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Les premières Assises nationales de la marche en ville se tiendront à Marseille

15 Sep 2021

Il fait bon marcher à Acigné, à Cesson-Sévigné, mais aussi dans des villes moyennes comme Chambéry, Bourges ou Vannes, et même dans des cités de plus de 200 000 habitants comme Rennes ou Strasbourg. C’est ce qui ressort d’un sondage en ligne organisé entre le 7 décembre 2020 et le 15 mars 2021 par un collectif « Place aux piétons » réunissant des associations tournées vers la marche (la Fédération française de randonnée, Rue de l’Avenir, et 60 millions de piétons).

Mais beaucoup de villes ne sont pas aussi accueillantes pour le piéton. Sur les 43 000 questionnaires exploitables, couvrant 200 communes, les personnes interrogées ont donné une note en dessous de la moyenne à leur ville : 9,2/20. 71 % d’entre elles attendent « des actions de promotion de la marche » ; 69 % « se plaignent des empiétements sur les espaces réservés aux piétons (terrasses, étalages…), d’obstacles (poubelles, poteaux…) » ; 67 % « se plaignent du stationnement des véhicules motorisés sur les cheminements piétons » ; et 70 % souhaitent « des aménagements qui améliorent le confort des piétons (toilettes, bancs de repos, lieux de sociabilité, distributeurs d’eau potable…) ».

« Nous sommes tous piétons. Mais les pouvoirs publics ne savent qui sont les piétons, et ne s’adressent pas vraiment à eux », commente Denis Cheminade, chargé de mission Marche en ville à la Fédération française de randonnée. Il faut reconnaître que les besoins des uns et des autres diffèrent, entre le parent qui accompagne son enfant à l’école, celui qui veut aller au plus vite au travail, ou le flâneur qui change de trottoir pour éviter le soleil.

60 % des sondés pensent qu’aller à pied à l’école est dangereux, 63 % estiment même que se déplacer à pied en général est dangereux. 60 % pointent la circulation des véhicules motorisés, « gênante » et 52 % se plaignent « du manque de respect des conducteurs d’engins motorisés à l’égard des piétons ». Les vélos peuvent être une source de conflit : 54 % pensent que « les aménagements cyclables constituent un facteur d’insécurité ».

« Ce questionnaire n’a pas valeur de sondage, mais il doit permettre d’éclairer sur le sujet de la marche. C’est une mobilité active qui doit être prise en compte », poursuit Denis Cheminade.

Les opérateurs de transports s’intéressent à la marche depuis plusieurs années et l’envisagent comme un mode complémentaire pouvant se substituer au bus pour des déplacements courts, mais à condition de le faire savoir, de le rendre attrayant et sécuritaire.

Tous ces sujets seront débattus au cours des Premières assises nationales de la marche en ville, organisé par le collectif, le 17 septembre 2021 à Marseille (Bouches-du-Rhône), et qui seront retransmises sur les réseaux sociaux.

Yann Goubin

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