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Les images et la loi

Article présent dans le dossier : Quand l’intelligence artificielle s’invite dans les transports

Sur son site, l’UTP précise que « la loi du 25 mai 2021, « pour une sécurité globale préservant les libertés » a réservé aux seuls opérateurs de transport public ferroviaire de voyageurs la possibilité d’expérimenter la captation, la transmission et l’enregistrement d’images prises sur la voie publique et dans les lieux ouverts au public, au moyen de caméras frontales embarquées sur les matériels roulants. »

Une inégalité de traitement pour les transports publics urbains, qui ne sont pas autorisés à utiliser le même matériel. « Un piéton ou un véhicule particulier peut filmer la rue avec une caméra frontale et publier les images sur les réseaux sociaux. Les opérateurs de transport urbain, eux, ne sont pas autorisés à utiliser de caméra frontale, déplore Claude Faucher, délégué général de l’UTP. Et ce malgré le fait que, pour certains trams qui en étaient équipés avant la publication de la loi, les images filmées par ces caméras ne pouvaient être opérées que par du personnel habilité à cet effet. »

L’UTP préconise donc l’extension du droit à mettre des caméras frontales aux transports ferroviaires guidés, en particulier aux tramways.

Valérie Pécresse, présidente de la région Ile-de-France, elle, va plus loin : en juin dernier, sur France Info, elle évoque les « 80 000 caméras de vidéo protection déployées depuis son arrivée à la tête de la région, qui ne sont ...

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Retrouvez le dossier Quand l’intelligence artificielle s’invite dans les transports dans le magazine VR&T n°655

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