fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Ce que change la fusion Alstom-Bombardier pour les équipementiers

08 Oct 2021

évènement , ferroviaire , Lille , Opérateurs , salon , Sifer

Dossiers > Spécial Sifer. L’industrie ferroviaire à l’heure des consolidations > Ce que change la fusion Alstom-Bombardier pour les équipementiers

Article présent dans le dossier : Spécial Sifer. L’industrie ferroviaire à l’heure des consolidations

Produire du matériel roulant ferroviaire donne du travail aux sites des ensembliers que sont les constructeurs comme Alstom, repreneur en début d’année de Bombardier Transport, de CAF ou du futur repreneur de l’usine de Reichshoffen. Mais cette production donne encore plus de travail aux fournisseurs : par exemple, un projet comme les rames Omneo Premium produits pour la Normandie représente trois fois plus d’emplois chez les équipementiers que les 450 directement concernés sur le site de Crespin, repris par Alstom à Bombardier.

Il n’est pas rare que les équipementiers travaillent pour plusieurs constructeurs. Mais que représente pour ces premiers la disparition d’un de leurs principaux clients, fût-il repris par un autre ?

Certains spécialistes du secteur ferroviaire ne cachent pas leur inquiétude : « un constructeur de moins, c’est déjà moins de débouchés », même si le marché reste le même, car « après une fusion, un plus un ne fait jamais deux », prouve l’expérience. Du moins dans des marchés sur lesquels la concurrence est totalement ouverte. Pour ce qui est des marchés publics en France, la question de l’emploi local, tant chez le constructeur que chez ses fournisseurs, est souvent prise en compte en plus du prix ou de la conformité aux exigences du client… Pour autant, il est quasi-certain que la part globale du « nouvel Alstom » sera inférieure à l’addition des parts respectives de l’ancien Alstom et de Bombardier Transport, en particulier sur les marchés internationaux les plus ouverts à la concurrence.

<...

Il vous reste 70% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.

Retrouvez le dossier Spécial Sifer. L’industrie ferroviaire à l’heure des consolidations dans le magazine VR&T n°652

DOSSIERS PrécédEnts

Le bilan 2023 des grands groupes de transport

Equipementiers & services : la SNCF à la rencontre des fournisseurs du Grand Est pour les décarboner

Où en est l’ERTMS en France ?

Mauvaise passe pour le titre unique