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Quatre heures pour les bus au bioGNV

Article présent dans le dossier : Plan Bus 2025. Le challenge industriel de la RATP

Dans les centres-bus bioGNV, le gaz arrive par canalisations à la pression nominale de un à six bars. Une station de compression, édifiée sur les emprises, l’élève alors à plus de 200 bars. Au centre de Massy, qui exploite actuellement 167 autobus GNV aux côtés d’hybrides (mais qui a, bien sûr, pour vocation de devenir, à terme, un centre 100 % bioGNV), le gaz est délivré par GRDF à la pression de 2,5 bars. Trois compresseurs extérieurs -dont deux suffisent à alimenter le parc à disposition, le troisième assurant la réserve- ont pour rôle d’élever cette pression à près de 250 bars. Cela permet ensuite d’avoir une pression de chargement de 200 bars dans les réservoirs des véhicules, qui s’avère nécessaire pour une autonomie de 300 km.

Le centre-bus de Massy, qui appartient à la catégorie des dépôts pratiquant le remisage à l’air libre, dispose de 142 postes de charge. La règle générale est la charge lente, qui correspond à un chargement, de nuit, en quatre heures. Des portiques enjambent l’aire de remisage, acheminant le gaz aux postes de charge pour chaque place. Ces installations sont complétées par une piste de charge rapide, sous couvert, que les véhicules peuvent emprunter lors de leur circuit de rentrée. Trois minutes suffisent alors pour charger la quantité de gaz correspondant à 300 km d’autonomie. Cependant, la charge rapide reste l’exception.

Le machiniste est avisé, à sa rentrée, du mode de rechargement à utiliser, et c’est lui qui procède au branchement nécessaire. Quant à l’atelier, il a été équipé de détecteurs de gaz qui provoqueraient automatiquement l’...

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Retrouvez le dossier Plan Bus 2025. Le challenge industriel de la RATP dans le magazine VR&T n°642

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