Le Régiolis d'Alstom a effectué le 14 avril son voyage inaugural en Aquitaine (première région a en avoir commandé) entre Bordeaux et Langon, soit 50 km.
La mise en circulation effective de cette nouvelle rame entièrement électrique était prévue le 22 avril.
Après avoir fait le tour des régions et quatre mois après être devenu directeur général Régions et Intercités de la SNCF, Alain Le Vern a présenté sa feuille de route le 8 avril. Celle-ci tourne autour de deux grands axes : décentralisation et transparence. Avec un slogan : « 20 sur 20 en 2020 ». class= »MsoNormal »>
Traduction pratique : « Il y a 20 activités en France, 20 régions qui chacune sera dirigée par un patron, le directeur de l’activité TER qui va travailler au quotidien avec le président de région », a expliqué l’ancien président du Conseil régional Haute-Normandie qui a démissionné de son mandat à la fin de l’année dernière pour entrer à la SNCF à la demande de Guillaume Pepy soucieux de « réinventer la relation avec les autorités organisatrices des transports » pour tenter de mettre fin aux tensions grandissantes.
Chaque patron devrait avoir le pouvoir de décision sur de multiples leviers comme par exemple la traction ou la maintenance. Cette orientation n’est pas nouvelle. Elle a été mise en pratique en Ile-de-France et présentée comme un modèle à suivre pour l’avenir.
Le nouveau patron des Ter et des Intercités compte aussi sur l’arrivée des Régiolis à partir du 22 avril, puis des Regio 2N cet automne pour abaisser les coûts en exploitant une flotte plus homogène. « Alors que nous avions 40 séries de train, nous n’en aurons plus que 4 ou 5 selon les régions », indique-t-il. Le nouveau patron des TER espère gagner un point de régularité en passant de 92 % à 93 % des trains à l'heure en moyenne d'ici à 2016. "Dans une majorité de régions, le taux de régularité est de plus de 95 %", précise-t-il. "Mais il y a des disparités, dans certaines, il est au-dessus de 98 %, dans d'autres plutôt autour de 90 %".
Second axe, la transparence pour répondre aux critiques des régions qui se plaignent souvent de ne pas savoir ce qu'elles paient réellement. « Nous disons aux régions que nous tiendrons nos coûts. Nous leur proposerons un certain nombre de leviers et des devis transparents. Chaque président de région connaîtra le montant de la facture sur chacun des leviers. Il pourra décider sur quel curseur il veut jouer», souligne Alain Le Vern. Chaque région dispose déjà d’une comptabilité par ligne, assure-t-il. Avant d’ajouter : « L’idée, c’est d’aller plus loin. Ce que nous allons construire, c’est 20 activités, donc 20 équipes et donc performances industrielles différentes ».
Le déménagement de la direction générale des TER et des Intercités prévu à Lyon en janvier 2016 devrait aussi contribuer à abaisser les frais généraux. Actuellement cette direction générale compte 240 personnes. A terme, elles ne devraient plus être que 150. Alain Le Vern espère ainsi globalement parvenir à un gain de productivité de 12 % sur l'activité TER d'ici à cinq ans.
Enfin, Alain Le Vern s'est vu ajouter une nouvelle mission : la lutte contre la fraude à l’échelle nationale. « Je vais dans les semaines qui viennent faire toute une série de propositions pour mettre fin à ce qui s’appelle du vol : la fraude coûte chaque année 300 millions d’euros annuels », précise-t-il, en ajoutant que ce chiffre est sans doute sous-estimé. Parmi les pistes envisagées, il devrait annoncer un raccourcissement de la durée de vie d’un billet, qui passerait de 2 mois à 7 jours « pour commencer ». La généralisation du contrôle à l'embarquement fait aussi partie des idées à mettre en pratique lorsque c'est réalisable ainsi que l'amélioration du recouvrement des amendes.
Le 27 mars, Alstom a livré son nouveau train régional Coradia Meridian à Trenitalia, à la station Termini de Rome. Rebaptisé « Jazz », le train présenté est
l'un des 70 trains Coradia Meridian d'Alstom commandés par FS en novembre 2012.
Pour mieux répondre aux besoins de mobilité des passagers et des opérateurs, le Jazz se déclinera en quatre configurations : métropolitaine (plus de places debout) ; régionale (plus de sièges) ; régionale express (plus de confort pour les voyages longue distance) ; et aéroport (plus de compartiments à bagages).
Tous les trains sont équipés d'un système de vidéosurveillance, d'écrans d'information et de notices en braille, ainsi que d'un système de haut-parleurs et de prises de courant de 220 V pour les téléphones portables, les ordinateurs portables et les tablettes.
Recyclable à 95 %, le Coradia Meridian sera produit dans les centres italiens d'Alstom à Savigliano (Cuneo), Bologne et Sesto San Giovanni (Milan).
Alstom a obtenu l’autorisation de mise en exploitation commerciale (Amec) délivrée par l’Etablissement public de sécurité ferroviaire (EPSF) de Régiolis, son train régional de dernière génération issu de la gamme Coradia. Cette homologation, processus au cours duquel interviennent aussi Eurailtest, Certifer, RFF et SNCF, « couvre l’ensemble des Régiolis commandés à ce jour par 12 régions» précise un communiqué d’Alstom du 24 mars. Cette autorisation ouvre la voie aux premières mises en service commercial dès le 22 avril en Aquitaine, Lorraine, Alsace et Picardie.
10 rames Régiolis de présérie ont effectué 350 000km durant 1 400 jours de tests cumulés. Une cinquantaine d’ingénieurs et techniciens spécialisés d’Alstom se sont relayés « pour mener à bien ces essais et répondre aux 10 000 exigences françaises et européennes nécessaires pour faire circuler en toute sécurité les Régiolis sur le réseau ferré national » précise le communiqué d’Alstom.
Il aura fallu un an de négociations serrées pour que la région Franche-Comté et la SNCF signent enfin le 3 mai leur nouveau contrat TER, qui s’étend sur la période 2013-2017. Il aura fallu un an de négociations serrées pour que la région Franche-Comté et la SNCF signent enfin le 3 mai leur nouveau contrat TER, qui s’étend sur la période 2013-2017. D’un montant de plus de 74 millions d’euros annuels, la convention prévoit une stabilisation de l’offre « avec un ajustement du plan de transport le week-end et pendant les vacances scolaires dès le mois de juillet », précise un communiqué commun de la SNCF et de la région. Une stabilisation qui suit une année de hausse : l’an dernier, l’offre avait été accrue de 15 % dans un contexte de mise en place du cadencement lancé en décembre 2011.
Pour renforcer la qualité, la région a souhaité fixer des objectifs de ponctualité davantage « en phase avec la réalité » : le taux de régularité devra atteindre globalement 92,1 % mais 93,5 % pour les trains circulant aux heures de pointe. Ils seront revus annuellement en fonction de leur progression.
Un suivi de la qualité de service est prévu, basé sur un dispositif de bonus-malus pour l’information des voyageurs et pour les services proposés dans les trains et dans les gares. De plus, « la SNCF s’est engagée à indemniser les abonnés à hauteur de 25 % du coût des abonnements en cas de grève supérieure à 15 jours ouvrés consécutifs et lorsqu’un train circulant aux heures de pointe enregistre une régularité inférieure à 80 % pendant 20 jours ouvrés consécutifs ». Ce qui représente une première en France pour le TER, affirme la région.
Enfin, la SNCF et la région vont mettre en place une tarification pour inciter aux voyages en TER avec une nouvelle carte pour les jeunes et une carte pour les clients occasionnels.
Au chapitre des investissements, la région va verser 49 millions d’euros pour moderniser le matériel roulant, notamment avec la commande de 7 trains Régiolis (Alstom) qui doivent remplacer les rames tractées BB25+RRR arrivant en fin de vie.
Elle va également investir dans « l’adaptation des ateliers de maintenance de Dijon pour un montant d’un million d’euros » et engage un programme industriel de 15 millions d’euros en « confiant à la SNCF les opérations d’entretien de grande envergure pour le matériel roulant ».
Marie-Hélène POINGT
Franche-Comté, le TER en chiffres :
– 22 000 voyageurs / jour
– + 7 % de trafic en 2012
– 6 lignes ferroviaires dont deux lignes principales : Belfort – Dijon et Besançon – Lons-le-Saunier (Lyon) qui représentent 56 %
de la fréquentation l 770 km de lignes ferroviaires
– 508 km de lignes routières
– 65 gares ou points d’arrêt.
«Il s’agit d’une révolution, le système est unique en France, 30 ans après le VAL, nous pouvons nous réjouir d’être encore à la pointe en matière de service aux usagers. » Martine Aubry n’a pas boudé son plaisir en annonçant le lancement tant attendu de la billettique sans contact pour les transports en commun lillois. «Il s’agit d’une révolution, le système est unique en France, 30 ans après le VAL, nous pouvons nous réjouir d’être encore à la pointe en matière de service aux usagers. » Martine Aubry n’a pas boudé son plaisir en annonçant le lancement tant attendu de la billettique sans contact pour les transports en commun lillois. A partir du 25 juin, l’ensemble des voyageurs, qu’ils soient abonnés, usagers occasionnels ou touristes de passage, pourront voyager avec une seule carte. Pass Pass sera valable pour l’ensemble des modes de transports : le métro, le bus, le tramway, le TER, les cars Arc en Ciel, les V’Lille et les réseaux d’autopartage. A la différence du pass Navigo parisien, pas aussi multimodal. La bascule est par ailleurs totale, les tickets de métro disparaîtront dès la fin juin. Le service offre une certaine souplesse. Les usagers réguliers et les abonnés disposeront de leur carte personnelle. Une carte non personnalisée a aussi été imaginée, notamment pour les familles ou des gens accueillant des non lillois en déplacement. Pour plus de facilité, les abonnements pourront désormais être glissants, et démarrer n’importe quel jour du mois. La formule « Liberté » permettra à des utilisateurs occasionnels de payer leurs déplacements le mois suivant, le système appliquant la tarification la moins chère. Exemple : au bout de 10 trajets uniques, le tarif du carnet sera appliqué. La carte sera disponible et rechargeable dans le métro, les bus et sur Internet. « Ce sera très simple pour l’utilisateur, mais la complexité technologique est inouïe », a ajouté Eric Quiquet, vice-président aux transports de Lille Métropole. 120 000 personnes se seraient déjà inscrites pour obtenir leur carte. Et pour cause, le service était initialement prévu pour septembre 2012. Un retard expliqué par la difficulté d’intégrer l’ensemble des systèmes informatiques concernés, qui coûtera à Parkeon, le prestataire, 320 000 euros de pénalités. Porté en intégralité par Lille Métropole Communauté urbaine, l’investissement, à l’origine estimé à 27 millions d’euros, a été ramené à 21 millions d’euros.
L’aéroport de Clermont-Ferrand, sur la commune d’Aulnat, à l’est de l’agglomération (22 communes et 290 000 habitants), devait être desservi par le chemin de fer à partir du 11 décembre. L’aéroport de Clermont-Ferrand, sur la commune d’Aulnat, à l’est de l’agglomération (22 communes et 290 000 habitants), devait être desservi par le chemin de fer à partir du 11 décembre. La nouvelle halte ferroviaire Aulnat-Aéroport entrera en service avec la nouvelle grille horaire. Le temps de trajet sera de 4 à 8 minutes depuis la gare de Clermont, et de 25 depuis Thiers. Au total, 35 trains par jour, à peu près la moitié dans chaque sens, s’y arrêteront, même si les horaires n’ont pas été calés sur les vols de départ et d’arrivée. La nouvelle halte est séparée de la plateforme aéroportuaire par une route départementale. Deux feux ont donc été installés pour permettre sa traversée. Jusqu’à présent, l’aéroport était desservi par les lignes de bus 10 et 20 de la T2C, mais en marge, puisque leurs arrêts en étaient assez éloignés. Toutefois, deux courses et demie de la ligne 20 sont déjà déviées, à contre-charge, pour desservir un arrêt provisoire sur le rond-point devant le parking de l’aérogare. A partir du 21 décembre, ce seront cinq courses quotidiennes qui le desserviront. En attendant les changements d’horaires, à l’été prochain, prévus par la T2C. Ainsi, à la rentrée scolaire 2012, la ligne 20 desservira l’aéroport et la gare SNCF. Ce nouvel arrêt sera utile aux quelque 2 000 employés de la zone aéroportuaire, mais aussi aux habitants d’Aulnat.
Après 15 mois de polémiques, le conseil régional du Centre vient d’accepter de financer une grande partie des travaux de sécurisation de cette ligne d’abord empruntée par des scolaires de Sologne. Après 15 mois de polémiques, le conseil régional du Centre vient d’accepter de financer une grande partie des travaux de sécurisation de cette ligne d’abord empruntée par des scolaires de Sologne. Face aux refus de financement par les conseils généraux de l’Indre et du Loir-et-Cher, la région porte sa participation de 4 à 9,1 millions d’euros, le solde étant apporté par RFF (4,5 millions) et la communauté de communes de Romorantin (250 000 euros). La région a estimé que cette ligne exploitée par Keolis « était un élément fondamental de l’aménagement du territoire ». Depuis 2008, la vitesse de circulation sur cette ligne jugée dégradée avait été abaissée de 70 à 40 km/h. Une convention de financement a donc été signée avec RFF, qui engagera des travaux en décembre prochain pour un « retour à la normale » en septembre 2012.
La région Languedoc-Roussillon expérimente depuis le 1er juillet le TER à un euro sur la ligne Nîmes – Le Grau-du-Roi (45 km) et en a dressun premier bilan de fréquentation. La région Languedoc-Roussillon expérimente depuis le 1er juillet le TER à un euro sur la ligne Nîmes – Le Grau-du-Roi (45 km) et en a dressun premier bilan de fréquentation. « En juillet et août les comptages attestent que le nombre de voyageurs a plus que doublé par rapport à 2009, année de référence », a fait savoir le conseil régional. Le seuil des 100 000 voyageurs a été dépassé au cours des deux mois de haute saison estivale. Des pointes ont été notées le samedi 30 juillet avec 3 132 voyages et le jeudi 11 août avec 4 048 voyages. À la direction régionale de la SNCF, on relève « une très forte et remarquable mobilisation de tous les métiers de l’entreprise » autour de cette expérimentation. 64 % des clients ont affirmé, dans un sondage de l’institut BVA commandé par la région, que « sans le tarif à un euro ils n’auraient pas effectué ce trajet en TER ». 29 % faisaient l’an dernier le trajet en voiture individuelle. La sécurité est ressentie comme le point fort dans les trains (94 % de satisfaits ou très satisfaits), la fréquence étant le point jugé le moins convaincant (73 % de satisfaits tout de même). 53 % des clients résident en Languedoc-Roussillon, 52 % dans le Gard. 80 % des voyageurs détenaient un billet à un euro, les 20 % restants étant en correspondance et payant le prix de la tarification générale. Le billet à un euro n’est en effet disponible que dans les gares de la ligne. En décembre, la région Languedoc-Roussillon étendra cette tarification ferroviaire, unique en France, à la ligne Perpignan – Villefranche, au printemps 2012 à Carcassonne – Quillan, à l’été 2012 au translozérien Langogne – La Bastide – Mende – Marvejols et fin 2012 à Béziers – Bédarieux. D’ici là, l’opération Nîmes – Le Grau-du-Roi devrait pouvoir livrer ses premiers bilans financiers.
Le conseil régional a décidé de reprendre en direct l’organisation des transports TER routiers sur onze lignes rhônalpines. La mesure adoptée fin mai par les élus s’inscrit dans le cadre de la convention région Rhône-Alpes-SNCF 2007-2014 et entrera en vigueur au plus tard en décembre 2013, au fur et à mesure de l’arrivée à échéance des contrats en cours entre la SNCF et les transporteurs. Le conseil régional a décidé de reprendre en direct l’organisation des transports TER routiers sur onze lignes rhônalpines. La mesure adoptée fin mai par les élus s’inscrit dans le cadre de la convention région Rhône-Alpes-SNCF 2007-2014 et entrera en vigueur au plus tard en décembre 2013, au fur et à mesure de l’arrivée à échéance des contrats en cours entre la SNCF et les transporteurs. Les onze lignes concernées sont intégralement routières et représentent plus de 4 millions de cars-km, soit 45 % de l’offre kilométrique routière gérée par la SNCF pour le compte de la région Rhône-Alpes. En revanche, les lignes TER routières venant compléter à certaines heures de la journée les dessertes ferroviaires restent dans le giron des services SNCF.
Les onze lignes intégralement routières présentent les caractéristiques suivantes :
– Ain-Rhône-Loire
Quatre lignes sont concernées : Bellegarde – Divonne – Ferney, soit 16 allers-retours par jour avec en moyennes 16 voyageurs par service, pour une recette de 0,49 million d’euros sur 1,07 million d’euros de charges, soit un ratio de 38 % ; Bellegarde – Brion (10 AR, 8 voyageurs, 32 %) ; Villefranche – Mâcon TGV (6 AR, 11 voyageurs, 36 %) ; Roanne – Le Creusot TGV, la plus rentable (5 AR, 18 voyageurs, 70 %).
– Ardèche Nord
Deux lignes : Annonay – Le Péage (10 AR, 9 voyageurs, 17 %), la moins rentable ; et Annonay – Lyon (5 AR, 12 voyageurs, 33 %).
– Drôme-Ardèche Sud
Cinq lignes, dont Valence TGV – Privas l Aubenas (la plus fréquentée, 23,5 AR, 18 voyageurs, 31 %) ; devant Valence – Montélimar – Aubenas – Les Vans (17,5 AR, 13 voyageurs, 24 %) ; Vallon-Pont-d’Arc – Montélimar – Valence TGV (1 AR hiver, 4 AR l’été, 15 voyageurs, 32 %), Montélimar – Nyons (3 AR, 9 voyageurs, 29 %).
A noter que la ligne Le Pouzin – Pierrelatte (5 AR, coût non communiqué) a la plus faible fréquentation) avec un inédit 0,5 voyageur par service, ce qui revient à 1 voyageur par jour. « Un constat étonnant » pour l’UMP, qui a estimé « absolument nécessaire de chercher à mieux adapter la ligne aux besoins des populations qui ont certainement des raisons de ne pas la fréquenter davantage aujourd’hui ».
Bernadette Laclais, vice-présidente aux transports à la région Rhône-Alpes, a indiqué que la reprise en direct par la collectivité permettra de « renforcer le service et le suivi qualité rendu aux voyageurs, ainsi que la bonne exécution du contrat ». Elle a également mentionné qu’un audit externe aura pour mission d’assurer les contrôles auprès des transporteurs. Dans l’immédiat, un « groupe de travail TER » va étudier les différentes formes juridiques de gestion (régie directe, DSP ou SPL) pour choisir le mode le plus approprié aux futures relations région-transporteurs prévues sur six ans. Les conclusions devront être connues pour fin juillet et le cahier des charges lancé dans la foulée.
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