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Ewa

La Centrale d’achat du transport public élargit son offre de logiciels de gestion

Journées Agir à Montpellier
Les Journées AGIR se tiennent depuis hier et jusqu’au 20 juin à Montpellier. L’association créée par des élus locaux pour apporter son expertise aux collectivités et aux opérateurs indépendants propose notamment un cycle de conférences autour du thème du transfert modal. L’occasion aussi pour la Centrale d’achat du transport public (CATP) de présenter ses prestations.
Dans un récent communiqué, la CATP explique avoir « étoffé de manière significative son offre de logiciels et systèmes ». Parmi les nouveautés : des logiciels de gestion du transport à la demande et de personnes à mobilité réduite, du covoiturage dynamique, des données d’offre de transport, des réseaux et des infrastructures, du transport scolaire, d’analyse des données d’usage des transports publics, la conception de l’offre de transport.

« Pour les logiciels référencés, le process de sélection de la CATP, permet de vérifier les fonctionnalités, l’expérience utilisateur, l’évolutivité, la conformité réglementaire et notamment celle relative au RGPD, l’adaptation du prix au profil de l’acheteur, les conditions tarifaires, etc.« , indique le communiqué d’AGIR transport.

Ewa

Pose de la première pierre du nouveau technicentre de Villeneuve

Futur Technicentre de Villeneuve Saint-Georges – ©Villeneuve-Demain-SNCF-Voyageurs

Le projet « Villeneuve Demain » est entré dans une nouvelle phase avec la pose, le 18 juin, de la première pierre du nouveau technicentre de Villeneuve-Saint-Georges (dans le Val-de-Marne), en présence notamment de Valérie Pécresse, présidente d’Ile-de-France Mobilités et de la région, Jean-Pierre Farandou, PDG du groupe SNCF, Matthieu Chabanel, PDG de SNCF Réseau ou Christophe Fanichet, PDG de SNCF Voyageurs.

C’est, indique la SNCF, le plus gros chantier mené en Île-de-France par SNCF Voyageurs pour le compte d’Île-de-France Mobilités pour un investissement de 685 millions d’euros (dont 590 millions d’euros financés par Île-de-France Mobilités et 95 millions d’euros par la Région Île-de-France et l’Etat).

Le projet, explique le groupe, « doit faciliter l’entretien et la maintenance des trains Régio 2N déjà en circulation sur la ligne R et le RER D, tout en permettant l’accueil des nouveaux RER NG de la ligne RER D, permettant ainsi d’optimiser leur fiabilité et leur régularité au bénéfice des 700 000 voyageurs quotidien de ces deux lignes« .

Ces trains à deux niveaux nécessitent des infrastructures de maintenance redimensionnées pour améliorer les accès aux différentes pièces et faciliter leur maintenance, précise encore l’entreprise. D’où la création de ce nouveau complexe industriel dédié à la maintenance et au garage des matériels roulants de la ligne R et du RER D.

Les bâtiments situés sur le site de Villeneuve Prairie sont actuellement dédiés à la maintenance des trains Intercités et TER – dont l’entretien est relocalisé-, ainsi qu’à celle des trains Régio 2N de la ligne R qui vont demeurer sur ce site. Les nouveaux équipements du tech­nicentre de Villeneuve Prairie seront construits en remplacement des équipements existants.

Eiffage, qui a remporté l’appel d’offres, a commencé les travaux avec notamment la démolition des anciens bâtiments et la préparation des chantiers (mise en place d’un convoyeur pour les évacuations de déblais et des gravas). A la place sont notamment prévus deux bâtiments pour la maintenance légère, un atelier pour la maintenance lourde, une tour et un vérin en fosse pour entretenir les roues des trains, diverses voies de remisage et de préparation des rames ou encore la refonte totale des voies d’entrée du site.

La livraison du site est prévue d’ici à la fin de l’année 2027.


Le Technicentre de Villeneuve en chiffres

 79 Régio 2N pour les lignes D et R / 81 RER NG

  • 31 hectares de superficie totale du site Villeneuve Prairie
  • 100 % des trains de la ligne R et 50% des trains de la ligne RER D y seront maintenus
  • Plus de 150 rames en capacité de stationnement et 22 rames en maintenance simultanées
  • 4 accès modernisés pour une plus grande fluidité d’exploitation de la ligne R et du RER D

Ewa

Comment Siemens a participé à la modernisation « Bing bang » de la ligne 14

MP 14

« Une migration bing bang« ! C’est le qualificatif retenu par Vincent Fontanel, le directeur de la BU RI (Business unit Rail Infrastructure), une des trois BU de Siemens Mobility, pour raconter comment a été réalisée la migration du nouveau système d’automatisme de la ligne 14. Située à Châtillon, cette BU travaille sur les automatismes, tandis que la BU Val et la BU Customer Services sont toutes deux implantées à Toulouse.

L’opération s’est faite du jour au lendemain, le 26 février dernier, avec la mise en service du nouveau système d’automatisme de Siemens. Auparavant, la RATP avait décidé d’interrompre à plusieurs reprises, et sur des temps longs, la ligne 14 pour faire des essais d’endurance et de performance.

Cette migration d’un système sans conducteur à un autre système sans conducteur sur une ligne existante est une première, affirme encore Vincent Fontanel. Elle s’est faite parallèlement à l’extension de la ligne, au nord et au sud avec de nouvelles stations réceptionnées par la RATP auprès de la Société des Grands Projets (ex-Société du Grand Paris), souligne-t-il. Ces extensions doivent être inaugurées le 24 juin.

Les nouveaux automatismes doivent permettre d’abaisser l’intervalle à 85 secondes entre deux trains. Encore faut-il qu’il y ait assez de trains pour tenir ce rythme, ce qui ne sera pas le cas pendant les JO.

Le projet a nécessité 500 000 heures de travail aux ingénieurs et la mobilisation de 300 personnes. Une nouvelle étape est encore prévue l’année prochaine lorsque Siemens ajoutera de nouvelles fonctionnalités au système, notamment des fonctionnalités de confort et de modes dégradés, selon le responsable de Siemens Mobility. Quelques essais nécessiteront alors de nouvelles interruptions de trafic mais de moins longue durée que cette année, affirme-t-il.

MH P

Ewa

Plus de trains longs le soir sur le RER A

RER A réseaux ferrés

Ile-de-France Mobilités a décidé de renforcer l’offre de transport sur le RER A en soirée. Saisie par la FNAUT Ile-de-France (Fédération nationale des associations d’usagers des transports) sur la surcharge du RER A en soirée, l’autorité organisatrice a demandé à Transilien SNCF Voyageurs et la RATP « d’analyser la fréquentation en soirée de la ligne« , indique-t-elle dans un communiqué.

Résultat : une fréquentation importante des RER A depuis Paris vers Marne-la-Vallée Chessy, plus élevée les vendredis et samedis soir que les autres jours de la semaine, mais plus faible le dimanche soir. D’où la décision de faire circuler des trains longs les vendredis et samedis soir toute l’année, alors qu’actuellement, les opérateurs font circuler des trains courts la majeure partie de l’année les vendredis et en partie les samedis. Des trains longs devront aussi être mis en place les veilles de jours fériés, ainsi que les soirs du lundi au jeudi lors de la période estivale entre la troisième semaine de juillet et la fin du mois d’août. De quoi mieux coller aux besoins des voyageurs.

Ewa

Le contrat de Keolis renouvelé pour dix ans à Utrecht

Keolis à Utrecht, Pays-Bas

Keolis a annoncé le 17 juin que son contrat de transport public dans la province d’Utrecht aux Pays-Bas, datant de 2016, avait été renouvelé pour dix ans. Le contrat porte sur l’exploitation et la maintenance.

« Dans les années à venir, Keolis mettra en service la plus grande flotte de bus électriques qu’il exploite aux Pays-Bas, comprenant plus de 250 véhicules« , note l’opérateur de transport public, filiale de la SNCF, en précisant que les bus seront déployés progressivement et les bornes de recharge installés dans les zones de stationnement des bus et dans les cinq dépôts du réseau.

Ewa

Alstom fournira dix rames de plus pour l’Elizabeth Line

Crossrail
Elizabeth Line

Alstom a signé un contrat d’une valeur d’environ 430 millions d’euros pour la livraison de dix nouvelles rames Aventra de neuf voitures destinées à l’Elizabeth Line (Crossrail) de Transport for London (TfL), ainsi que pour la maintenance associée jusqu’en 2046. La commande du nouveau matériel est financée à hauteur de 220,5 millions de livres sterling (260 millions d’euros) par le ministère des Transports britannique (DfT), alors que TfL prend à sa charge sa maintenance.

Ouverte en 2022, l’Elizabeth Line connaît une fréquentation supérieure aux prévisions et son parc actuel de 70 rames Aventra (Class 345) « serait insuffisante pour répondre à la demande au cours de cette décennie et de la suivante », selon leur constructeur.

Comme les rames Aventra précédentes, la nouvelle commande sera assemblée sur le site historique de Litchurch Lane à Derby, repris par Alstom lors du rachat de Bombardier Transport. Le constructeur rappelle qu’il s’agit du « seul site britannique qui conçoit, développe, assemble et teste des trains pour le marché britannique et pour l’exportation ». D’autres constructeurs ont également implanté de nouveaux sites outre-Manche ces dernières années, mais plutôt pour l’assemblage de matériel roulant destiné au marché britannique.

P. L.

Ewa

De nouvelles liaisons avec le TGV Ouigo sur la façade Atlantique à partir de la fin 2025

Rame Ouigo se rapprochant de la gare d'Anthéor-Cap-Roux © Gorzak-wiki copie

La desserte de la façade Atlantique aiguise les appétits. En attendant l’arrivée de futurs opérateurs sur cet axe, la SNCF renforce ses positions. Elle annonce vouloir lancer, à partir de décembre 2025, une nouvelle liaison en Ouigo entre Paris et Hendaye, via Dax, Bayonne, Biarritz et Saint-Jean-de-Luz. Ce qui permettra du même coup de proposer un aller-retour de plus entre Paris et Bordeaux, une liaison où la demande est forte.

La compagnie lancera également à la fin de l’année prochaine un aller-retour entre Paris et Rennes, qui s’ajoutera à deux autres existants (et à un aller retour en train classique Ouigo). Ce qui représentera 30 % de places en plus dès la fin de l’année prochaine.

« De nouvelles liaisons pourraient être confirmées prochainement comme le renforcement de desserte vers et à destination du Languedoc, entre Paris et Lyon, entre Paris et Lille et entre Paris et Strasbourg« , indique la SNCF qui promet aussi prochainement « deux projets surprises de province à province sur des destinations très loisirs« . D’ici à 2027, Ouigo desservira 75 gares au lieu de 60 actuellement », souligne Alain Krakovitch, le directeur TGV-Intercités.

Pour assurer ces dessertes, le nombre de rames de TGV Ouigo va augmenter de 30 %, passant progressivement de 38 à 50 rames de la fin 2025 à 2027. Le parc existant (des TGV Inoui réaménagés) est également en cours de rénovation avec l’arrivée en janvier prochain d’une première rame modernisée baptisée Tango. La capacité d’emport sera supérieur, passant de 644 à 653 sièges. L’ensemble de ces mesures « permettra de créer huit millions de places en plus par an« , précise Alain Krakovitch. La gamme Tango sera le nouveau standard de Ouigo.

Grâce à cette rénovation, le design et le confort du train à bas coûts vont être revus pour répondre aux critiques des voyageurs qui, s’ils apprécient ce TGV, demandent avant tout plus de place, explique Jérome Laffon, directeur général de Ouigo.

« Nous offrirons 10 % d’espace en plus pour les bagages, des sièges plus confortables, des prises additionnelles pour tous et un espace relax pour se dégourdir les jambes », indique-t-il. Enfin, parmi d’autres innovations, huit crochets à vélo seront installés dans chaque rame, des vitres thermiques permettront de réduire l’impact des fortes chaleurs et faciliteront la climatisation, et l’eau de lavage des mains sera recyclée dans les toilettes.

Peu à peu, le TGV à bas coûts lancé il y a 11 ans par la SNCF étend sa toile et réalise aujourd’hui 20 % de la part de la grande vitesse. Elle devrait passer à 30 % en 2030. Dès 2027, Ouigo devrait transporter 33 millions de voyageurs, soit dix millions de plus qu’en 2023. Avec un taux de remplissage moyen de plus de 90 %, Ouigo est déjà rentable depuis plusieurs années, affirme Alain Krakovitch. Sans risque de cannibalisation des TGV Inoui, toujours selon le dirigeant  : « Ouigo génère 50 % de voyageurs en plus, dont la moitié aurait pris un autre mode de transport, l’autre moitié n’aurait pas voyagé du tout« .

Marie-Hélène Poingt

Ewa

Le RER A va être équipé de garnitures de frein moins émettrices de particules 

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Wabtec installera 10 000 garnitures de frein « permettant de réduire jusqu’à 90 % les émissions de particules fines produites par le freinage » sur près de 200 rames MI09 du RER A, indique le 11 juin dans un communiqué l’équipementier ferroviaire.
L’entreprise a testé ses semelles “Green Friction“ pendant plus d’un an sur trois rames puis dix rames du RER A, en association avec Île-de-France Mobilités et la RATP. « Les garnitures de frein Green Friction ont démontré des performances de freinage avec un niveau de sécurité équivalent tout en réduisant de 70 % en moyenne et jusqu’à 90 % les émissions de particules émises par le freinage des trains, pour un coût contenu », poursuit Wabtec.
L’installation commencera progressivement d’ici deux ou trois mois sur la ligne RER.

Ewa

La RATP mise sur la maintenance préventive pour ses escaliers mécaniques

Maintenance RATP sur un escalier mécanique
Les fortes affluences de voyageurs pendant les JO vont mettre à rude épreuve les 992 escaliers mécaniques des stations du réseau RATP. C’est pourquoi le service de la maintenance patrimoniale au sein du département Maintenance des équipements, des systèmes et des espaces (MEE), s’est lancé depuis plusieurs années dans un recensement de l’état des escaliers mécaniques et des tapis roulants des stations d’Île-de-France. « Ils ont, en théorie, une durée de vie de vingt ans, et nous programmons une révision générale dix ans après leur mise en service », explique Christophe Chaillou, délégué à la maintenance et aux travaux au sein du département MEE de la RATP.
Les équipements sont sollicités plus ou moins intensément en fonction de leur lieu d’implantation. Mais tous bénéficient d’une révision générale de six semaines, jusqu’au 26 juin. « Tous les éléments sont vérifiés et changés si besoin. Ce sont surtout les deux moteurs de l’escalier qui sont remplacés ».
Lorsque les escaliers débouchent dans une rue, ils sont exposés aux intempéries. Les pluies soumettent certaines pièces à une oxydation prématurée. De fortes pluies peuvent provoquer des inondations dans les armoires électriques situées au bas de l’escalier.
Avec 60 personnes au total, cadres et agents de maîtrise compris, l’équipe de la maintenance patrimoniale, qui effectue des opérations préventives, a déjà réalisé soixante interventions depuis le début de l’année. Pour des révisions générales, mais aussi des modernisations électriques des systèmes équipant les escaliers. « On les a programmés avant et après les Jeux pour que les escaliers ne soient pas à l’arrêt pendant l’événement. On pourra toujours intervenir si besoin, mais les déplacements seront difficiles pour nos équipes », commente Christophe Chaillou. L’équipe du département MEE, chargée de la maintenance corrective, devra ainsi laisser les camionnettes au garage pendant la période. « Ils circuleront à vélo cargos pour entrer dans les périmètres interdits aux voitures et pouvoir ainsi accéder aux stations  ».
Yann Goubin

A chaque entreprise ses spécificités
« Notre avantage, c’est d’être capable d’intervenir sur tous les modèles d’escaliers quel que soit le fabricant », explique Sébastien Berthe, technicien supérieur de l’équipe maintenance patrimoniale qui égrène la liste des entreprises : « Otis, Schindler, Kone, Thyssen, CNIM… Chacune avec ses spécificités.
Seul point commun entre les sites : l’exiguïté. Ce qui fait ressembler les agents à des contorsionnistes lors des interventions. Or, un moteur pèse jusqu’à 800 kilos avec ses engrenages. Les agents installent donc un pont équipé de treuils. Et pour déplacer le moteur déposé, ils ont recours à un chariot téléguidé capables de grimper des escaliers, non mécaniques, avec leur charge !
Heureusement l’utilisation de l’aluminium pour fabriquer les marches a considérablement allégé leur poids. « On est passé d’une trentaine de kilos pour une “palette“ (une marche, ndr) à 17 kg pour celle en alu ». Et pour les marches en bois, le premier matériau utilisé, dont les voyageurs les plus âgés se souviennent sûrement, il fallait compter 48 kg ! Elles ont désormais disparu pour une question de sécurité.
Y.G

Ewa

La ligne 11 double sa longueur pour mieux desservir la Seine-Saint-Denis

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Le prolongement, le 13 juin, de la ligne 11, permet de doubler la ligne avec six nouveaux kilomètres en Seine Saint-Denis au-delà de la station Mairie des Lilas jusqu’à Rosny – Bois-Perrier. Et de relier Châtelet Rosny – Bois-Perrier en 25 minutes.
Les six nouvelles stations (Serge Gainsbourg, Romainville-Carnot, Montreuil-Hôpital, La Dhuys, Coteaux-Beauclair, Rosny – Bois-Perrier) permettront de desservir six communes dont les habitants et les navetteurs devaient jusque-là se contenter de lignes de bus.  85 000 nouveaux voyageurs habitant et/ou travaillant dans ces communes sont attendus sur cette ligne qui accueillait jusque-là 110 000 voyageurs (chiffres 2019).
Le matériel a été progressivement renouvelé, délaissant les MP59, âgés de plus de 60 ans, au profit de 32 rames neuves MP14 à cinq voitures (562 voyageurs) complétées par sept rames supplémentaires qui seront livrées jusque courant 2025. Un nouvel atelier de maintenance, beaucoup plus grand que l’ancien atelier des Lilas, a également été construit au-delà du nouveau terminus de Rosny – Bois-Perrier.
Siemens Mobility a déployé le nouveau système CBTC GoA2 sur la ligne existante (13 stations, 6,3 km) entre les stations Châtelet et Mairie des Lilas, comme sur les six kilomètres de prolongement de la ligne entre les stations Mairie des Lilas et Rosny Bois-Perrier. Il permet une fréquence de 105 secondes entre les rames, renforce la sécurité de la ligne et diminue la consommation d’énergie.
Yann Goubin