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La révolution billettique de l’Ile-de-France est annoncée

© RATP - J.-F. Mauboussin

Deux nouveaux Passes, Navigo Easy et Liberté+  vont prochainement enrichir la palette des passes Navigo en Ile-de-France. Liberté + doit être lancé en octobre 2019  après une première phase de déploiement en avril. La commercialisation de Navigo Easy est prévu en avril 2019.

Avec ces passes, le ticket magnétique pourrait disparaître, indique Laurent Probst, « à l’horizon 2021 ». Mais le directeur général d’Ile-de-France Mobilités ne veut pas s’engager sur une date tant que le nouveau système n’est pas en phase de déploiement.

Les deux nouveaux passes s’adressent à des publics différents. Liberté + vise le public des voyageurs occasionnels, qui n’ont pas besoin d’un passe Navigo mensuel ou annuel. Correspondant à une demande forte des usagers, et à un engagement de Valérie Pécresse, Liberté + permettra, dans la zone dense d’Ile-de-France, celle du ticket T+, de passer du RER ou du métro au bus sans avoir à repayer. Un système mis en place dans de très nombreuses métropoles de province. Ce sera la fin d’une exception francilienne qu’on ne regrettera pas. La fin du paiement aux correspondances aura un coût pour Ile-de-France Mobilités, qui l’estime à environ 40 millions d’euros par an. Le support du nouveau titre de paiement sera la carte Navigo. Que l’on fasse un voyage ou dix, l’équivalent du ticket de métro T+ reviendra à 1,49 euros (prix du ticket acheté en carnet de dix aujourd’hui) au lieu de 1,90 euros (prix du ticket à l’unité). Les achats seront débités en fin de mois.

Navigo esay, autre carte sans contact destinée aux touristes, permettra de charger des titres de transport comme les tickets T+,  Orlybus, Roissybius, le forfait Navigo jour, etc . La carte sera vendue 2 euros, pour éviter qu’elle soit tout de suite jetée.

Derrière ces nouveaux passes destinés à faciliter la vie des voyageurs, l’affaire est plus compliquée pour Ile-de-France Mobilités. Le déploiement de Liberté+ va nécessiter de recalibrer la relation entre appareil central et valideur. Avec un gros travail de paramétrage, concernant, rappelle Laurent Probst, des « millions de comptes et des milliards de validations. »

En parallèle, IDF M mène un chantier de rénovation du système informatique de transactions. Aujourd’hui, chaque opérateur a son système qui a une bonne quinzaine d’années . Demain, il n’y aura plus qu’un système central , celui de l’autorité organisatrice. L’appel d’offres est en cours. Le titulaire du contrat sera désigné vers la fin de l’année. Un contrat en conception-réalisation dépassant les 100 millions d’euros.

En parallèle, précise Laurent Probst, « il faut aussi que les valideurs soient modernes ». Ile-de-France va laisse les opérateurs gérer leurs valideurs. On s’attend à ce que cela représente un effort financier important pour la SNCF
Parallèlement l’expérimentation du smartphone comme support de paiement va commencer en fin d’année. Quant à l’utilisation de la carte bancaire comme titre de paiement, aujourd’hui pratiquée à Londres, IDF M y travaille aussi. Pas sûr cependant qu’elle soit promise à un grand avenir si, comme cela se profile, le futur de la carte bancaire, c’est le téléphone.

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