au 10 septembre à Astana était censée manifester le rôle central de la nouvelle capitale. À quoi sert une Expo universelle ? Le précédent de Milan n’a pas convaincu. À Astana, le pays hôte a fait ce qu’il fallait pour meubler pédagogiquement une énor­me sphère autour de laquelle rayonnaient les pavillons locaux. Le globe de huit étages célébrait l’avenir d’Astana en même temps que le thème de l’expo : l’énergie du futur. Un peu paradoxal pour un pays dépendant à 85 % des énergies fossiles et à 15 % de l’hydroélectrique. Peut-être l’avenir est-il nucléaire, ce qui pourrait convenir au premier producteur mondial d’uranium. Au moins le globe proposait-il une sorte de moderne Palais de la découverte. Les Kazakhs, venus se presser en famille à la veille de la fermeture, ne semblent pas, à la différence des Occidentaux, désenchantés du progrès. Astana n’a pas attendu Expo 2017 pour proclamer sa centralité. Depuis les années 1990, Noursoultan Nazarbaïev a affirmé le destin de celle qui s’appelait alors Tselinograd — Ville des terres vierges — et qui a été rebaptisée d’un nom qui signifie tout bonnement capitale en kazakh. On ne peut dire qu’elle n’était promise à rien puisque déjà s’y croisaient deux grandes lignes ferroviaires. Seule la rive droite de la rivière Ichim était alors urbanisée. Nazarbaïev a confié ...

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Retrouvez le dossier Alstom parie sur l’Asie centrale dans le magazine VR&T n°604

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