fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

« D'une gestion paternaliste du personnel à une gestion à l'américaine »

12 Nov 2019

Guillaume Pépy

Dossiers > Nos années Pepy > « D'une gestion paternaliste du personnel à une gestion à l'américaine »

Article présent dans le dossier : Nos années Pepy

déraillement Gare-de-Brétigny-sur-Orge

Déraillement en gare de Brétigny-sur-Orge.

 

Au cours des années, les relations au travail se sont tendues. À la SNCF comme ailleurs. C’est le constat que fait Thierry Mignauw. Didier Le Reste, ancien secrétaire général de la CGT Cheminots, le fait aussi mais, lui, dresse un réquisitoire contre Pepy. Voit dans sa nomination à la présidence, quand on attendait Anne-Marie Idrac, un pacte passé avec Nicolas Sarkozy et son conseiller pour les Affaires sociales, Raymond Soubie, afin de mettre la SNCF à l’heure des nouvelles relations sociales. Didier Le Reste qui, par ailleurs, s’étonne que Pepy n’ait pas sauté après les accidents de Brétigny (déraillement d’un Intercités, 7 morts, 12 juillet 2013), de Denguin (collision entre un TER et un TGV, 40 blessés, 2014), d’Eckwersheim (déraillement d’un TGV d’essai, 11 morts, 14 novembre 2015), voit dans son maintien la force de ses réseaux. Ou celle d’une « politique ruineuse de communication épinglée par la Cour des comptes ». Surtout, il accuse Pepy d’avoir voulu banaliser la SNCF, et d’avoir voulu prendre pour modèle France Telecom. Peu de temps après sa nomination, Pepy rassemble plusieurs centaines de cadres de la SNCF pour un séminaire, avec pour invité vedette Michel Bon. L’ancien patron de France Telecom, se souvient Le Reste, « explique comment il ...

Il vous reste 70% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.

DOSSIERS PrécédEnts

Les loueurs de matériels roulants montent en puissance

Les RER métropolitains suspendus à leurs financements

Spécial Bus

Formation : ce qu’en attendent les entreprises