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Manuel Dal Molin, nouveau directeur général de Lémanis SA

Manuel Dal Molin LemanisSA

Manuel Dal Molin, ancien responsable finances et gestion de l’offre, prend la direction générale de la société Lémanis SA, filiale commune des CFF et de SNCF Voyageurs au service du Léman Express (LEX). Il succède à Mathieu Fleury qui occupe désormais le poste de directeur de la Chambre de Commerce et d’Industrie Franco-Suisse.

Au cours de sa carrière, ce géographe de formation de 44 ans a travaillé aux Conseils régionaux de Bourgogne puis de Franche-Comté, travaillant sur les questions liées aux TER, avant de rejoindre en 2010 les CFF.

 

 

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Succès des Pass transfrontaliers pour les jeunes dans le Grand Est

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La région Grand Est a annoncé le 18 septembre, les résultats de ventes du Pass Jeune Grand Est/Grenzenlos. Au total, la région en a vendu 28 879 exemplaires, soit une hausse de 39 % par rapport à 2024.

Lancé à l’été 2024, le Pass Jeune Grand Est/Grenzenlos permet aux jeunes Français et Allemands de moins de 28 ans de voyager de façon illimitée sur l’ensemble de leurs réseaux : dans les TER Grand Est (trains et autocars Fluo) ainsi que dans les trains régionaux des Länder du Bade-Wurtemberg, de Rhénanie-Palatinat et de la Sarre. Le coût du Pass est de 29 euros par mois en juillet et août. 20 700 passes avaient été vendus en 2024. L’initiative sera renouvelée à l’été 2026.

 

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La ligne 18 s’équipe d’un réseau mobile conçu par TDF

Des antennes, comme ici à la gare d’Université Paris-Saclay (à gauche contre le mur), seront installées par TDF pour offrir une couverture de téléphonie mobile. © Yann Goubin
Sur la future ligne 18 du Grand Paris Express, dont la première section, entre les gares de Massy-Palaiseau et Christ de Saclay, doit ouvrir au public fin 2026, l’opérateur d’infrastructures TDF s’affaire pour installer le réseau 4G/5G. Celui-ci doit être capable d’offrir une couverture mobile fiable aux usagers, estimés à 110 000 voyageurs à l’ouverture complète de la ligne.
Pour s’adapter au tracé de la ligne 18, tantôt souterrain (21 km) tantôt aérien (14 km), TDF a donc développé un système, dit indoor, qui s’appuie sur 380 antennes dans les gares et la ligne, et 100 zones de répéteurs dans les tunnels pour amplifier la portée des signaux des opérateurs de téléphonie mobile. Le choix d’un réseau indoor s’explique à la fois, par la demande grandissante de données de la part des utilisateurs, mais aussi par les caractéristiques architecturales (souterrain, béton) des gares et de la ligne 18.
La solution technique de TDF vise aussi à gagner en ressources de fonctionnement et en capacité énergétique. En faisant appel à des antennes DAS (Distributed Antenna System), et à des sites techniques mutualisés appelés BTS hôtels (Base Transceiver Station Hotel), elle permet de centraliser les équipements télécoms des opérateurs (baies techniques, fibre, DAS) en quelques points de la ligne. Les BTS hôtels de la 18 ont été installés à Massy et Guyancourt.
TDF possède déjà une grande expérience dans l’installation de réseau mobile indoor mutualisé dans les transports en commun. En 2018, l’entreprise avait équipé les 15 stations de la ligne A du métro de Rennes d’un réseau 3G et 4G. Plus récemment, TDF a doté, en décembre 2023, le tramway de Rouen d’un réseau 4G et 5G. Une cinquantaine d’antennes ont été installées dans les stations souterraines (Beauvoisine, Gare Rue Verte, Palais de Justice et Théâtre des arts) et dans les tunnels qui les relient.

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Les gares des Hauts-de-France de plus en plus fréquentées

TER en gare d’Amiens (2024) Hauts-de-France
Les gares des Hauts-de-France connaissent une belle affluence : elles ont été empruntées en 2024 par 127 millions de voyageurs, soit une hausse de 7 % par rapport à 2023 (+ 8,5 millions de voyageurs supplémentaires) et de + 15 % depuis 2019; a indiqué le 16 septembre la région. La hausse est un peu moins forte dans les neufs plus grandes gares de la région (plus de 250 000 voyageurs par an) que dans celles qui voient passer moins d’usagers.
Les raisons de cette hausse sont à chercher, selon la collectivité, du côté de l’amélioration de la qualité de la production (offre, régularité), l’accessibilité dont bénéficient tous les usagers ou encore les services en gare comme les boutiques dont les redevances participent au budget de fonctionnement des gares.
La Région a également dressé le portrait des usagers des TER, suite à une enquête menée fin 2023, auprès de 3200 clients. Ce sont à 57 % des femmes, âgées en moyenne de 33 ans. Les voyageurs sont surtout des citadins (75 % urbains contre 70 % des usagers TER au niveau national). Peu sont périurbains (16 %), et encore moins ruraux (9 %). Plus de la moitié des usagers TER Hauts-de-France (58 %) disposent d’un véhicule motorisé (64 % au niveau national) et un peu moins de la moitié (42 %) n’ont ni voiture ni permis. Ce sont principalement des cadres (PCS à 41 %), et des étudiants et scolaires (33 %). L’usager consacre en moyenne 1 h 35 à ses déplacements, dont 41 minutes de trajet pur, 15 pour se rendre à la gare, 10 en gare et 20 pour rejoindre sa destination finale.
Changement à venir l’an prochain :les tarif des titres TER vont augmenter. Christophe Coulon, vice-président régional chargé des mobilités des infrastructures de transport et des ports, l’a annoncé en marge de la présentation de l’enquête sur la fréquentation des gares. « Nous n’avons pas le chiffre exact, mais la hausse sera au moins égale à l’inflation », a-t-il indiqué. « Les dotations de l’État sont en baisse, et la Région ne peut faire face seule aux dépenses ». Et la région ne veut pas augmenter le versement mobilité payé par les entreprises (plus de 10 salariés).

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Transdev reconduit pour exploiter le réseau de transport de Rouen

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La Métropole Rouen Normandie a reconduit la concession de Transdev pendant neuf ans pour l’exploitation de son réseau de transport Astuce. Le contrat prévoit notamment le renforcement du réseau (métro, TEOR, bus), le doublement du parc de vélos en location longue durée (Lovélo), ou encore la création du service Astuce PRO pour répondre aux besoins des zones d’emploi et des entreprises,
C’est, selon l’opérateur de transport allemand, le plus important contrat jamais conclu par la Métropole Rouen Normandie sur le plan financier : 1,210 milliard d’euros cumulés. « S’ajoutent des investissements conséquents (208 millions d’euros sur 9 ans) pris en charge par la Métropole, dont 160 millions d’euros concernent le matériel roulant (renouvellement et décarbonation des bus, rétrofit, véhicules techniques, maintien du patrimoine tramway avec opérations à mi-vie, 5000 vélos à horizon 2032)« , précise encore un communiqué de Transdev.

L’objectif du contrat, qui démarre dès cette année, est d’aboutir à une hausse de 24 % de la fréquentation d’ici à 2034.

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Grèves : la grande crainte des sabotages

SNCF Réseau agents réparation

Les circulations seront très perturbées demain sur le réseau de la RATP, suite à l’appel à la grève des principales organisations syndicales. La situation sera plus contrastée côté SNCF avec, en moyenne, 90 % des services TGV grâce notamment à l’organisation de la SNCF qui devient de plus en plus robuste avec l’appel à des conducteurs réservistes si besoin.

Les prévisions tablent aussi sur un Intercité sur deux en moyenne, trois TER sur cinq, mais la situation sera très variable d’une région à l’autre. Enfin en Ile-de-France, les circulations seront très impactées en particulier sur les lignes H, N, R ou U ainsi que sur toutes les lignes de RER.

Multiplication des actes de malveillance

D’autres raisons pourraient perturber le trafic ferroviaire vu la multiplication d’actes de malveillance ces derniers temps sur les voies ferrées. Il est ainsi de moins en moins rare que, pour protester contre des décisions politiques, des manifestants envahissent des gares, incendient des pneus ou jettent des palettes sur les voies.

Alors que le sujet était plutôt mis sous la table lorsque des équipements SNCF étaient sabotés lors de conflits avec des cheminots, le ministre des Transports a clairement pointé du doigt les actes de malveillance qui ont eu lieu le 10 septembre, jour de l’opération « Bloquons tout ».  Philippe Tabarot avait alors évoqué un incendie volontaire entre Toulouse et Auch, un envahissement des voies dans la gare de Valence-Ville sur la ligne classique, des objets volontairement abandonnés en gare, ou encore un sabotage sur un poste d’aiguillage à Aiguillon (47) dans la nuit du 9 au 10 septembre avec de forts impacts sur les plans de transport. Sans parler des vols de câbles, de plus en plus fréquents avec la hausse du prix du cuivre, mais qui relèvent le plus souvent de délinquance pure.

L’Allemagne également concernée

Des actes similaires sont donc de nouveau redoutés, d’autant qu’avant même la mobilisation du 18 septembre, quatre incendies (d’origine très probablement volontaire selon le parquet de Bordeaux), sont survenues le week-end dernier près des voies ferrées entravant très fortement le trafic entre Bordeaux et Toulouse.

La France n’est pas le seul pays concerné par des dégradations sur ses infrastructures. Le réseau ferré allemand a subi cet été plusieurs incendies a priori volontaires. Dernier en date, le 15 septembre un boîtier de commande et de sécurité a été incendié sur une ligne à l’est de Hanovre, affectant plus de 250 trains et des dizaines de milliers de passagers.

Haute surveillance

Tout cela montre la vulnérabilité des réseaux ferroviaires qui s’étendent sur des milliers de km (près de 30 000 km en France). On se souvient aussi de « l’attaque » du réseau LGV avec des incendies de postes de signalisation le jour de l’ouverture des JO Paris 2024 le 26 juillet.

Le réseau ferroviaire est donc placé sous haute surveillance avant la grève de demain. SNCF Réseau affirme avoir identifié des points névralgiques sur le territoire et le surveille avec des tournées d’équipes et des drones, en faisant notamment appel à sa filiale Altametris. Les forces de l’ordre sont également en alerte. Le ministère de l’Intérieur, en lien avec celui des Transports, prévoit un déploiement massif de forces de l’ordre à l’image de ce qui a été mis en place le 10 septembre.

Fabrice Charrière, secrétaire général de l’Unsa-Ferroviaire, s’inquiète de la baisse des effectifs chargés de la sûreté avec notamment l’arrivée de la concurrence. « Sur la ligne Nancy-Contrexéville par exemple, la SNCF évaluait le coût de la sûreté à 48 millions d’euros quand Transdev l’estimait à 8 millions. C’est insuffisant même avec le renfort de prestataires privés« , souligne-t-il.

Selon Thomas Cavel, le secrétaire général de la CFDT Cheminots, « la multiplication des actes de malveillance montre que le réseau ferroviaire représente un enjeu public ». Et il ajoute : « Nous, organisations syndicales, ne touchons jamais à l’outil de production. Si d’autres s’y attaquent, il faut prévoir des investissements non seulement pour son développement mais aussi pour sa protection ».

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Deux anciens sites ferroviaires de la Petite Ceinture appelés à devenir provisoirement des lieux d’animation

Voûtes Vaugirard XVe © SNCF Immobilier
SNCF Immobilier a annoncé le 12 septembre, lancer, en lien avec la Ville de Paris, un appel à projets pour mettre à disposition deux sites parisiens de la Petite Ceinture, propriétés de SNCF Réseau : la gare de Vincennes, dans le XXe arrondissement de Paris (comprenant un bâtiment voyageurs de 380 m2 et un terrain extérieur de 372 m2), et les Voûtes Vaugirard, dans le XVe (11 voûtes, 180 m de long sur 4 de large, et 7 m de hauteur).
Ancienne gare de Vincennes sur la Petite Ceinture © SNCF Immobilier
Ancienne gare de Vincennes sur la Petite Ceinture.
© SNCF Immobilier

L’objectif est de transformer ces sites en lieux animés et  d’échanges entre habitants et usagers du quartier. Les aménagements proposés devront être gratuits, hybrides dans leurs usages et intergénérationnels, expliquent les promoteurs de l’appel à projets.

Les conventions d’occupations qui seront signées à l’issue de la procédure de sélection, d’une durée de 20 ans, sont plus longues que celles des précédents projets d’urbanisme transitoire de SNCF Immobilier, afin de permettre «aux candidats de réaliser des investissements adaptés aux caractéristiques des sites et de révéler pleinement le potentiel de ces derniers via une programmation ambitieuse s’inscrivant dans le temps », précise SNCF Immobilier.
Les dossiers de candidatures devront être déposés avant le 5 décembre à 17h sur la plateforme internet : https://www.epublimmo.sncf. Des visites auront lieu le 3 octobre à 10 h (gare de Vincennes) et 15 h (Voûtes de Vaugirard).
Renseignements : https://www.epublimmo.sncf/

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Keolis renforce sa présence au Danemark

Keolis Danemark Bus electriques

Keolis a annoncé le 15 septembre avoir remporté un contrat auprès de l’autorité de transport public Movia pour exploiter un réseau de bus couvrant six villes dans la région centrale de Seeland, au Danemark (Slagelse, Ringsted, Skælskør, Næstved, Køge et Roskilde). 

Le contrat, qui débutera le 27 juin 2027 s’étend sur six ans, avec une possible extension jusqu’à 14 ans, sous réserve d’atteinte des objectifs de performance. Le chiffre d’affaires cumulé sur l’ensemble de la période pourrait dépasser 150 millions d’euros, indique l’opérateur français qui est présent au Danemark depuis 2000 et exploite plus de 400 bus dans huit villes danoises, dont Copenhague et Odense.

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Trenitalia intensifie la concurrence sur la ligne Paris-Lyon

Trenitalia

Près de quatre ans après son arrivée sur le marché français, Trenitalia intensifie la concurrence sur l’un des axes les plus rentables : Paris-Lyon. Après avoir fait passer, en juin, son offre à neuf allers-retours quotidiens, la compagnie italienne prévoit de proposer 14 allers-retours quotidiens sur la ligne Paris-Lyon à partir du 15 décembre. « Ainsi, plus d’un tiers de l’offre sera assurée par Trenitalia entre les deux métropoles, illustrant le virage pris par la compagnie vers une présence forte et durable sur cet axe stratégique« , souligne le transporteur dans un communiqué. Les ventes de la saison hivernales seront ouvertes à partir du 15 décembre, précise-t-il également.

La compagnie vend aussi depuis le 15 juin quatre allers-retours quotidiens entre Paris et Marseille.