Pour réaliser l’ensemble des travaux d’infrastructure et acquérir les matériels roulants, il faudra dépenser 416 millions d’euros d’ici à 2020. Cet investissement, l’un des plus importants de la région des Hauts-de-France, a nécessité le concours de plusieurs partenaires financiers. La région et le Feder (Fonds européen de développement régional de l’Union européenne) doivent participer à hauteur de 70 millions d’euros, et l’Etat prévoit une subvention de 42 millions.
Le besoin d’emprunt, estimé à 247 millions d’euros, est notamment couvert par la Banque européenne d’investissement et la Caisse des dépôts et consignations. En vue d’accompagner le renforcement de l’offre, avec une future amplitude du service sur la période de 5h à 23h, une centaine d’emplois nouveaux vont par ailleurs être créés, concernant pour l’essentiel des postes de conducteurs. Dès lors qu’il s’agit de bâtir les mobilités urbaines de demain, l’ancien bassin minier n’hésite pas à « aller au charbon »…
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