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Le regain du fret ferroviaire menacé par la crise

09 Déc 2022

DB Cargo , ferroviaire , Fret , marchandises , RLE , SNCF Réseau , Transports

Dossiers > Le regain du fret ferroviaire menacé par la crise

Après l’espoir, les doutes… L’envolée des coûts de l’énergie et l’insuffisance des investissements dans le réseau risquent de saborder la compétitivité du fret ferroviaire. Les entreprises s’interrogent sur la capacité du secteur à doubler sa part modale à l’horizon 2030, objectif fixé il y a un an par la stratégie nationale pour le développement du fret ferroviaire à un moment où tout semblait possible.

Dossier réalisé par Thomas Renou

Les nuages noirs s’amoncellent dans le ciel du fret ferroviaire. Après un temps d’éclaircie, durant lesquelles le secteur a vu son activité croître, place aux doutes face aux conséquences de la guerre en Ukraine. Les coûts de l’énergie représentent « entre 15 et 18 % de la facture de circulation d’un train », rappelle le dirigeant de DB Cargo France et nouveau président de l’Association française du rail (AFRA), Alexandre Gallo (lire aussi notre entretien page 54). « Si cette facture est multipliée par quatre ou cinq, les conséquences seront alors lourdes pour nous, comme pour nos clients », prévient-il.

Pour Raphaël Doutrebente, président d’Europorte, c’est « un nouveau challenge ». L’opérateur dit avoir bien anticipé la crise, « en négociant correctement » avec EDF. « Un avantage par rapport à ceux de nos concurrents qui achètent le courant de traction chez SNCF Réseau. SNCF Réseau n’a pas anticipé, et facture aujourd’hui 500 euros le MWh alors qu’on était en dessous de 100 euros il y a un an. »

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Retrouvez le dossier Le regain du fret ferroviaire menacé par la crise dans le magazine VR&T n°665

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