fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Plan Bus 2025. Le challenge industriel de la RATP

08 Déc 2020

Aménagement urbain , biogaz , bioGNV , bornes de recharge , bus , Bus électrique , Ile-de-France Mobilités , RATP

Dossiers > Plan Bus 2025. Le challenge industriel de la RATP

Avec déjà dix centres-bus en travaux et 600 véhicules neufs attendus chaque année à partir de l’an prochain, la RATP est aujourd’hui pleinement engagée dans la conversion de son parc d’autobus vers l’électricité et le biogaz pour 2025. Un challenge industriel et managérial totalement inédit, au seuil de l’ouverture à la concurrence.

Avec le plan Bus 2025, Ile-de-France Mobilités et la RATP visent un double objectif extrêmement ambitieux. Dans un délai de cinq ans seulement, l’autorité organisatrice et l’opérateur se sont engagés à posséder un parc d’autobus 100 % « propres », ainsi qu’à diviser par deux les émissions de gaz à effet de serre, autrement dit celles de CO2. Sont actuellement considérés comme « propres » les véhicules « full electric », ceux fonctionnant au GNV (Gaz Naturel pour Véhicules) et les hybrides Euro 6. Toutefois, il ne sera plus acheté de véhicules appartenant à cette dernière catégorie, l’autorité organisatrice estimant insuffisantes leurs performances à l’égard de l’environnement lors d’une circulation à trop faible vitesse moyenne dans les embouteillages parisiens.

Aujourd’hui, la Régie dispose d’un parc « propre » à hauteur de 30 % (et bientôt 40 %), avec 1 060 hybrides, 150 « full electric » et plus de 200 GNV. Pour parvenir à l’objectif fixé, pas moins de 600 véhicules neufs devront, chaque année, être incorporés au parc, et cela à partir de l’an prochain.

Il s’agit là d’un rythme de renouvellement à ce jour jamais encore atteint. Au total, ce sont 3 700 autobus qui auront été ...

Il vous reste 86% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.

Retrouvez le dossier Plan Bus 2025. Le challenge industriel de la RATP dans le magazine VR&T n°642

DOSSIERS PrécédEnts

Le bilan 2023 des grands groupes de transport

Equipementiers & services : la SNCF à la rencontre des fournisseurs du Grand Est pour les décarboner

Où en est l’ERTMS en France ?

Mauvaise passe pour le titre unique