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Thales en Chine : comprendre et s?intégrer

16 Déc 2009

Thales , Signalisation

Mis à jour le 23 mai 2017

Thales offre en Chine ? et plus largement en Asie ? l?ensemble de sa gamme transports et sécurité, dans le cadre d?une stratégie de codéveloppement et de transfert maîtrisé des technologies Ticketing des lignes 1, 2 et 3, supervision de la ligne 10 et signalisation de la ligne 4 à Pékin ; signalisation de l’ensemble des nouvelles lignes, soit la moitié du réseau, à Shanghaï… Ces succès enregistrés ces dernières années par Thales en Chine en appellent probablement d’autres : « On table sur 120 lignes nouvelles de métro dans tout le pays d’ici 2020, soit grosso modo la moitié du marché mondial ! », explique Serge Bertrand, patron de T3S (pour Thales Software System Shanghai), le centre d’intégration technologique de Thales à Shanghaï. Avant de moduler : « Le marché est concurrentiel et contraignant. » L’offre en ticketing s’est ainsi banalisée avec « l’apparition de constructeurs chinois compétitifs nous obligeant à nous concentrer sur les projets complexes ». Les opérateurs sont par ailleurs très techniques et parfaitement à même de spécifier leurs systèmes : « On n’obtient que très rarement la maîtrise d’œuvre, mais beaucoup plus souvent la fourniture d’un sous-système, avec un partenaire chinois car la localisation de tout ou partie de l’offre constitue, avec les transferts de technologie, une exigence normale. » La tendance des prix est, enfin, « plutôt à la baisse… », liée à la concurrence locale qui est aussi ambitieuse que compétente. Le développement du réseau national à grande vitesse appelle les mêmes remarques : « On aura d’ici cinq ans 10 000 km de nouvelles lignes, explique Serge Bertrand, qui fonctionneront sur le standard chinois CTCS, lequel complète le standard européen ETCS avec des fonctionnalités complémentaires. » Ce standard est à la base de la ligne Canton – Wuhan et entrera en opération à la fin de cette année. Le réseau intercités, fait de lignes régionales où les trains circuleront à des vitesses entre 150 et 250 km/h, offre d’autres opportunités : « Il s’agit d’offrir aux régions les moyens de connecter leurs plus grandes villes en créant, souvent en doublant des lignes existantes, plus de 20 000 km. » Pour autant, les opérations seront organisées sur une base décentralisée, « offrant une plus grande marge de manœuvre, à la hauteur du challenge permettant de satisfaire rapidement les besoins du transport interurbain généré par la croissance de l’économie chinoise ».?Tirer son épingle de l’essor, irrésistible mais complexe, du rail chinois demande des compétences et du doigté. « Nous entendons nous siniser encore plus, apprendre de ce formidable vivier de compétences que l’on trouve ici, et mettre en œuvre avec nos partenaires une stratégie de codéveloppement et d’ouverture maîtrisée de nos technologies », plaide Serge Bertrand. C’est dans cet état d’esprit que Thales et ses partenaires chinois abordent les marchés internationaux. « Notre JV de Nankin, avec Panda, exporte ses équipements de billetterie à Caracas ou Toronto, tandis que China Railway Construction Group, récent lauréat du contrat clés en main du métro de La Mecque, nous en a confié la signalisation, souligne Patrick de Cock, vice-président de Thales pour l’Asie-Pacifique. Le marché coréen, où nous comptons déjà la signalisation de deux lignes du métro de Séoul, mais aussi ceux de toute l’Asie du Sud-Est, nous intéressent également ! »     
 

François BOUCHER

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