fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Liberty Steel choisi pour reprendre l’usine de Hayange et l’aciérie Ascoval

23 Juil 2020

Grand Est , France , Industrie

L'usine de Hayange est le principal fournisseur de rails de SNCF Réseau.

© Patrick Laval

Mis à jour le 24 août 2020

Inaugurée en 1892, l’usine de Hayange (Moselle), principal fournisseur de rails de SNCF Réseau, devrait être reprise par le groupe britannique Liberty Steel. Intégrée en 1999 au groupe Corus, cette usine, qui compte aujourd’hui 450 salariés, a sans cesse changé de raison sociale depuis : Tata Steel France Rail en 2010, British Steel France Rail en 2016, puis, après la faillite du groupe sidérurgique britannique en mai 2019, France Rail Industry. C’est sur le devenir de cette dernière entreprise que la chambre commerciale du tribunal judiciaire de Strasbourg était appelée à se prononcer, l’usine de Hayange n’étant pas comprise lors du rachat en mars dernier de British Steel par le groupe chinois Jingye. Ce dernier faisait toutefois partie des cinq candidats à la reprise de Hayange, à côté d’ArcelorMittal, du groupe indien Jindal et des britanniques Olympus Steel et Liberty Steel. Ce dernier offrait comme plus d’intégrer également l’aciérie Ascoval de Saint-Saulve (Nord), en vue de (re)mettre sur pied « une filière franco-française » du rail (les deux sites industriels travaillent déjà ensemble) et de produire de l’acier « vert », c’est à dire neutre en carbone.
Si l’intersyndicale (CFDT, CFE-CGC et FO) du site mosellan s’était prononcée en faveur de Jingye, le repreneur britannique a les faveurs des syndicats du site nordiste.
Restait à Liberty Steel, une fois réglés « quelques éléments importants », d’obtenir l’aval du ministère de l’Économie, qui n’était pas favorable à la reprise du site lorrain par un groupe chinois. C’est chose faite depuis le 13 août, avec la validation par Bercy du choix de la chambre commerciale du tribunal judiciaire de Strasbourg.
P. L.

sur le même thème

ENTREPRISES, PROJETS ET RéGIONS COncernés

réagissez à cet article

Accédez à l’espace débat