Passer la barre des 5 % de femmes au volant des taxis et VTC
07 Mar 2019
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Article présent dans le dossier : Networking au féminin dans les transports
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A ce jour, une trentaine de conductrices, souvent d’anciennes assistantes maternelles, travaillent pour Femme au volant, « c’est un complément de salaire, la clientèle n’est pas encore assez développée pour leur assurer un temps plein », indique Smahane. Le prix de la course est fixe : 8 euros minimum, 1,50 euro par kilomètre, 50 centimes la minute et deux euros de prise en charge. La plate-forme prélève une commission de 15 % comme Marcel, contre 25 % pour Uber, 22 % pour Kapten (ex-Chauffeur privé).
« Les hommes ne sont pas interdits à bord, mais il est vrai que nous avons 90 % de femmes pour clientes, mais aussi des personnes à mobilité réduite, des transgenres, des homosexuels et des enfants (+de 8 ans) que nous allons récupérer à l’école ou à leurs activités extra-scolaires », décrit la fondatrice de Femme au volant. « Un public parfois fragile, qui dit avoir eu de mauvaises expériences avec des hommes taxi, VTC ou même conducteurs de bus, ajoute-t-elle. Une femme, ça ...
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Retrouvez le dossier Networking au féminin dans les transports dans le magazine VR&T n°621