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Ewa

Prolongement de la ligne 14 : le premier tunnelier a été inauguré

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Le 9 septembre, le premier tunnelier du prolongement de la ligne 14 à la mairie de Saint-Ouen a été inauguré en présence d'élus et de responsables RATP. Baptisé Magaly, du nom d'un agent de la ligne, le tunnelier percera un tunnel style= »margin-top: 15px; margin-bottom: 15px; padding: 0px; font-family: arial; font-size: 15px; line-height: 20px; background-color: rgb(255, 255, 255); »>
circulaire à deux voies de 7,75 m de diamètre de 3, 6 km entre Paris et Clichy.

A la fin de l'année, un second tunnelier entrera en action. Cette fois-ci, il réalisera d'une part un tunnel de 1,7 km entre la future station de Clichy-Saint-Ouen et Mairie-de-Saint-Ouen et d'autre part un tunnel de raccordement au site de maintenance et de remisage (SMR). L'atelier sera implanté sur le quartier des Docks, à Saint-Ouen.

Le prolongement de la ligne 14 de Saint-Lazare à Mairie-de-Saint-Ouen marque le lancement du réseau de transport du Nouveau Grand Paris. Il a pour objectif de désaturer la ligne 13, qui voit transiter plus de 680 000 voyageurs par jour. Les 4 nouvelles stations : Pont-Cardinet, Porte-de-Clichy, Clichy-Saint-Ouen et Mairie-de-Saint-Ouen offriront de nombreuses correspondances avec les lignes existantes du RER C, la ligne 13, le Transilien ligne L, le tramway T3b et le réseau de bus.

La ligne 14 sera également connectée aux autres lignes du métro automatique du Grand Paris (lignes 15, 16, 17 et 18). D'une longueur totale de 30 km et entièrement en souterrain, la ligne reliera le pôle d’affaires de Saint-Denis Pleyel au nord et l’aéroport d’Orly au sud.

La mise en service du prolongement est programmé pour 2019. Le coût du projet est estimé à 1,38 milliard d’euros.

Ewa

Lorient pose la première pierre de son pôle d’échanges multimodal

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Le 26 mai, Lorient Agglomération a débuté les travaux de construction d’un nouveau quartier qui doit s’articuler autour du futur pôle d’échanges multimodal. La transformation qui verra la création … de bureaux, commerces, parkings publics en sous-sol ainsi que de logements, doit rapprocher la gare du centre-ville en privilégiant un accès directement au sud.
La future gare dont l’architecture effilée de verre et de bois rappelle la coque d’un navire. Elle devrait être achevée en avril 2017 pour l’entrée en service de la LGV BGV (Bretagne à grande vitesse). Elle devrait accueillir plus de 2,5 millions de voyageurs contre 1,2 million aujourd’hui.
Le montant total de l’investissement pour réaliser ce pôle d’échanges est estimé de 58,38 millions d’euros.

 

Ewa

Toulouse. Une nouvelle gare pour 2030

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Le 19 mai, Joan Busquets, architecte catalan, installé à Barcelone et chargé d'imaginer la ville de Toulouse de demain a présenté son projet de la future gare de Toulouse-Matabiau lors d'un atelier de concertation réunissant Europolia, la SPLA de Toulouse Métropole et les associations toulousaines.
L'urbaniste envisage de créer un ensemble de quatre parvis, en conservant le parvis historique auquel il ajouterait un parvis côté Périole, un parvis au niveau de l’actuelle gare routière et le parvis Marengo du côté de la médiathèque Cabanis. Joan Busquets souhaite également améliorer les flux au sein de la gare en proposant une gare à deux niveaux. Une grande passerelle supérieure serait alors installée pour accéder aux quais des trains express régionaux.
La gare qui devrait être réalisée à l'horizon 2030 pourrait accueillir 150 000 voyageurs par jour contre 50 000 actuellement.

Ewa

Distinction américaine pour le viaduc Léon Blum de Poitiers

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A Poitiers, le viaduc Léon Blum, véritable dentelle en acier, vient de se voir décerner le trophée Eugène C. Frigg par le prestigieux International Bridge Conference. Après le viaduc de Millau en 2005, c’est  le second ouvrage d’art français distingué. Le prix sera remis le 5 juin aux Etats-Unis par le célèbre Engineer’s Society of Western Pennsylvania, mettant à l’honneur « la conception visionnaire et l’innovation de l’ouvrage ».   En raison de sa situation et des connexions qu’il offre aux voyageurs, le viaduc fait partie intégrante de l’environnement de la gare. Long de 300 mètres, large de 15, situé à 20 mètres au-dessus des voies ferrées, il comporte deux voies de bus, une piste cyclable, un trottoir et même une station d’arrêt de bus. Il franchit le boulevard du Grand Cerf, enjambe le faisceau des voies – pas moins de 21 voies – une rivière et un site tertiaire. Sa construction a représenté un réel défi, dans un espace contraint (zone urbaine, trafic ferroviaire dense) tout en respectant les créneaux horaires imposés par SNCF et RFF . Un projet majeur dû à l’architecte Jean-François BLASSEL,au paysagiste Michel DESVIGNES et au groupement d’entreprises GTM/EBL/VCF/Freyssinet.

François  Xavier POINT

Ewa

La SNCF ouvre une part de son patrimoine aux artistes

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SNCF Immobilier, la nouvelle branche du groupe SNCF, a décidé d’ouvrir 16 sites (5 en Ile-de-France et 11 ailleurs en France) à des manifestations culturelles et artistiques.

« Nous les proposons, dans leur état, à tout porteur de projet pour en faire des lieux de créations pendant une durée de six mois maximum », explique Sophie Boissard, la directrice général de SNCF Immobilier « Nous voulons en effet que, sur un même site, plusieurs projets puissent voir le jour », précise-t-elle. Des projets éphémères (expositions, concerts ou  autres activités) puisque certains sites doivent être transformés à l’avenir, par exemple à l’occasion d’une restructuration urbaine. En attendant, ces bâtiments, viaducs, bagageries et autres cathédrales du rail (par exemple les cathédrales ferroviaires de Seine-Saint-Denis) désaffectés peuvent connaître une nouvelle vie.

La SNCF a lancé le 5 mai un appel à manifestation d’intérêt. Un site dédié a été lancé (www.sitesartistiques.sncf.com), qui décrit les procédures de dépôt de dossier, les sites retenus et permet de s’inscrire à des visites de sites qui auront lieu en mai, juin et juillet. Les dossiers de candidature doivent être déposés avant le 27 septembre. Un comité de sélection, constitué de personnalités qualifiées dans le domaine de l’art (Dominique Alba, directrice générale de l’Atelier parisien d’urbanisme (APUR), Didier Deschamps, directeur du Théâtre national de Chaillot, Henri Jobbé-Duval, commissaire général de Révélations -salon des métiers d’art et de la création-, Hortense Archambault, directrice de la maison de la culture de Seine-Saint-Denis, et Olivier Poivre d’Arvor, directeur de France Culture), évaluera les dossiers avant de trancher en décembre prochain. « Quatre critères seront pris en compte dans nos choix : la qualité du projet, sa capacité à intéresser un large public, la faisabilité technique et le financement du projet », ajoute Sophie Boissard.

La difficulté la plus grande à surmonter pour les candidats résidera certainement dans le financement des projets. La SNCF n’entend pas y participer. Or, les sites ferroviaires retenus ne sont en général pas prévus pour recevoir du public. Les artistes devront donc mettre la main à la poche ou trouver un moyen pour financer les éventuels travaux de mise en état du site et la réalisation du projet lui-même.

MHP

Ewa

Manuel Valls et Alain Vidalies sur le chantier de la LGV SEA

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Première sortie pour le secrétaire d’État aux Transports, Alain Vidalies. Aux côtés du Premier ministre, Manuel Valls, de Guillaume Pepy et Jacques Rapoport, les présidents de la SNCF et de RFF, il s’est rendu le 1er septembre … style= »margin-top: 15px; margin-bottom: 15px; padding: 0px; font-family: arial; font-size: 15px; line-height: 20px; background-color: rgb(255, 255, 255); »>
à Saint-Romain-la-Virvée en Gironde sur le chantier de la LGV SEA où s’achève le viaduc de 1 319 mètres entre les deux rives de la Dordogne.

Le plus long du tronçon de 302 km qui, depuis Tours, mettra Bordeaux à 2 h 05 de Paris en juillet 2017. Une livraison prévue dans les temps. Et qui ouvre la voie à un double prolongement. Vers l’Espagne, (via Hendaye). Et vers Toulouse. Prolongement qui pourrait être, « la colonne vertébrale de la nouvelle région qui réunira l’Aquitaine, Poitou-Charentes et le Limousin », augure déjà Alain Rousset, le président de l’Aquitaine. « Une excellente nouvelle pour le projet de LGV Paris-Toulouse », s’est, lui, félicité le président de Midi-Pyrénées, Martin Malvy, qui espère une mise en service en 2024. Et rappelle que le respect de ce calendrier était la condition aux 280 millions d’euros consentis par ses collectivités locales et sa Région au financement de ce premier tronçon à 8 milliards dont la pose des éléments ferroviaires débute cette année.

En annonçant l’ouverture de l’enquête publique sur ces 2 autres branches et en présence de Xavier Huillard, PDG de Vinci, dont la filiale Lisea réalise la ligne en concession, Manuel Valls a défendu l’intérêt des partenariats public – privé. Et assuré : « L’État est pleinement engagé auprès des collectivités locales et des opérateurs pour développer le réseau ferroviaire français ».

Ewa

La métamorphose de la gare Saint-Lazare

Gare Saint-Lazare Trains de banlieue

10 ans après le début des travaux de la gare Saint-Lazare, et après un an de chantier, la SNCF inaugure aujourd'hui les nouveaux parvis de la gare .
Les ex- Cours de Rome et Cour du Havre ont été transformées en aires piétonnes pour offrir plus d'espace et transparence aux voyageurs et passants … Afin de profiter de ce  lieu de vie et de rencontres, les voyageurs ou flâneurs auront à disposition  des bancs individuels agencés en véritables " salons urbains " sous des magnolias plantés en pot.
Côté transport, seuls les bus, les véhicules de secours et les livraisons pour l’hôtel Concorde sont désormais autorisés.
Des stations vélib' et un stationnement vélo ont été installés sur le parvis du  Havre, tout comme un parking dédié aux deux roues motorisés.
La Cour de  Rome accueillera les terminus des lignes Mobilien 20 et 26, deux lignes accessibles aux personnes à mobilité réduite.

Sur le toit de l'Hôtel Concorde,  des spots éclairent  la gare et les deux statues d'Arman.
Installées depuis près de trente ans sur le parvis de la gare Saint-Lazare à Paris, les oeuvres d’Arman, L’Heure de tous et Consigne à vie (accumulation d'horloges pour la première et accumulation de valises pour le seconde),  ont retrouvé leur place après restauration.
Six mois ont été nécessaires à  l’Atelier de fonderie Bocquel pour que  les statues retrouvent leur patine d’origine.
Véritables signaux urbains et lieux de rendez-vous, elles constituent des points de repères qui guident les voyageurs vers la gare, l’une des plus importantes d’Europe, avec un trafic d’environ 120 millions de voyageurs par an.

Ewa

Poitiers : ouverture du viaduc Léon-Blum

Viaduc Leon Blum

Après deux ans de travaux,  le viaduc Léon-Blum vient d'être ouvert à la circulation. L'ouvrage d'art métallique remplace
  Après deux ans de travaux, le viaduc Léon-Blum vient d'être ouvert à la circulation. L'ouvrage d'art métallique remplace la passerelle des Rocs qui a été détruite. Il enjambe les voies TGV au cœur de la ville.
D’une longueur de 340 mètres reliant l'ouest de Poitiers au centre-ville, le viaduc Léon-Blum est dédié aux bus, aux vélos, aux piétons et bientôt aux bus à haut niveau de service.
Conçu par Jean-Francois Blassel et RFR, et réalisé par le groupement GTM Ouest, le viaduc Léon-Blum est composé d'une charpente fine et métallique surmontée d’une dalle en béton. L'ouvrage a coûté 30 millions d'euros.

Ewa

Strasbourg s’étend vers l’Allemagne

Vue1 copyright CyrilleTHOMAS MarcBARANI Architectes

La Compagnie des transports strasbourgeois va lancer, fin 2013, le chantier du pont du tramway qui franchira le Rhin et permettra de relier, début 2017, les parties française et allemande de l’agglomération. La Compagnie des transports strasbourgeois va lancer, fin 2013, le chantier du pont du tramway qui franchira le Rhin et permettra de relier, début 2017, les parties française et allemande de l’agglomération. Le projet élaboré par Bouygues propose d’aménager, pour 24 millions d’euros, un double bow-string entièrement métallique d’une portée de 260 m au-dessus du fleuve. Sur 16 m de largeur, le pont présentera deux voies engazonnées pour le tramway, une piste cyclable et un trottoir en enrobé coloré, réservé aux piétons. Le nouvel ouvrage se situera à 130 m en amont du pont TGV, en service depuis 2011, et à une centaine de mètres en aval du pont routier existant. Ce dernier n’aurait pas pu, selon Roland Ries, maire (PS) de Strasbourg, supporter un tablier élargi pour le tramway.
Roland Ries présente cette extension transfrontalière de la ligne D (2,6 km pour 87 millions d’euros) comme la « colonne vertébrale » de l’urbanisation des friches industrielles proches du Rhin, sur 250 ha, « sur les dix ou quinze prochaines années ». La ville de Kehl (35 000 habitants) souhaite s’engager à financer, pour 35 millions d’euros, une extension complémentaire sur 1 km jusqu’à son hôtel de ville. Pour obtenir les cofinancements fédéraux de la construction du pont, à parts égales entre la France et l’Allemagne, les collectivités ont mobilisé les ressources juridiques d’Ernst&Young, qui ont notamment conseillé aux Allemands de qualifier la partie piétonne de « voie d’évacuation ».
    

Olivier Mirguet
 

Ewa

Lyon – Turin : Paris et Rome s’accordent pour financer?le tunnel

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Il y avait urgence à s’entendre : le calendrier du projet de ligne nouvelle Lyon – Turin était devenu tellement obsolète que Bruxelles a haussé le ton il y a quelques mois. class= »rtejustify »>
Il y avait urgence à s’entendre : le calendrier du projet de ligne nouvelle Lyon – Turin était devenu tellement obsolète que Bruxelles a haussé le ton il y a quelques mois. Si la France et l’Italie ne s’entendaient pas sur le financement, si un avant-projet n’était pas mis au point et si les travaux préparatoires côté italien n’étaient pas lancés avant la fin du premier semestre 2011, la contribution européenne serait purement et simplement supprimée, avait prévenu la Commission.
Message reçu. Le 27 septembre, la France et l’Italie ont trouvé un accord sur le financement du tunnel ferroviaire de base entre Saint-Jean-de-Maurienne et la vallée de la Suse dans le Piémont. Cet accord prévoit désormais un financement de la section internationale supporté à un peu moins de 30 % par l’Europe (inchangé), tandis que les Italiens et les Français se répartiront le reste : 57,9 % pour les premiers et 42,1 % pour les seconds (alors que la répartition initiale prévoyait un partage 63 %-37 %). Les Italiens ont également obtenu un phasage des travaux, car ils souhaitent reporter à plus tard le percement du tunnel de l’Orsiera, théâtre d’une violente contestation du projet.
Dans un premier temps, le projet consisterait donc à réaliser le tunnel de base de 57 km et deux gares internationales pour un montant de 8,5 milliards d’euros. Plus tard, ce serait au tour des tunnels de Belledonne, puis du Glandon (2,8 milliards d’euros pour les deux ouvrages), ainsi que des aménagements de voies côté français. Puis une troisième phase prévoit la construction du tunnel de l’Orsiera pour 1,8 milliard d’euros. Prochaine étape importante : la signature de l’avenant au traité de Turin de 2001, qui doit notamment mettre en place le futur promoteur public binational de la liaison. Même si ce document pourrait être signé avant la fin de l’année, il ne met pas fin pour autant aux incertitudes qui pèsent toujours sur ce projet. Surtout côté italien. « Quand les travaux du tunnel de reconnaissance de Maddalena commenceront, on y verra plus clair », assure un bon connaisseur du dossier. Il estime que ces travaux pourraient être lancés en novembre car le chantier a été « sécurisé » fin juin, sous haute protection policière. Côté français, un débat public sur les accès au tunnel pourrait aussi être mené avant la fin de l’année. Mais personne ne se risquerait sur un calendrier ultérieur. La décision de passer des travaux préparatoires au lancement du projet lui-même sera une décision hautement politique… et, cela va sans dire, financière.
    

Marie-Hélène Poingt