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Pourquoi, une fois arrivé à Paris, la galère a commencé pour le PDG des Chemins de fer suisses

21 Juin 2023

Billettique , billettique

Vincent Ducrot, le PDG des CFF, raconte son expérience lors d'un Club VRT le 14 juin dernier

Pas facile d’acheter un billet pour se déplacer dans les transports publics d’Ile-de-France. C’est ce qu’a expliqué le 14 juin le PDG des Chemins de fer suisses qui était l’invité spécial du Club VRT. « J’arrive le matin en gare de Paris-Lyon. Je dois aller à VivaTech, Porte de Versailles. C’est là que les ennuis ont commencé »,  a raconté à l’assistance Vincent Ducrot. « Je trouve facilement l’horaire et je vois qu’il est possible de prendre son billet sur l’appli de la RATP que je télécharge. Manque de chance, je vois qu’il faut avoir un pass Navigo.  Moi qui ne viens que de temps en temps à Paris, je n’en ai pas! Mon espoir de trouver  facilement un billet a été stoppé net ».

Le dirigeant se dirige alors vers l’automate, « où il y a une queue longue comme un jour sans pain… » Le patron des CFF voit des touristes qui, comme lui, « cherchent désespérément un titre de transport« . Et perd finalement une demi-heure pour enfin acheter son ticket.

« En Suisse, nous avons un billet pour tout le trajet. Ensuite les opérateurs se partagent les recettes. Pour le client, c’est simple, c’est ce qui fait la force du système et explique que nous ayons un taux d’utilisation des transports publics plus élevé que les Japonais : le système est pensé et construit pour le client ». Les transports publics franciliens, et en premier lieu IDFM, l’autorité organisatrice, seraient bien inspirés de tirer les enseignements du système suisse qui a été « pensé simple pour le client ».

MH P

 

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