Les entreprises ferroviaires de fret affirment que leur avenir est gravement menacé par l'absence d'engagements et investissements de la part de l'Etat et de Réseau ferré de France, sur le réseau capillaire, ces petites lignes dites 7 à 9 dans le classement UIC. Par la voix de l’Afra, l’association française du rail qui regroupe des opérateurs autres que la SNCF, ils se disent « très inquiets » et réclament des investissements pour maintenir le réseau capillaire. Selon eux, sur les 4 200 kilomètres constitués par les lignes capillaires, 1 500 km sont dans un état critique. Or, ces lignes sont cruciales pour le fret. « Si on se rapporte aux chiffres d’ECR, souligne Marc Bizien, le directeur général de la filiale française fret de la Deutsche Bahn, 2,2 % de nos trains-kilomètres circulent sur des voies 7 à 9. Mais ils gén&eg
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