RATP Dev a annoncé le 8 juillet que Angers Loire Métropole a renouvelé son contrat d’exploitation du réseau de transport urbain Irigo. La filiale de la RATP, qui s’était implantée en 2019 dans la capitale de l’Anjou, obtient un nouveau contrat de six ans, qui prendra effet le 1er janvier prochain.
Le réseau Irigo, exploité par RD Angers, elle-même filiale de RATP Dev, dessert 310 000 habitants répartis sur 29 communes et transporte près de 43 millions de voyageurs chaque année. La fréquentation a progressé de 26 % et le nombre d’abonnés a augmenté de 18 % depuis 2022.
Le nouveau contrat prévoit notamment de renforcer les fréquences des lignes express d’ici 2030, avec un passage toutes les 30 minutes tout au long de la journée. Le transport à la demande (TAD) connaîtra également un développement significatif avec comme objectif de doubler le nombre de voyages d’ici 2031, indique RATP Dev dans un communiqué.
Keolis a annoncé le 7 juillet avoir signé un accord avec son partenaire australien Downer pour lui racheter la totalité de ses parts (49 %) au sein de leur coentreprise Keolis Downer. L’opérateur français va donc détenir 100 % des parts, une fois que la transaction sera finalisée, d’ici à la fin de l’année.
Le montant n’a pas été dévoilé mais il atteindrait plus de 73 millions d’euros selon la Bourse de Sydney, rapporte le journal La Tribune.
Cette décision doit permettre à Keolis de mieux se positionner pour continuer à se développer en Australie où il est présent depuis une quinzaine d’années et exploite des bus, tramways, métros automatiques et des trains. Le groupe veut notamment avoir les mains libres pour « former un consortium solide pour répondre à l’appel d’offres à venir sur les trains de Melbourne« .
Alstom a annoncé le 7 juillet, avoir reçu une très importante commande de voitures de banlieue de la part de l’autorité des transports métropolitains (MTA) de New York ; elle porte sur 316 voitures M-9A, dont 160 pour la ligne LIRR (Long Island Rail Road) et 156 pour la Metro-North Railroad. Le montant s’élève à 2 milliards d’euros (2,3 milliards de dollars).
Le contrat prévoit une option allant jusqu’à 242 voitures supplémentaires d’une valeur pouvant atteindre jusqu’à 1,3 milliard d’euros (1,5 milliard de dollars)
Les M-9A sont destinés à remplacer les M-3 vieillissants (40 ans). Deux portes extra-larges de chaque côté de la voiture permettront la montée et la descente rapide des passagers.
Les caisses seront assemblées à Hornell, dans le Southern Tier (Etat de New York), dans une usine récemment inaugurée, et construite expressément pour maintenir cette activité aux États-Unis. Les bogies seront assemblés à l’usine d’Alstom de Plattsburgh, dans la région d’Adirondack. La chaîne de traction sera fabriquée à West Mifflin, en Pennsylvanie. Le contrat devrait créer près de 300 emplois sur les deux sites de production d’Alstom dans le nord de l’État de New York
Les premières unités devraient être livrées en 2029, avec un déploiement complet de la flotte prévu d’ici 2032.
Le changement d’actionnaire majoritaire est désormais effectif chez Transdev. L’opérateur de transport public a en effet annoncé le 2 juillet la « finalisation » de son rachat par le groupe familial allemand Rethmann.
Lancée il y a quelques mois, l’opération s’est achevée avec la consultation des instances représentatives du personnel et l’obtention des autorisations des autorités compétentes, Le groupe Rethmann a ainsi pu porter sa participation à 66%, après le rachat de 32 % des parts de la Caisse des Dépôts, qui ne détient plus désormais que 34% du capital. Ce qui aboutit aussi à la privatisation de Transdev et à son passage sous pavillon allemand.
Actionnaire minoritaire depuis 2019
La montée en puissance de Rethmann s’inscrit dans la lignée des choix engagés depuis plusieurs années : Rethmann est un actionnaire minoritaire de Transdev depuis 2019. Il y était entré après le rachat de la part de capital de Veolia qui voulait alors se désengager totalement de l’activité transport et mettre un terme à l’échec de sa fusion avec Transdev.
Au moment de son choix, la Caisse des Dépôts avait expliqué avoir sélectionné Rethmann par la nécessité de soutenir le développement stratégique du Français sur son marché domestique mais aussi à l’international, qui représente désormais les deux tiers du chiffre d’affaires. Elle avait également insisté sur la « stabilité managériale » qui en découlera, l’équipe en charge du groupe restant aux commandes et le siège social étant maintenu en France.
Après Lyon-Part Dieu et Lille, c’est au tour de Nantes de disposer d’un son « véloparc » doté de 1216 places de stationnement. Mis en service en mai et inauguré fin juin, il trouve sa place dans le projet de transformation de la gare de Nantes qui devient un véritable pôle d’échange multimodal mis progressivement en service cette année. Le véloparc Gare sud parvis se déploie sur deux niveaux et est accessible à tous types de vélos avec un abonnement.
Nantes Métropole a consacré 18,7 millions d’euros à ce pôle multimodal qui comprend, en plus d’un parc pour les vélos, une cour pour les taxis, un parking pour les loueurs et la gare routière.
L’intercommunalité Cœur de Flandre, qui couvre 50 communes dans le département du Nord, a lancé le 30 juin un réseau de transport public entièrement gratuit baptisé Hop Bus. Avec l’ambition, expliquent les élus dans un communiqué, de « gommer les zones blanches du territoire, c’est-à-dire des zones non-couvertes par une offre de mobilité ». Ainsi, poursuivent-ils, « l’ensemble des 50 communes composant l’intercommunalité seront couvertes par une offre de transport public, TER, bus Arc-en-ciel ou réseau Hop Bus ». Avec plus de 250 départs par jour dès 2025 contre 134 aujourd’hui pour l’offre bus commerciale (hors scolaire), les fréquences augmentent ainsi de plus de 87%.
Le réseau Hop Bus est confié au groupement d’entreprises locales Inglard-Mazereeuw-Liefooghe pour un coût de plus de 2,5 millions d’euros annuels. Pour lancer le service, Cœur de Flandre Agglo a également acheté six minibus électriques, installé des bornes de recharge et créé des quais et des poteaux d’arrêts pour les bus.
Incroyable! Selon nos informations, Alstom a décidé de jeter l’éponge et de renoncer à équiper la ligne de RER Eole d’un système de supervision automatique des trains (ATS). Plusieurs hauts dirigeants de SNCF Réseau nous ont confirmé le désengagement d’Alstom. Frédéric Wiscart, le président d’Alstom France que nous avons interrogé, a de son côté évoqué une « suspension » du contrat. Une autre source interne affirme également que « SNCF Réseau a aussi fait évoluer son besoin par rapport au cahier des charges initial« .
Des négociations « confidentielles », pour reprendre leurs termes, sont en cours entre les deux cocontractants pour évaluer le préjudice subi par SNCF Réseau du fait de ce dédit d’Alstom.
Retards pour l’extension d’Eole…
La raison de ce désengagement viendrait, selon plusieurs sources, du retard pris par Alstom pour rendre mâture la technologie et pour en équiper l’ouest de la ligne à Mantes-la-Jolie.
C’est ce qui a conduit SNCF Réseau à indiquer le 29 novembre dernier que l’extension de la ligne Eole (ou RER E) jusqu’à Mantes-la-Jolie dans l’ouest francilien, ne serait pas prête comme attendu fin 2026. Il faudrait attendre la fin 2029 pour un lancement complet, avait alors précisé le gestionnaire des infrastructures, maître d’ouvrage du projet. L’annonce avait provoqué la colère de Valérie Pécresse, la présidente d’Ile-de-France Mobilités, à la perspective de ces nouveaux retards.
A l’époque, SNCF Réseau avait pudiquement expliqué que « le nouveau système de digitalisation de la signalisation rencontre des problèmes ». Et ajouté que « son développement et son déploiement sur le secteur de Mantes, très exigeant du fait de la densité du trafic local, ne sont pas suffisamment avancés à ce stade « .
…et pour NExTEO
Selon plusieurs de ses hauts dirigeants, SNCF Réseau pourra pallier ce retrait en équipant l’ouest de la ligne uniquement avec son système de commande/contrôle centralisé de gestion de la circulation ferroviaire dénommé Mistral NG, nouvelle génération qu’il lui faudra tout de même adapter.
D’après le gestionnaire d’infrastructure, seul le tronçon central de la ligne E du RER et le reste de la ligne côté Est doivent absolument être équipés du système ATS+ afin de permettre le passage plus fréquent de trains. Sur cette partie, c’est Siemens Mobility qui a été retenu pour installer ATS+. Ce dispositif doit aussi être en place pour pouvoir ensuite installer le système d’exploitation NExTEO, qui permettra de réduire l’espacement entre les trains.
La volte-face d’Alstom représente donc un nouveau coup dur pour Eole qui cumule retards, problèmes techniques et surcoûts. Rappelons qu’en mars, la SNCF avait demandé à Alstom de suspendre ses livraisons de RER NG afin que le constructeur règle les trop nombreux problèmes techniques affectant ses rames, livraisons finalement reprises fin mai. Quant au coût d’Eole, il atteint désormais 5,4 milliards d’euros alors qu’il était initialement estimé à 3,7 milliards. .
SNCF Réseau est de ce fait en train de recaler les plannings. Selon nos informations, le gestionnaire des infrastructures devrait annoncer en septembre un nouveau calendrier plus précis et essaye de tout faire pour pouvoir annoncer une mise en service avant 2029.
SNCF Réseau, RATP Infrastructures, la Fédération des Industries Ferroviaires, le SETVF et Syntec-Ingénierie ont annoncé le 24 juin, lors du Salon Sifer, le lancement de l’Alliance de l’industrie et de l’ingénierie des réseaux ferroviaires. Objectif, « renforcer la coopération et la performance collective pour faire avancer toujours plus loin les réseaux ferroviaires en France« , écrivent les partenaires dans un communiqué.
Il est par exemple prévu qu’un groupe de travail« Transition écologique » planche cette année sur un guide sur l’éco- conception des projets ferroviaires, ainsi que sur la généralisation des standards de réduction des consommations d’eau sur les bases logistiques de chantiers, qu’un autre groupe de travail « Attractivité » soutienne la création d’une formation BUT « signalisation ferroviaire » ou qu’un autre encore, baptisé « Sécurité » participe à la définition de standards de sécurité communs.
L’Alliance sera dirigée par un conseil d’administration composé de dix membres, avec une présidence tournante tous les deux ans, avec pour premier président Kian Gavtache, directeur général adjoint Ingénierie et industriel chez SNCF Réseau.
Proxima, le nom de code du projet de compagnie ferroviaire que veut lancer l’ancienne patronne de SNCF Voyageurs, c’est fini! Place à Velvet, le nouveau nom de la compagnie privée 100 % française dévoilé le 1er juillet par Rachel Picard au côté de son associé, Tim Jackson, ancien directeur exécutif d’Alpha Trains et ex-PDG de la BU RATP Dev en Grande-Bretagne et en Irlande.
La motice du train à grande vitesse de la compagnie Velvet sur le site d’Alstom à Belfort. @MhP
Le projet avance vite. Les deux associés ont aussi présenté, au siège d’Alstom à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), la première rame de la compagnie. La motrice est déjà en place sur le site de Belfort où Alstom a commencé la production. « Nous en sommes maintenant à la production des caisses (les chaudrons dans le jargon ferroviaire). Il y aura la mise en peinture cet été« , a précisé Frédéric Wiscart, le président d’Alstom France.
D’abord Paris-Bordeaux
Le premier train commencera les essais l’an prochain. Il arborera une couleur vert foncé avec des touches de blanc, ceinturé d’un ruban rose tout au long des voitures. L’idée, c’est d’être visible et reconnaissable au premier coup d’oeil dans les gares, a expliqué Rachel Picard.
12 trains Avelia Horizon, la nouvelle génération de TGV d’Alstom (similaires au TGV M commandés par la SNCF) ont été commandées. La livraison commencera en 2028, au rythme d’une livraison par mois.
La compagnie prévoit en effet de se lancer en 2028, d’abord sur la liaison Paris-Bordeaux, une fois qu’elle aura réceptionné quatre rames. Elle ajoutera par la suite deux autres lignes à son catalogue, Nantes-Angers-Paris et Rennes-Paris. « Nous offrirons dix millions de places sur les trois lignes« , souligne Rachel Picard. En insistant sur le fait que Velvet contribuera à hauteur de 200 millions d’euros à l’entretien du réseau via les péages qu’elle versera.
Maintenance avec Alstom chez Lisea
L’entreprise a également noué un contrat de maintenance pendant 15 ans avec Alstom. L’entretien s’effectuera dans le futur centre de maintenance de Marcheprime, près de Bordeaux, que Lisea (groupe Vinci), le concessionnaire privé de la ligne Tours-Bordeaux, est en train de construire.
15 % de voyageurs restent à quai
L’histoire de Velvet s’écrit donc rapidement puisqu’elle a commencé il y a trois ans lors d’une rencontre entre les deux fondateurs, raconte Rachel Picard. « Nous avons partagé des constats communs : la demande en transport carboné n’a jamais été aussi forte. Mais l’offre ferroviaire à grande vitesse est insuffisante. Il y a une crise historique de capacité en France« , raconte la dirigeante, en estimant que 15 % de personnes qui voudraient voyager restent aujourd’hui à quai par manque de places dans les trains. Ils seront même 25 % dans ce cas en 2030, ajoute-t-elle.
Les deux associés lèvent en juin 2024 un milliard d’euros pour lancer leur projet auprès de Antin Infrastructure Partners et d’un pool de banques françaises. Puis ils lancent un appel d’offres européen et retiennent finalement Alstom et ses trains à double niveau Avelia Horizon pouvant rouler à plus de 300 km/h. « Notre choix s’explique par deux raisons : il pourra y avoir un excellent service à bord et ce train est efficace économiquement et écologiquement« , commente Tim Jackson. Une rame peut en effet emporter 20 % de passagers en plus comparé à la génération précédente et consomme 20 % d’énergie en moins. Elle est également recyclable à 95 %, affirme Alstom. Enfin, ses coûts de maintenance devraient également être abaissés 30 % de coûts.
Pour la suite, Velvet parie sur la simplicité pour sa distribution, qui passera notamment par des partenariats. « Nous sommes partis d’une page blanche. Nous avons étudié les habitudes, les irritants, nous nous sommes nourris des expériences d’ailleurs, y compris dans l’aérien, l’hôtellerie, le digital… « , raconte Rachel Picard avant de formuler ses trois conclusions : « il faut donner un vrai choix avec de la nouveauté, le plaisir du voyage et de la simplicité tant pour l’accès que pour la tarification« .
Une flotte complète en 2029
Les rames devraient arriver chez VelVet au rythme d’une par mois à partir de 2028. « La flotte sera complète en 2029« , affirment ses fondateurs. Pour y arriver alors que les retards s’accumulent pour le constructeur, Alstom a décidé d’investir plus de 150 millions d’euros afin d’augmenter la capacité de production de ses sites en France. La SNCF attend en effet aussi depuis 2023 les premières des 115 rames du TGV M nouvelle génération qu’elle a commandées et qui sont désormais espérées pour le début 2026. Le Maroc a confirmé récemment une commande de 18 rames au constructeur français.
Il est ainsi prévu que trois lignes de production pour les TGV fonctionnent à terme contre seulement une aujourd’hui. Ce qui doit permettre de produire 30 rames par an contre dix actuellement.
V comme velours et vitesse
Le nom de la compagnie a été validé après des tests menés durant un an auprès de voyageurs potentiels dans les villes qui seront desservies par la compagnie. « Il y a la lettre V comme vitesse, comme velours (velvet en anglais, ndlr). C’est un mot court, un mélange de technologie et de douceur« , a résumé Rachel Picard, en professionnelle du marketing.
Les incidents qui touchent le réseau ferroviaire ne font pas de distinction : Transdev en a fait l’amère expérience le 29 juin, date du lancement de ses premiers trains sur la ligne Marseille-Nice. Un véhicule qui s’est retrouvé sur la voie ferrée vers Juan-les-Pins a perturbé la circulation des trains, dont ceux de l’opérateur privé qui a subi des retards dès l’après-midi. L’inauguration a eu lieu le lendemain.
Reste que la concurrence devient un peu plus tangible pour le grand public et que le symbole est fort : c’est la première ligne de TER exploitée par une compagnie autre que la SNCF après appel d’offres. Transdev, qui est depuis passé sous pavillon allemand, en avait remporté la concession il y a quatre ans.
Une commande de 16 trains
Pour l’occasion, la région a commandé des nouveaux trains à Alstom. La première rame Omneo Premium a été officiellement réceptionnée en mai dernier. Transdev va recevoir progressivement les 16 nouvelles rames Omneo Premium achetées pour 250 millions d’euros. Elles remplaceront d’anciens trains Corail âgés de près de 45 ans. Mais du fait du retard pris par Alstom dans ses livraisons, Transdev a été obligé de louer des rames à trois régions pour pouvoir lancer le service.
La filiale de Transdev, Rail Sud Inter-Métropoles (RSI), qui exploite le nouveau service ferroviaire, emploie 215 salariés dont 44 conducteurs et 77 contrôleurs. Sur l’ensemble des salariés, seuls 31 viennent de la SNCF après s’être portés volontaires (dont sept conducteurs) dans le cadre d’un transfert entre les deux entreprises. L’entreprise parie sur une organisation très décentralisée et sur la flexibilité des métiers pour tenir ses engagements et notamment un taux de régularité de 97,5 %.
Un centre de maintenance flambant neuf
La nouvelle compagnie ferroviaire va également bénéficier d’un centre de maintenance flambant neuf à Nice, construit par NGE, partenaire de Transdev, et qui a été inauguré le 19 juin. Tout cela doit permettre d’augmenter la fiabilité et l’offre de transport à coûts constants, avec une quinzaine d’allers-retours quotidiens. Soit un doublement des circulations par rapport à la situation qui prévalait jusqu’alors, sur une ligne qui représente un peu moins de 10 % du réseau ferroviaire régional.
Le contrat passé avec la région Sud représente 800 millions d’euros sur dix ans. De son côté, la SNCF a remporté la desserte d’un autre axe après appel d’offres, l’Etoile de Nice (23 % du réseau régional), dont l’exploitation a commencé en décembre dernier par une de ses sociétés dédiées, SNCF Voyageurs Sud Azur et qui prévoit une hausse de 75 % de l’offre de TER.
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