Avec T-Money, Séoul la pionnière veut séduire les Eurpéens
La fierté de T-Money, c’est d’avoir mis au point, et dès ses débuts à Séoul, il y a cinq ans, un système de paiement ouvert. Car T-Money accepte comme moyen de paiement sans contact des cartes de transport, mais aussi des cartes de crédit. C’est, selon les responsables du système, sa grande particularité, qui le distingue notamment de la célèbre Octopus de Hongkong.
T-Money est né de la réforme des transports à Séoul, lancée en 2003, et de la volonté de la municipalité d’harmoniser les tarifs et les moyens de paiement entre une multitude d’opérateurs de bus et quelques opérateurs de métro. C’est ainsi qu’a été constituée Korea Smart Card Co (KSCC), joint-venture entre Seoul Metropolitan Government (SMG) et LG, conglomérat préféré à Samsung. C’est cette JV qui opère sous la marque T-Money. D’emblée, les trois opérateurs de télécoms sud-coréens et onze compagnies de cartes de crédit ont investi dans le système. La JV a investi 150 milliards de wons en cinq ans (soit 88 millions d’euros). La JV a trois domaines d’activité, explique Sammy Back, chargé de l’exportation de KSCC : « On émet les cartes T-Money. On est propriétaire des terminaux. On calcule les recettes
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