fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Ecotaxe : Michel Sapin sceptique face aux propositions de Ségolène Royal

07 Mai 2014

Mis à jour le 23 mai 2017

Le ministre des Finances Michel Sapin, interrogé le 6 mai à l'Assemblée Nationale sur l'écotaxe, s'est montré sceptique quant à la solution évoquée par la ministre de l'Écologie et de l'Énergie, Ségolène Royal, de mettre à contribution les sociétés d'autoroutes.
"Si on crée une fiscalité particulière sur ces sociétés autoroutières, c'est prévu dans le contrat, il faut que ça soit compensé. C'est compensé comment? Par des péages. (…) Ou par un recul de la date (d'expiration, ndlr) de concession", a souligné le ministre, interrogé par la mission d'information sur l'écotaxe. Il a souligné que les autoroutes ont "été (privatisées), dans des conditions discutables (…) tellement discutables que du point de vue du ministre des Finances, j'ai plutôt envie de voir se rapprocher le moment de la fin de la concession plutôt que de (le) voir s'éloigner".
Michel Sapin a également évoqué l'hypothèse de la suppression de l'écotaxe, et donc du contrat avec la société Ecomouv', chargée notamment de la collecte de cette taxe: "si on ne respecte pas le contrat, que ce soit à l'amiable ou de manière contentieuse, ça a un coût", a-t-il rappelé. Les indemnités pourraient s'élever jusqu'à 850 millions d'euros.Selon le ministre, "redéployer la taxe en préservant le dispositif de recouvrement et en préservant éventuellement, sous réserve d'un avenant, le contrat Ecomouv', est (…) sans doute moins coûteux techniquement et budgétairement".
     

sur le même thème

réagissez à cet article

Accédez à l’espace débat