fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Un groupe qui se veut ambidextre

03 Juil 2017

Dossiers > Cap ferré > Un groupe qui se veut ambidextre

Article présent dans le dossier : Cap ferré

Le Comex de la SNCF est allé suivre une semaine de cours intensif à Stanford. Et ses membres en sont revenus avec une conviction. Oh, elle ne chamboule pas tout. On ne renonce pas à une opinion souvent entendue : l’innovation en « percolant » va transformer le groupe. Mais il faut aussi veiller à séparer le core de l’explore. Défendre le cœur de métier d’une part, de l’autre explorer les nouveaux services. Faute de quoi, si on mélange tout, le cœur de métier et la façon de l’exercer risquent de tuer l’innovation dans l’œuf.

Pourtant, le cœur de métier présente des perspectives nouvelles. On le voit avec les projets d’automatisation des trains. Mais il y a aussi l’autre aspect qui vient tout bousculer, les mobilités et, avec elles, la logique du try fast & fail fast propre au digital et revendiquée par Guillaume Pepy.

Favoriser l’innovation tout en progressant sur le cœur de métier, l’enjeu est énorme et concerne tout le groupe. D’autant plus que « les salariés d’aujourd’hui font la SNCF de demain », dit Guillaume Pepy.

Le groupe SNCF vise à devenir une plateforme de services, où figureront les produits maison et ceux de concurrents. Il entend ainsi résister à la désintermédiation qui frappe les grands groupes dans tous les secteurs au profit des Gafa. Dans les transports, la SNCF n’est pas la seule à vouloir y résister mais, ...

Il vous reste 70% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.

DOSSIERS PrécédEnts

Le bilan 2023 des grands groupes de transport

Equipementiers & services : la SNCF à la rencontre des fournisseurs du Grand Est pour les décarboner

Où en est l’ERTMS en France ?

Mauvaise passe pour le titre unique