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L’intersyndicale d’Alstom redit son opposition à la fusion avec Siemens

16 Jan 2019

Belgique , France , Alstom , CRRC , Siemens , Industrie

Mis à jour le 17 janvier 2019

L’intersyndicale franco-belge d’Alstom a réaffirmé le 14 janvier son opposition au projet de fusion entre Alstom et Siemens Mobility. A la suite des « rumeurs selon lesquelles la Commission européenne allait probablement retoquer, en l’état, le projet de « rapprochement » entre Alstom et Siemens », l’intersyndicale rappelle que, pour elle, les seuls convaincus de l’intérêt de l’opération, « ce sont les actionnaires. Et pour cause, 1,8 milliard de dividendes exceptionnels supplémentaires, ça ne se refuse pas ! »

De plus, ce projet, pour les syndicats d’Alstom, « profiterait majoritairement à Siemens AG ». Les syndicats redoutent l’effet de synergies, « estimées à 470 millions d’euros [qui] consistent en des réductions de gamme de produits, de capacité de conception et de capacités industrielles. Ce qui peut se traduire par 4 000 à 7 000 suppressions de postes dans les années à venir, essentiellement en Europe ».

Quant au concurrent chinois CRRC, « c’est un épouvantail sans réalité utilisé par la direction et le gouvernement ». Le rapprochement d’Alstom – Siemens accélérerait même son entrée de CRRC en Europe. En effet, « les “remèdes“ proposés par la Direction, et plus encore les “synergies“ à venir, seront pour eux l’occasion d’acquérir à bas coût une base industrielle en Europe ».

Quelle que soit la décision de la Commission, conclut l’intersyndicale, « nos revendications restent les mêmes : le maintien de tous les sites et de tous les emplois sur chaque site, l’arrêt des délocalisations d’activités dans les pays à bas coût de main-d’œuvre. Et la mise en place d’une véritable stratégie industrielle pour le ferroviaire, en France et en Europe ».

L’intersyndicale rassemble, côté français, SCFE-CGC, CGT, FO, CFDT et, côté belge, FGTB/MWB, FGTB/SETCA, CSC/METEA, CSC/CNE.

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