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Ewa

L’Ile-de-France inaugure sa première station-service au GNV

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Moins 20 % d’émissions de gaz à effet de serre et beaucoup moins de particules fines, c’est la promesse du GNV et du bio GNV, une énergie d’avenir que la région Ile-de-France souhaite promouvoir. « Nous allons construire plusieurs nouvelles stations d’avitaillement au GNV comme celle-ci, cela s’inscrit dans notre vision de la smart région et entre dans le cadre du plan régional pour la qualité de l’air "Changeons d’Air" adopté en juin dernier », a dit Catherine Primevert, conseillère régionale (LR) membre de la commission permanente et chargée des questions environnementales lors de l’inauguration de la première station-service de gaz compressé pour véhicule. Située à Bonneuil-sur-Marne dans l’emprise portuaire, cette station de 4 000 m² et deux pistes (quatre à terme) dispose de trois compresseurs (660 Nm3/h) et est ouverte 24h/24 aux particuliers comme aux entreprises (y compris aux poids lourds de 44 tonnes) ou même aux opérateurs de transport depuis le 24 novembre.

Elle a coûté 1,8 million d’euros, dont 190 000 euros ont été apportés par le conseil régional. Confiée en gestion par une DSP de trois ans au groupe espagnol Endesa, elle a vu le jour grâce au partenariat signé en décembre 2014 entre le Syndicat intercommunal pour le gaz et l’électricité en Ile-de-France (Sigeif), la Ville de Paris, GRDF et La Poste. Elle préfigure le réseau que la SEM locale Sigeif Mobilités, créée tout spécialement pour développer l’approvisionnement en gaz et biogaz, entend construire. Alors que « plus des deux tiers des villes de plus de 100 000 habitants l’utilisent déjà pour les bus ou les bennes à ordures », affirme Edouard Sauvage, DG de GRDF, chacun s’accorde sur le fait que le GNV constitue l’alternative crédible au diesel pour les poids lourds et utilitaires, à court terme.

C. N.

Ewa

Talgo fournira les prochains trains à grande vitesse de la Renfe

On savait depuis quelques jours que l’Avril de Talgo et l’Oaris de CAF étaient en finale pour le nouveau contrat de trains à grande vitesse de la Renfe, finalement attribué ce lundi 28 novembre. Et c’est Talgo qui a remporté le contrat pour la construction et la maintenance d’un nouveau parc comptant jusqu’à 30 trains, a annoncé aujourd’hui le ministre de l’Equipement, Íñigo de la Serna. Encore un « contrat du siècle », en tout cas le plus grand marché jamais conclu par la Renfe. L’offre de Talgo s’élève à un total de 786 millions d’euros, dont 337,1 millions pour les 15 trains de la tranche ferme et 448,9 millions pour la maintenance pendant 30 ans, la Renfe ayant préalablement établi un plafond de 1,096 milliard d’euros pour cette tranche. Ce qui met le prix unitaire de la rame à 22,5 millions d’euros et la maintenance à 2,49 euros/km.

A titre de comparaison, l’offre de CAF était de 870 millions d’euros, alors que Siemens et Alstom frôlaient le plafond avec respectivement 1,071 milliard et 1,095 milliard d’euros pour 15 rames. Et pour ce qui est de la note technique, Talgo était également premier, suivi d’Alstom, de CAF et de Siemens.

Ewa

Charenton signe pour transformer les coupures en couture

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Avec le périphérique et l’énorme échangeur autoroutier au nord-ouest, l’autoroute A4 longeant la Seine au sud-ouest et au sud et le faisceau de voies ferrées des gares de Lyon et de Bercy en plein centre-ville, s’il est un territoire francilien marqué par les coupures urbaines, c’est bien celui de Charenton-le-Pont dans le Val-de-Marne. Dans le prolongement de la ZAC Bercy-Charenton, un projet d’aménagement de dix hectares a cependant germé. Un site que le maire de la commune, Hervé Gicquel (LR) souhaite transformer en « quartier moderne, apaisé, avec un urbanisme à taille humaine comprenant des logements, des services publics de proximité, des transports collectifs, dessertes piétonnes et voies douces ».

Pour y parvenir, la commune reçoit un petit coup de pouce grâce à la signature le 24 novembre d’un contrat d’intérêt national (CIN) « Bercy-Charenton », réunissant un très grand nombre de partenaires, dont la SNCF, qui affirme qu’elle souhaite « remplacer les coupures par de la couture », mais aussi l’AP-HP, Tikéhau, le propriétaire du centre commercial Bercy 2, Immobilière Carrefour ou encore Ibis… Outil présenté en octobre 2015 à l’occasion du comité interministériel du Grand Paris, le CIN a vocation à coordonner un partenariat entre l’Etat, les collectivités et des acteurs économiques publics et privés.

Cette zone de dix hectares est aussi l’un des 59 sites retenus dans le cadre du projet « Inventons la métropole du Grand Paris », qui invite des groupements de promoteurs, urbanistes et architectes à remodeler la métropole. « Ce contrat est une chance pour développer le secteur de Bercy-Charenton. On n’agrandit pas la conurbation, mais l’idée de métropolisation commence à faire corps », a commenté Jean-François Carenco, le préfet de région qui signait ce jour-là le troisième CIN, après Clamart et Argenteuil. L’objectif est aussi en effet de retisser des liens avec la capitale qui développe une ZAC de 70 hectares juste de l’autre côté du périph’. Un projet actuellement à l’enquête publique, prévoyant notamment de prolonger jusqu’à Charenton la rue Baron-Leroy aujourd’hui en cul-de-sac.

Signé avec l’Etat, la ville, Grand Paris Aménagement et l’établissement public Paris Est Marne et Bois (123 communes), le CIN n’est que le point de départ à une réflexion globale de désenclavement et d’urbanisme de ce territoire soumis à de fortes contraintes mais perçu comme « à fort potentiel ». Le comité de pilotage réunissant l’ensemble des parties prenantes doit voir le jour prochainement. Il se réunira au moins deux fois par an afin de définir le projet d’aménagement urbanistique et immobilier, d’identifier les acteurs à mobiliser, les actions et leurs modalités de réalisation et de déterminer un phasage.

C’est une énorme mutation que s’apprête donc à vivre Charenton, le territoire pourrait faire disparaître sa « déchirure urbaine » comme l’a qualifiée Eric Cesari, l’un des vice-présidents de la métropole du Grand Paris, participant de « l’esquisse que ce que sera la métropole du XXIIe siècle ». La SNCF, dont le rôle devrait être majeur étant donné qu’elle possède « un patrimoine ferroviaire ancien important, le cœur du réacteur d’exploitation de la gare de Lyon », a rappelé son représentant.

Son patrimoine étant tout à la fois symbole du développement durable et facteur de coupure urbaine, elle s’engage à « être un partenaire fiable et solide afin de muter vers l’espace urbain apaisé appelé des vœux ». Autant dire qu’une coûteuse couverture des voies s’imposera. Le député de Charenton, également vice-président de la métropole, Michel Herbillon (LR), a pour sa part rappelé le fil rouge du projet : « équilibre et harmonie. » Tout un programme…
C. N.

Ewa

La sous-station de la Castelle est prête pour le contournement Nîmes – Montpellier

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Le cœur énergétique du Contournement de Nîmes et Montpellier (CNM) va commencer à battre : la sous-station de la Castelle, à Lattes au sud de Montpellier, s’apprête à délivrer les 2×25 kV monophasés pour une mise sous tension fin mai 2017. La livraison à l’exploitation des 80 km de liaisons nouvelles mixtes est fixée au 5 octobre 2017. Tandis que sur le faisceau de la gare de Montpellier la Mogère s’achève le déroulement des dernières caténaires, Oc’Via, constructeur du CNM pour SNCF Réseau, a présenté la sous-station flambant neuve de la Castelle. Branchée sur la boucle sud de Montpellier en 225 kV triphasé du réseau RTE, elle est dotée de deux transformateurs de 116 tonnes chacun, dont 70 t de cuivre, circuits magnétiques et acier, et 50 t d’huile. D’une capacité de 60 MVA, ces géants ont été manufacturés à Malines en Belgique par CG Global et acheminés par route. Leur montage a nécessité deux semaines. L’un sera actif et l’autre en réserve. Capteurs et disjoncteurs amont et aval les protègent.
RTE a détourné sa ligne voisine de 225 kV pour la faire transiter par le site, partagé en deux espaces (RTE et Oc’Via) séparés par une clôture intérieure. RTE a achevé la construction de ses barres et disjoncteurs, essais compris, le 29 septembre dernier. Ses installations atteignent 16 m de haut. Oc’Via a pris le relais avec des essais en interne en novembre pour mise sous tension fin mars 2017. Le coût de l’ensemble avoisine dix millions d’euros.
La sous-station de la Castelle couvrira les besoins de la section courant de Vergèze (PK 51) à la jonction de Lattes. La partie est du CNM, de Manduel à Vergèze, ainsi que le lien Manduel – Saint-Gervazy (ligne de la rive droite du Rhône) et la jonction vers Tarascon, seront alimentés par la sous-station existante de Biscarrat sur la LGV Méditerranée. A Vergèze, un commutateur permettra d’assurer un secours par la sous-station restant en service en cas de défaillance de l’autre, moyennant une baisse de tension. Par ailleurs, la sous-station de la Castelle est dimensionnée pour alimenter la section est d’une future ligne nouvelle Montpellier – Perpignan.
Pour la partie RTE, le centre de contrôle de l’alimentation est situé à Toulouse, pour SNCF Réseau à Lyon. Quatre postes de mise en parallèle sont installés le long du CNM pour éviter les chutes de tension. La consommation ferroviaire est exigeante : deux rames TGV qui se croisent exigent sans délai 50 MW, « soit la consommation d’une ville comme Sète », note Jean-Philippe Bonnet, délégué Méditerranée de RTE. Le CNM ne comptera que deux sous-sectionnements : à Vergèze et au droit de la Castelle. La partie 25 kV de la Castelle est construite par Oc’Via mais, contrairement aux voies et signalisation qui seront entretenues par Oc’Via Maintenance, son entretien reviendra à SNCF Réseau.
Sur la ligne, la pose de voie du CNM a été achevée fin août. Les équipes signalisation achèvent l’installation des deux systèmes superposés BAL et ERTMS 1, ce dernier couvrant la ligne, ses antennes et toutes les voies de la gare de la Mogère. L’ERTMS 1 est adapté à la vitesse limite du CNM : 220 km/h dans un premier temps.
« Les essais en ligne, commencés en octobre, dureront six à huit mois, explique Thierry Parizot, directeur général d’Oc’Via. D’abord des essais statiques, puis sur les raccordements aux extrémités », soit cinq jonctions dont une à voie unique (la « virgulette » vers le sud de la rive droite du Rhône). « La montée en vitesse est prévue sur six semaines, en juillet et août 2017 », précise-t-il. La fin des essais est fixée au 5 septembre 2017, laissant place à la formation des conducteurs des divers opérateurs, le fret devant être archidominant en première phase. SNCF Réseau prévoit sur le CNM une tarification fret identique à celle de la ligne historique, permettant ainsi de libérer sur cette dernière une belle quantité de sillons, bienvenus tant pour les TER et Intercités que pour… les TGV.
Porter la vitesse de 220 à 320 km/h sur les 60 km Manduel – Lattes n’est pas prévu avant l’extension vers Perpignan. Sur le CNM, cela exigera la requalification informatique de l’ERTMS de 1 à 2, la reprise des dévers et la surtension de la caténaire. Quant à la gare de la Mogère, le passage de six à huit voies est ménagé mais hypothétique : les appareils de voies qu’il exigerait n’ont pas été posés par anticipation. Il faut dire que cette gare en compte déjà… 26 sur les 52 du CNM. A la mise en service, elle ne recevra que deux TGV par sens et par jour. Son faisceau permettra surtout la régulation du fret.    

Michel Gabriel LEON
 

Ewa

Des visuels pour se repérer dans le métro toulousain

En 2017, les 37 stations des deux lignes de métro de Toulouse bénéficieront chacune d’un visuel spécifique destiné à améliorer leur identification par les personnes en situation de handicap cognitif ou mental, les passagers étrangers, analphabètes ou malvoyants, mais aussi les enfants. Un projet unique pour un réseau de transport urbain en France, avec un budget prévisionnel de 100 000 euros.

Ce projet est parti d’une étude de besoins réalisée en 2010 par Tisséo avec le soutien de l’Adapei (association départementale de parents et amis des personnes handicapées mentales). L’élaboration d’un cahier des charges de recherche et de conception de visuels avec des psychologues et des historiens en 2013 a débouché en 2014 et 2015 sur un partenariat avec des classes de BTS design graphique et du diplôme d'arts appliqués du lycée toulousain des Arènes intitulé « Dessine-moi une station ». Différents acteurs locaux ont aussi été réunis au sein d'un comité de suivi technique et d'un comité scientifique. C’est le projet « anecdote » de deux étudiantes en BTS, Lara Clerc et Jessica Paradis, qui a finalement été retenu. A chaque station est associé un symbole lié à une anecdote propre à son quartier, à son patrimoine remarquable, aux personnages célèbres qui ont marqué les lieux ou aux références occitanes : une péniche pour la station Canal du Midi, un avion pour la station Mermoz (en référence à l’aviateur pionnier de l’Aéropostale) ou un écureuil pour la station Esquirol (signification du mot en occitan)… L’ensemble des visuels devrait être mis en œuvre d’ici novembre 2017.    

Catherine Sanson-Stern

Ewa

Les habitants des grandes villes recourent davantage aux transports publics

La part des Français utilisant régulièrement les transports publics continue sa progression. Entre 2014 et 2015, elle est en hausse de deux points passant à 69 % contre 67 % en 2015 et 63 % en 2014, et concerne ceux qui habitent dans des agglomérations de 50 000 habitants et plus, nous apprend l’observatoire de la mobilité 2016, présenté le 17 novembre par l’Union des transports publics.
« La hausse de fréquentation concerne les réseaux de toutes tailles, souligne Marc Delayer, un des vice-présidents de l’UTP. Elle est liée au développement qualitatif de l’offre qui a augmenté de 60 % en 20 ans et à sa très forte progression qualitative. A titre d’exemples, 70 % des réseaux sont équipés en systèmes billettiques, la totalité propose des services numériques : site Web, applications… », précise-t-il.

Ewa

La SNCF va enregistrer les conversations téléphoniques de ses aiguilleurs

Des enregistreurs de conversations téléphoniques seront progressivement installés dans les postes d’aiguillage à partir de la fin de l’année, a indiqué SNCF Réseau, confirmant une information des Echos. Cette mesure répond à une recommandation du Bureau d’enquêtes sur les accidents de transport terrestre (BEA-TT).
L’objectif est en effet de disposer d’éléments factuels « afin de déterminer les causes et faciliter les retours d’expérience. Les enregistrements seront conservés pendant une durée de deux mois. Ce délai passera à un an si le poste d’aiguillage est impliqué dans un incident et à dix ans en cas d’accident grave », précise le quotidien économique.

 

Ewa

TER : Keolis prêt à participer à l’expérimentation de la concurrence

Les temps changent, les esprits aussi : Keolis est prêt à expérimenter la concurrence lorsque celle-ci s’ouvrira dans les TER. Alors que… class= »MsoNormal »>
 

pendant de nombreuses années, l’opérateur de transport public filiale de la SNCF a toujours affirmé avec force qu’il était hors de question qu’il s’intéresse aux TER exploités par la SNCF, Guillaume Pepy se serait « décrispé » sur la question, selon plusieurs acteurs ferroviaires.

Interrogé par VRT, le président de la SNCF confirme, expliquant « qu’on ne peut répondre à des appels d’offre si on ne propose pas du neuf ».

Selon lui, « nous pourrons répondre à des appels d’offres à 2, à 3, voire à 4, pourquoi pas avec d’autres partenaires ». Il faut s’appuyer, explique-t-il sur les compétences de Keolis qui « sait répondre à des appels d’offre et sait réinventer des plans de transports ». Mais, ajoute-t-il, « il est hors de question que Keolis réponde contre la SNCF ».

De son côté, Jean-Pierre Farandou explique aussi « ne pas s’interdire, le moment venu, de participer à l’expérimentation ». Plus vague, il indique qu’il « faudra voir comment s’organise la relation avec la SNCF ». Il reconnaît que la position de la maison-mère « est plus ouverte sur le sujet ; la réflexion a mûri». Selon lui, l’exemple du T11 (cette ligne francilienne de tramway, monopole de fait de la SNCF, va être confiée à Keolis) ne sera pas forcément suivie. Si on sait que l’exploitation sera moins chère (d’où l’approbation de cette « sous-traitance » par le Stif), on ne connaît pas exactement le montant de l’économie permise.

MHP

Ewa

Le péage urbain inversé sera testé en Ile-de-France

Les travaux du Grand Paris Express vont permettre de tester un type de péage déjà mis en place à Rotterdam par Egis, via sa filiale BNV Mobility. Nicolas Jachiet, le PDG d’Egis l’a annoncé ce matin lors du Forum des Villes Intelligentes organisé par la Caisse des dépôts à Paris.

Ce péage, dit inversé, incite les automobilistes à utiliser la route aux heures creuses. Au lieu de payer l’usage de l’infrastructure, les automobilistes se voient alors récompensés. Aux Pays-Bas, chaque automobiliste qui accepte de ne plus prendre sa voiture aux heures de pointe perçoit une récompense de deux euros, voire davantage, en cas de pics de pollution.
Le test francilien se fera « dans un quartier très fréquenté », non précisé, sur la ligne 15 Sud. L’idée, baptisée « chasseur de bouchon » pour l’occasion, a été émise dans le cadre de l’appel à projets lancé par la Société du Grand Paris pour accompagner les travaux du futur métro.

Lors de ce même forum des Villes Intelligentes, Thierry Mallet, PDG de Transdev et Olivier Wigniolle, DG d'Icade, ont annoncé le lancement très prochain de la première navette autonome francilienne, à Rungis. Transdev prévoit quatre autres expériences en France de véhicules autonomes. Parmi ces quatre, Besançon. Son maire, Jean-Louis Fousseret, a annoncé une expérimentation dans la citadelle de Vauban. Toulouse aussi, toujours avec Transdev, a précisé Bertrand Serp, chargé de l'Economie numérique, va s'en remettre à Easymile pour une navette autonome, en partenariat avec Continental.
Cécile Nangeroni