Boom des mobilités interurbaines. Le pari du bus Low Entry
05 Nov 2021
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Très répandu en Scandinavie, le « Low Entry » fait désormais des émules en France aussi. Ce concept singulier allie les avantages de l’autobus pour l’accessibilité à ceux de l’autocar pour la simplicité de la chaîne cinématique et le confort routier. Moins cher qu’un véhicule dérivé d’un modèle urbain, il pourrait à terme devenir incontournable.
Texte et photos de Philippe Hérissé
En France comme à l’étranger, les transports périurbains et interurbains n’ont jamais connu pareille croissance. Sans doute, le phénomène est-il lié, en grande partie, à l’exode de nombreux citadins qui résidaient autrefois en centre-ville, et qui choisissent désormais d’aller habiter des localités de plus en plus éloignées en périphérie, aux seules fins de ne plus subir les effets des tensions sur le marché de l’immobilier et la corrélative ascension des prix, tout en profitant accessoirement d’une meilleure qualité de vie.
Or, sur ce segment très particulier des transports périurbains et interurbains, il se trouve que les autocars et autobus d’architecture « Low Entry » (LE) semblent toujours davantage correspondre aux attentes des opérateurs et des autorités organisatrices. Les Français ont certes un peu tardé à y venir, mais les Scandinaves avaient vite saisi tous les avantages que la formule présentait, et ils en font aujourd’hui le plus grand usage. En caricaturant à l’extrême, un LE pourrait être considéré comme le « collage » de l’avant d’un autobus sur l’arrière ...
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Retrouvez le dossier Boom des mobilités interurbaines. Le pari du bus Low Entry dans le magazine VR&T n°653