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RATP. L’art de prescrire

Article présent dans le dossier : La customisation des bus, de l’artisanat en grande série

Environnement de travail de ses machinistes, facilité de maintenance, ou bien encore compatibilité avec ses infrastructures de remisage et d’entretien, autant de préoccupations qui conduisent la RATP à prescrire, pour les bus qu’elle exploite, ses propres spécifications. Leur suivi mobilise une équipe de spécialistes choisis pour leur compétence technique.

Avec un parc désormais supérieur à 4 700 bus, répartis sur vingt-cinq sites, et issus d’une dizaine de constructeurs différents, il n’est nullement surprenant que la RATP cherche à retrouver une certaine homogénéité, au-delà de l’hétérogénéité induite par la variété de ses fournisseurs.

Tout récemment, de nouveaux entrants ont ainsi rejoint les rangs, comme Bluebus et Alstom en électromobilité, ou encore Solaris sur le biométhane. Le recours massif à ces nouvelles technologies, en vue d’atteindre l’objectif d’une diminution de 50 % du bilan carbone pour les véhicules exploités par la RATP à l’horizon 2025, a encore élargi le spectre des constructeurs susceptibles d’être retenus dans les appels d’offres, aux côtés des « historiques » tels Iveco, Heuliez, Scania ou encore MAN. La même tendance se retrouve sur les segments très particuliers des midibus et des minibus, qu’exploite également la Régie. « Consécutive à l’obligation de mise en concurrence au niveau européen, l’arrivée de ces nouveaux entrants représente une saine évolution, même si l’on serait naturellement porté vers une certaine stabilité », concède Nicolas Cartier, directeur Maintenance de RDS (Réseau De Surface) à la RATP.

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Retrouvez le dossier La customisation des bus, de l’artisanat en grande série dans le magazine VR&T n°651

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