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Le Val-de-Marne dans les starting-blocks

03 Avr 2014

Mis à jour le 23 mai 2017

La formation sera « l’étape suivante », dit Bernard Legendre, directeur de l’association Orbival. Pour l’heure, l’association veille à ce que la réalisation du métro du Grand Paris ne prenne pas de retard. La formation sera « l’étape suivante », dit Bernard Legendre, directeur de l’association Orbival. Pour l’heure, l’association veille à ce que la réalisation du métro du Grand Paris ne prenne pas de retard. Etape suivante, mais il faut la préparer, et l’association s’y emploie, ainsi que le conseil général du Val-de-Marne. La réalisation du tronçon sud de la ligne 15 devrait représenter 6 000 emplois par an dans le seul domaine des travaux publics. L’essentiel du tronçon se situe dans le département du Val-de-Marne, l’extrémité ouest étant dans les Hauts-de-Seine, et l’extrémité est en Seine-Saint-Denis. Les élus demandent la mise en place de clauses d’insertion et de recrutement local. La SGP a devancé l’appel, en amorçant cette démarche dès les contrats des maîtrise d’œuvre. Le département, qui n’a pas de programme de formation des travaux publics, est en train de s’y préparer, avec les acteurs locaux et le conseil régional. Pour le secteur des travaux publics, qui attend plus de 20 000 emplois par an sur l’ensemble du chantier, les recrutements tombent plutôt bien, puisqu’ils vont intervenir à une période où se présente un pic de départ en retraite dans la profession.

F. D.

 

« La région doit promouvoir la transition écologique et “verdir” les formations »

Trois questions à Emmanuel Maurel,
vice-président en charge de l’Apprentissage, de la Formation professionnelle et de l’Emploi au conseil régional d’Ile-de-France

 

Ville, Rail & Transports. Quel rôle entendez-vous donner à la région pour répondre aux besoins de recrutement et de formation liés au lancement du Nouveau Grand Paris ?
Emmanuel Maurel. La région entend jouer un rôle décisif dans le processus de formation. Nous voulons à la fois avoir un rôle de veille (nous avons ainsi lancé des études pour évaluer les créations d’emplois et resterons attentifs à leur devenir) et un rôle de coordination avec les collectivités territoriales et le tissu économique pour préparer ce grand moment. Le conseil régional va donc jouer un rôle moteur car la formation professionnelle est au cœur de ses compétences.
Nous avons déjà engagé un diagnostic par branche professionnelle et par territoire pour mieux connaître les besoins. Et nous essayons d’évaluer les effets directs et indirects par secteur.
Les premières estimations montrent qu’entre 2010 et 2030, entre 500 000 et 650 000 emplois seront créés en Ile-de-France. Entre 175 000 et 200 000 seront liés au Grand Paris.

VR&T. Comment combler les besoins de main-d’œuvre pour lesquels il existe une forte demande mais peu de volontaires ?
E. M. C’est surtout le cas dans le BTP où les conditions de travail et le niveau de rémunération dissuadent car les entreprises veulent faire appel à de la main-d’œuvre très bon marché. Il faut améliorer les conditions de travail dans ces professions. La région peut jouer un rôle très politique pour favoriser le dialogue social au sein de ces branches.

VR&T. Quels types de formation faudrait-il créer à l’avenir selon vous ?
E. M. Les emplois qui seront créés concernent de multiples secteurs. Il y aura les emplois directs liés à la construction, les transports, l’immobilier, la distribution ou encore les télécoms. Et tous les emplois indirects comme par exemple l’hôtellerie ou la restauration. Dans tous les cas, il faut absolument garder en tête un objectif de développement durable. La région doit promouvoir la transition écologique et « verdir » les formations professionnelles. Nous avons le devoir d’adapter les formations, c’est un défi. Il passe par un nouveau modèle de développement. Nous avons déjà commencé à le faire.

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