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Passer la barre des 5 % de femmes au volant des taxis et VTC

07 Mar 2019

Dossiers > Networking au féminin dans les transports > Passer la barre des 5 % de femmes au volant des taxis et VTC

Article présent dans le dossier : Networking au féminin dans les transports

Ancienne «chaufferesse » Uber comme elle se qualifie (un ancien terme pour les femmes taxi mais qui a disparu du dictionnaire), Smahane Bouchlaghem, 30 ans, a décidé de créer en 2016 sa propre entreprise de voiture de transport avec chauffeur (VTC), Femme au Volant. Particularité : 100 % féminine, « parce que c’est un métier trop masculin, sans raison ». Comme les autres VTCéistes, une appli suffit pour trouver sa conductrice un peu partout dans Paris et sa banlieue mais aussi à Marseille et Monaco.

A ce jour, une trentaine de conductrices, souvent d’anciennes assistantes maternelles, travaillent pour Femme au volant, « c’est un complément de salaire, la clientèle n’est pas encore assez développée pour leur assurer un temps plein », indique Smahane. Le prix de la course est fixe : 8 euros minimum, 1,50 euro par kilomètre, 50 centimes la minute et deux euros de prise en charge. La plate-forme prélève une commission de 15 % comme Marcel, contre 25 % pour Uber, 22 % pour Kapten (ex-Chauffeur privé).

« Les hommes ne sont pas interdits à bord, mais il est vrai que nous avons 90 % de femmes pour clientes, mais aussi des personnes à mobilité réduite, des transgenres, des homosexuels et des enfants (+de 8 ans) que nous allons récupérer à l’école ou à leurs activités extra-scolaires », décrit la fondatrice de Femme au volant. « Un public parfois fragile, qui dit avoir eu de mauvaises expériences avec des hommes taxi, VTC ou même conducteurs de bus, ajoute-t-elle. Une femme, ça ...

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Retrouvez le dossier Networking au féminin dans les transports dans le magazine VR&T n°621

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