Irréversible. Tel est le mot qui résume la situation après la signature des conventions de financement de trois projets de transports urbains en Colombie. La législation colombienne prévoit que l’Etat peut prendre en charge jusqu’à 70 % du coût des projets, le reste demeurant à la charge de la collectivité territoriale correspondante. Les conventions ont pour effet de « bloquer » les fonds publics, de sorte qu’aucun gouvernement ultérieur ne pourra faire marche arrière.
Il s’agit d’abord de la Première ligne du métro de Bogota (PLMB) avec un apport de l’Etat de 15 100 milliards de pesos colombiens (4,3 milliards d’euros), le re
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Publié le 10/12/2024
Publié le 10/12/2024