30 Nov 2022
ART , ferroviaire , Autorité de régulation des Transports , Cour des comptes
La Cour des comptes égratigne le régulateur des transports

Les 4 vice-présidents permanents de l'ART. De g. à droite : Florence Rousse, Philippe Richert, Sophie Auconie et Patrick Vieu.. La présidence par intérim est assurée depuis août 2022 par Philippe Richert.
Mis à jour le 05 décembre 2022
Dans un rapport sur l’Autorité de régulation des transports (ART) publié le 29 novembre, les magistrats financiers reconnaissent la montée en puissance rapide du régulateur mais l’égratigne sur la gouvernance, la rationalisation des ressources humaines, les frais immobiliers, le contrôle des autoroutes et la régulation aéroportuaire. Ils formulent huit recommandations.
Si la Cour des comptes reconnait que, depuis sa création en 2009, l’ART a changé radicalement de dimension, passant en à peine dix ans, de régulateur ferroviaire à régulateur multimodal (autoroutes concédées, autocars Macron, redevances aéroportuaires, RATP, ouverture des données de mobilité), elle estime que ce changement s’est opéré « sans vision stratégique ».
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