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Le bestiaire des start-up

04 Juil 2019

start up

Dossiers > Comment les start-up inventent la mobilité de demain > Le bestiaire des start-up

Article présent dans le dossier : Comment les start-up inventent la mobilité de demain

Licornes, zèbres, pentacornes, cafards… L’écosystème des start-up est très créatif sur le plan sémantique. Quelques définitions pour s’y retrouver dans cette drôle de jungle. Les licornes : entreprises mythiques qui ont dépassé le milliard de dollars de valorisation (mais qui accumulent souvent les pertes). Les zèbres : en opposition aux « licornes », ces start-up noires et blanches ne sont pas des animaux mythiques mais bien réels. Elles sont généralement rentables. L’expression remonte à 2017. Les pentacornes : une espèce très rare, valorisée à plus de 50 milliards de dollars. Seules trois sont recensées dans le monde : l’américain Uber et deux start-up chinoises Didi Chuxing (l’Uber chinois) et Bytedance (l’appli de vidéos courtes TikTok). Un cap atteint depuis 2011 par Facebook, avant l’apparition du terme « pentacorne ». Il y a aussi les décacornes : des start-up à 10 milliards de dollars de valorisation, comme Airbnb par exemple. Les cafards : très résistants, ils seraient capables de survivre à une attaque nucléaire. Leur modèle : une croissance lente sans jamais perdre de vue revenus et bénéfices. Les cafards sont souvent des petites start-up qui proposent des solutions logicielles sur des niches très particulières. Pugnaces et résistantes.

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Retrouvez le dossier Comment les start-up inventent la mobilité de demain dans le magazine VR&T n°625-626

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